Le marxisme culturel chapitre 3 par Alain de Bornay
Le Marxisme Culturel triomphant.
Pour moi et pour beaucoup d’autres, les trente-trois prochaines années sur Terre sont déjà écrites, grosso modo, et l’honnêteté est de risquer un calendrier approximatif. La période 2020-2050 sera la plus bouleversante qu’aura jamais vécue l’humanité en si peu de temps. A quelques années près, elle se composera de trois étapes successives : la fin du monde tel que nous le connaissons (2020-2030), l’intervalle de survie (2030-2040 pour ceux qui auront pris la précaution de lire Survivre au chaos), le début d’une renaissance (2040-2050). L’effondrement de la première étape est possible dès 2020, probable en 2025, certain vers 2030. Une telle affirmation s’appuie sur de nombreuses publications scientifiques que l’on peut réunir sous la bannière de l’Anthropocène, compris au sens d’une rupture au sein du système-Terre, caractérisée par le dépassement irrépressible et irréversible de certains seuils géo-bio-physiques globaux. Ces ruptures sont désormais imparables, le système-Terre se comportant comme un automate qu’aucune force humaine ne peut contrôler. La croyance générale dans le libéral-productivisme renforce ce pronostic. La prégnance anthropique de cette croyance est si invasive qu’aucun assemblage alternatif de croyances ne parviendra à la remplacer, sauf après l’événement exceptionnel que sera l’effondrement mondial dû au triple bug énergétique, climatique, alimentaire. La décroissance est notre destin. La seconde étape, dans les prochaines années 30, sera la plus pénible au vu de l’abaissement brusque de la population mondiale (épidémies, famines, guerres), de la déplétion des ressources énergétiques et alimentaires, de la perte des infrastructures (y aura-t-il de l’électricité en Ile-de-France en 2035 ?) et de la faillite des gouvernements. Ce sera une période de survie précaire et malheureuse de l’humanité, au cours de laquelle le principal des ressources nécessaires proviendra de certains restes de la civilisation thermo-industrielle, un peu de la même façon que, après 1348 en Europe et pendant des décennies, les survivants de la peste noire purent bénéficier, si l’on peut dire, des ressources non consommées par la moitié de la population qui mourut en cinq ans. Nous omettrons les descriptions atroces des rapports humains violents consécutifs à la cessation de tout service public et de toute autorité politique, partout dans le monde. Certains groupes de personnes auront eu la possibilité de s’établir près d’une source d’eau et de stocker quelques conserves alimentaires et médicamenteuses pour le moyen terme, en attendant de réapprendre les savoir-faire élémentaires de reconstruction d’une civilisation authentiquement humaine. Sans doute peut-on espérer que s’ensuive, autour des années 50 de ce siècle, une troisième étape de renaissance au cours de laquelle les groupes humains les plus résilients, désormais privés des reliques matérielles du passé, retrouvent tout à la fois les techniques initiales propres à la sustentation de la vie et de nouvelles formes de gouvernance interne et de politique extérieure susceptibles de garantir une assez longue stabilité structurelle, indispensable à tout processus de civilisation. Revenons encore un instant à nos témoins et à cette réunion de gens qui pensent vivres à juste titre les derniers jours et qui pensent qu’ils sont très proches ; il y a parmi eux et c’est extrêmement curieux, des jeunes femmes qui ne semblent pas tenir compte des paroles de Jésus rapportées par Mathieu en rapport avec la fin du «présent système de chose» : «Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là!». Mat. 24:19 et Marc 13:17, paroles reprises par Luc Chapitre 23 Verset 29 : «Car voici, des jours viendront où l’on dira: Heureuses les stériles, heureuses les entrailles qui n’ont point enfanté, et les mamelles qui n’ont point allaité!». On peut y croire ou ne pas y croire, (Croire = admettre une idée sans raison ou preuve suffisantes (conviction subjective) mais si on dit respecter la parole de «Dieu» on doit à mon avis la respecter. Mais bon, ce n’est pas le sujet et j’aurai j’espère l’occasion d’y revenir.
Pour moi et pour beaucoup d’autres, les trente-trois prochaines années sur Terre sont déjà écrites, grosso modo, et l’honnêteté est de risquer un calendrier approximatif. La période 2020-2050 sera la plus bouleversante qu’aura jamais vécue l’humanité en si peu de temps. A quelques années près, elle se composera de trois étapes successives : la fin du monde tel que nous le connaissons (2020-2030), l’intervalle de survie (2030-2040 pour ceux qui auront pris la précaution de lire Survivre au chaos), le début d’une renaissance (2040-2050). L’effondrement de la première étape est possible dès 2020, probable en 2025, certain vers 2030. Une telle affirmation s’appuie sur de nombreuses publications scientifiques que l’on peut réunir sous la bannière de l’Anthropocène, compris au sens d’une rupture au sein du système-Terre, caractérisée par le dépassement irrépressible et irréversible de certains seuils géo-bio-physiques globaux. Ces ruptures sont désormais imparables, le système-Terre se comportant comme un automate qu’aucune force humaine ne peut contrôler. La croyance générale dans le libéral-productivisme renforce ce pronostic. La prégnance anthropique de cette croyance est si invasive qu’aucun assemblage alternatif de croyances ne parviendra à la remplacer, sauf après l’événement exceptionnel que sera l’effondrement mondial dû au triple bug énergétique, climatique, alimentaire. La décroissance est notre destin. La seconde étape, dans les prochaines années 30, sera la plus pénible au vu de l’abaissement brusque de la population mondiale (épidémies, famines, guerres), de la déplétion des ressources énergétiques et alimentaires, de la perte des infrastructures (y aura-t-il de l’électricité en Ile-de-France en 2035 ?) et de la faillite des gouvernements. Ce sera une période de survie précaire et malheureuse de l’humanité, au cours de laquelle le principal des ressources nécessaires proviendra de certains restes de la civilisation thermo-industrielle, un peu de la même façon que, après 1348 en Europe et pendant des décennies, les survivants de la peste noire purent bénéficier, si l’on peut dire, des ressources non consommées par la moitié de la population qui mourut en cinq ans. Nous omettrons les descriptions atroces des rapports humains violents consécutifs à la cessation de tout service public et de toute autorité politique, partout dans le monde. Certains groupes de personnes auront eu la possibilité de s’établir près d’une source d’eau et de stocker quelques conserves alimentaires et médicamenteuses pour le moyen terme, en attendant de réapprendre les savoir-faire élémentaires de reconstruction d’une civilisation authentiquement humaine. Sans doute peut-on espérer que s’ensuive, autour des années 50 de ce siècle, une troisième étape de renaissance au cours de laquelle les groupes humains les plus résilients, désormais privés des reliques matérielles du passé, retrouvent tout à la fois les techniques initiales propres à la sustentation de la vie et de nouvelles formes de gouvernance interne et de politique extérieure susceptibles de garantir une assez longue stabilité structurelle, indispensable à tout processus de civilisation. Revenons encore un instant à nos témoins et à cette réunion de gens qui pensent vivres à juste titre les derniers jours et qui pensent qu’ils sont très proches ; il y a parmi eux et c’est extrêmement curieux, des jeunes femmes qui ne semblent pas tenir compte des paroles de Jésus rapportées par Mathieu en rapport avec la fin du «présent système de chose» : «Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là!». Mat. 24:19 et Marc 13:17, paroles reprises par Luc Chapitre 23 Verset 29 : «Car voici, des jours viendront où l’on dira: Heureuses les stériles, heureuses les entrailles qui n’ont point enfanté, et les mamelles qui n’ont point allaité!». On peut y croire ou ne pas y croire, (Croire = admettre une idée sans raison ou preuve suffisantes (conviction subjective) mais si on dit respecter la parole de «Dieu» on doit à mon avis la respecter. Mais bon, ce n’est pas le sujet et j’aurai j’espère l’occasion d’y revenir.
Une
dernière chose au sujet des témoins de Yahvé qui sont l’objet de très
virulentes critiques au sujet des transfusions sanguines qu’ils refusent. Hors,
les
transfusions de sang, qui sauvent tant de vies, il faut le reconnaître (mais à
quel prix ?), ne sont pas sans détériorer les acquis de nos
chromosomes-mémoires. Nous en revenons aux questions posées par la société
technologique contraires aux lois naturelles. Jadis, les hommes croyaient que
le monde était stable et rassurant. Et puis certains hommes se déclarant «savants» furent
en possession de la vérité, attention hein, de la vérité avec un grand V, la
vérité vraie ! La Vérité ! Cette vérité-là était
dangereuse ; tout est vibration dirent-ils. Alors l'univers se mit à
vibrer et depuis tout va mal. Nous devons tout cela à la science, nos habits en
matière synthétique, la télé qui aliène, nos aliments frelatés, nos autos
polluantes et les bruits qui rendent fous. Excédé par le vrombissement
incessant des avions, M. Sprenger de Weert (Pays-Bas) veut acheter une D.C.A.
Un honnête homme de Charleroi, M. C..., rendu fou par les pétarades des motos
d'un groupe de «jeunes» turbulents, tire sur eux avec son fusil de chasse... Toujours grâce à la science!
Et c'est par elle aussi que les hommes sont animalisés «vachisés,
chevalisés, singisés» par le jeu des injections de sérums et de vaccins. Tout
ce sang d'animaux, toute cette souffrance, que l'on nous transfuse, établit un
lien quasi magique d'une espèce à l'autre. Et le sang des générations d'enfants
qui naîtront de nous, quel rôle jouera-t-il dans l'ascèse spirituelle de
l'humanité? La race des animaux qui souffrent, ne prend-elle pas sa revanche,
en bestialisant peu à peu la race qui l'exploite?
L’ère du Marxisme Culturel triomphant.
Le
marxisme culturel se charge de la destruction des valeurs de solidarité telles
la famille ou la nation, la destruction des repères culturels et moraux fondateurs
en sabotant les morales chrétiennes, l’utilisation dans l’enseignement du sexe
et notamment de l’homosexualité pour transgresser la morale traditionnelle et
créer de nouvelles revendications clivantes dans la société, l’affaiblissement
de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la
sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes, noyautage de
la magistrature pour culpabiliser les victimes et exonérer les criminels,
création d’une dépendance financière croissante vis à vis de l’état afin de
créer une population asservie et assistée, substitution progressive de la
famille monoparentale ou homoparentale à la famille traditionnelle comme modèle
de société, promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie
entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, propagation des grandes peurs
écologiques, totalement fictives et manipulées à longueur d’années, voilà qui
peut faire préférer la fréquentation des témoins de Jéhovah (à consommer avec
modération tout de même) plutôt que des suppôts du marxiste culturel.
Mais
le marxisme culturel est aujourd’hui triomphant. On peut citer comme victoires du
marxisme culturel l’adoption de mesures communistes, sans prise de pouvoir
formelle des partis communistes : voir ici. Monsieur le professeur
Ignacio M. García Medina offre (cliquer ici) une belle présentation
dans laquelle il réfléchit à l'assaut marxiste culturel sur l'éducation et la
culture avec de nombreux exemples dans son discours du 21 juillet 2016 à la XI
Université d'été de l'IJM à Lanzarote. Un
léger sursaut très anecdotique a lieu aujourd’hui contre l’idéologie communiste
classique notamment chez monsieur Stéphane Courtois.
Attention toutefois les
marxistes culturels d’aujourd’hui nettement conscient de la chose ont crus
trouver la parade en disant : Le marxisme culturel est une théorie du complot,
c’est m’sieur Jérôme Jamin un prof belge stalinien de l’Université de Liège en
Belgique qui utilise ses fonctions afin de conduire des activités
antinationales (Oui, vous avez bien lu antinationales !). Michel Colluci
dit Coluche notre grand philosophe Français disait : «Savez-vous maintenant que les Français ils nous prennent pour des
imbéciles ? Ah, puis au début, ça est un peu ! Puis après ça est un gros peu,
hein ! Hé, moi, je le sais bien, parce que je suis allé à Calais. Pendant le
wikende. C'est parce que ma femme avait gagné des skis nautiques, et puis par
chez nous, c'est tout plat, y a pas de lacs en pente, hein !». Monsieur
Jamin est donc jusqu’à preuve du contraire un étranger (qui parle pas l’étranger mais pas français tout de même) Coluche
disait aussi : «Ce serait
raciste de penser que les étrangers n'ont pas le droit d'être cons». Vous
allez me : «oui mais certains suisses
aussi parlent Français», d’accord Coluche y avait pensé en
disant : «Les Belges et les Suisses,
c'est les deux seuls qui ont pas compris qu'en fait c'était la même chose.
C'est à cause de la distance, là-bas, ils se disent, c'est sûrement pas pareil,
mais ils se gourent... Non parce que un vrai con en Suisse, c'est un Belge,
mais dans l'ensemble ça valait pas le coup de faire deux pays rien que pour ça,
hein, ils auraient pu se démerder... », et aussi : «J'ai eu des plaintes des Suisses:
"Monsieur, vous faîtes toute une publicité aux Belges, tout ça. Alors que
nous on a les Suisses-Allemands, ils sont largement aussi cons!»
Après notre séance
culturelle revenons au sieur et frère Jamin l’auteur d’ouvrages antinationaux.
Il a participé le 8 mai 2014 à une conférence antinationale d’une journée
organisée à Liège par l'association maçonnique antinationale Territoires de la mémoire (Territoires de la mémoire est une
association liégeoise, financée en partie avec des fonds publics et aux mains
des loges maçonniques, dont l’objectif est d’instrumentaliser la Seconde guerre
mondiale à des fins politiques (méthode très marxiste culturelle que
l’instrumentalisation de l’histoire surtout en mentant comme un arracheur de
dents). Territoires de la mémoire tente d’assimiler les patriotes et
nationalistes à la collaboration et les antipatriotes et les antinationalistes
à la Résistance. Cette présentation des faits est clairement une escroquerie
intellectuelle puisque le parti socialiste de l’époque a trempé durant la
Seconde guerre mondiale dans la collaboration. Son président, Henri De Man, a
collaboré. Le bourgmestre (maire) socialiste de Liège de l’époque Joseph Bologne a donné la liste des communistes aux
occupants allemands, ainsi que les lieux de réunion des communistes et le nom
des cafés qu'ils fréquentaient, et la police liégeoise, qui était sous son
contrôle, a fourni des listes de juifs aux autorités d'occupation allemandes.
Par contre, les premiers résistants liégeois ont été les membres de la Légion Nationale,
une organisation fasciste dont le dirigeant Paul Hoornaert est mort en déportation en Allemagne.
De nombreux nationalistes et monarchistes ont été résistants et sont morts en
déportation). Le «camarade» Jamin
dirige le Centre d’études Démocratie (sans
hurler de rire) qui conduit des activités antinationales. Dans un opuscule
consacré à l’imaginaire du complot dans ce que ce monsieur dit être le discours
d’extrême droite en France et aux Etats-Unis, ce Frangin aurait eu l’occasion
de décrire les trois principales catégories d’acteurs dans les théories du
complot (Jamin, Jérôme, L’imaginaire du
complot. Discours d’extrême droite en France et aux Etats-Unis. Amsterdam,
Amsterdam University Press, collection 1999, pp. 45-55).
Tiens pendant qu’on y est
parlons-en de la mémoire et de ses devoirs. Les marxistes culturels dont Jamin ont
une mémoire sélective, l’histoire du marxisme culturel et son idéologie font
partie de ces choses qui sont et seront toujours hors de leur portée. C’est
pourquoi ils les assimilent à une prétendue théorie du «complot» et qu’ils les nient comme ils
nient indistinctement tout ce qui les
dépasse d’une façon ou d’une autre car toutes leurs études et leurs recherches
sont entreprises d’un point de vue marxiste faux et borné qui ne peuvent
aboutir qu’à la négation de tout ce qui n’est pas de ce point de vue; de plus
ces gens-là sont tellement persuadés de leur «supériorité», qu’ils ne peuvent admettre l’existence ou la
possibilité que quoi que ce soit échappe à leur investigation. Un Jérome Jamin
du 20ème siècle, Victor Joannès, responsable communiste s’exclamera
en 1948 : «Comment peut-on parler de
science sans citer une seule fois le nom du plus grand savant de notre temps,
du premier savant d’un type nouveau, le nom du grand Staline ?». Une des
plus belles réussites du marxisme culturel
est la création du Lyssenkisme (le
terme lyssenkisme désigne par extension une science corrompue par l'idéologie,
où les faits sont dissimulés ou interprétés de manière scientifiquement
erronée, les thèses de Jamin sont un exemple frappant de lyssenkisme). Lyssenkisme
qui sous sa férule n'étaient plus les théories les plus probables, étayées par
des expériences menées avec soins, qui servaient de fondement à la recherche
scientifique, mais le dogme politique marxiste. La science se mit au service de
l'état, ou plus précisément, de son idéologie. Les résultats étaient
prévisibles : la biologie soviétique périclita. Les méthodes de Lyssenko ne
furent condamnées par la communauté scientifique de son pays qu'en 1965, plus
d'une décennie après la mort de Staline. Une telle chose pourrait-elle se
produire dans un pays démocratique? À en croire certains, c'est déjà le cas.
Aux états-Unis, le mouvement créationniste a
déjà essayé, parfois avec succès, d'empêcher qu'on enseigne l'évolution à l'école
publique. En outre, plusieurs scientifiques bien connus, dont les travaux
reçoivent un financement important semblent faire des recherches conditionnées
par l'idéologie - non celle des Chrétiens fondamentalistes, mais celle des
tenants de la supériorité raciale. Lyssenko était contre l'utilisation des statistiques,
mais s'il avait compris combien elles peuvent être utiles au service de
l'idéologie, il aurait sans doute changé d'avis. S'il avait vu ce que les grands
scientifiques américains J. Philippe
Rushton qui fut professeur de
psychologie de l'université de Western Ontario, au Canada, Arthur Jensen de
l'université de
Berkeley, (Coauteurs en 2008, d’un article sur
la très dérangeante
vérité du prix Nobel James Watson :
«la réalité des races et le sophisme moraliste». En 2014 j'avais écrit un article : «Les races existent !» ou j’écrivais en
commentaire : «La vérité la plus
inopportune de James Watson : la réalité de l’existence des races et les
erreurs moralistes (comprendre les erreurs marxistes culturelles). Lorsqu’un
des plus grands biologistes du XXe siècle, le Prix Nobel James Watson, nota que
les peuples descendant des Africains présentaient un QI moyen inférieur à celui
des Européens ou des Asiatiques de l’Est, il a été condamné par les mass-médias
et les éléments de l’ «élite scientifique» l’ont forcé à se retirer de son
poste de président du laboratoire de Cold Spring Harbor. Le traitement infligé
à Watson était particulièrement indigne étant donné que, du point de vue des
faits scientifiques, plus d’un siècle et demi de preuves corroboraient sa
déclaration. De plus, de nouvelles données et des analyses confirmant cette vue
apparaissent régulièrement dans des journaux spécialisés dans les disciplines
scientifiques concernées. La preuve du contraire est extrêmement faible. La
plupart de ceux qui s’opposent à l’hypothèse génétique adoptent une position de
simple moralisation et, pire, créent une atmosphère menaçante et coercitive
incompatible avec la liberté de l’enseignement, la recherche libre et les
libertés civiques d’une société vraiment démocratique. Un énorme fossé sépare
les gardiens imposant la morale politiquement correcte ou marxiste culturelle
(mais est-ce vraiment une «morale») et les vrais experts des sciences
comportementales. Le cas de Watson n’est pas unique. Il n’est pas le dernier
d’une longue lignée d’universitaires qui ont été mis au pilori et ont été
diffamés». (Les autres sont le Prix Nobel William Shockley (Dans les années 1960,
Shockley fut professeur à Stanford. Ses vues sur les Noirs américains, qu'il
jugeait avec justesse héréditairement avoir un quotient intellectuel moyen
inférieur à celui des Blancs, lui valurent en particulier de nombreuses
critiques et d’imbéciles accusations de racisme scientifique par les hordes
déchainées de marxistes culturels et autres abrutiles), Hans Eysenck était un psychologue britannique d'origine allemande, (avec des
ascendances juives et antinazi) connu pour son travail sur la personnalité,
l'héritabilité de l'intelligence, les thérapies
comportementales et pour ses critiques de la psychanalyse, ce fut l'un des signataires de la tribune Mainstream Science on Intelligence qui affirme avec une extrême justesse le rôle du quotient
intellectuel dans la vie
humaine et l'existence de différences intellectuelles entre groupes humains qui
ne découlent pas exclusivement de différences environnementales. E
plus et d'une manière générale, les travaux
de Hans Eysenck sont très critiques envers la psychanalyse : «rien de
ce qui est nouveau dans la psychanalyse n’est vrai, rien de ce qui est vrai
dans la psychanalyse n’est nouveau». Ils susciteront de nombreux
commentaires et controverses chez les marxistes culturels et autres crétins des
Alpes partisans de cette technique. Enfin une femme, madame Linda Susanne Gottfredson psychologue, sociologue, et professeure émérite
de psychologie de l'éducation à
l'université du Delaware.
Ses recherches sur l'intelligence ont suscité de nombreuses critiques par les
mêmes imbéciles (au sens psychiatrique du terme) et autres marxistes culturels
et idiots utiles. La plus connue est liée à sa mise en cause de la politique d'action positive
(Aux USA affirmative action
ou discrimination positive aux états
Unis.
Une étude publiée en juin 2017 par le New York Times
semblait montrer que la politique de discrimination positive
avait peu amélioré la diversité du recrutement des meilleures universités américaines. Noirs et hispaniques
étaient même encore moins représentés qu'en 1980 parmi les admis en premier
cycle des 100 meilleurs établissements. Cherchez l’erreur ?). Linda
Gottfredson s’attache aussi à la défense des justes thèses défendues dans
l'ouvrage The Bell Curve,
publié en 1994 par le psychologue Richard J. Herrnstein
et le politologue Charles Murray.
Elle est l'auteur du manifeste, cosigné par 52 chercheurs et publié sous
l'intitulé Mainstream
Science on Intelligence dans le Wall Street Journal.
Elle est aussi l'auteur de nombreux articles sur les rapports entre race et
intelligence. Elle prend position notamment sur la distinction entre l'intelligence
pratique et l'intelligence analytique telle que la mesurent le QI. Richard
Lynn (Richard Lynn est docteur en psychologie de l'université de
Cambridge qui considère lui aussi qu'il existe des différences en matière d'intelligence fondées sur le sexe et les races). Richard J. Herrnstein psychologue et professeur d'université américain avait
déjà, dans un article publié en 1971, indiqué que selon lui l'intelligence
était mesurable par des tests de QI, qu'elle était stable durant la vie de
l'individu concerné, largement influencée par des facteurs héréditaires et
qu'elle pouvait prédire un certain nombre de résultats, une fois que les autres
facteurs étaient neutralisés, notamment les revenus, les délits, la santé et le
taux de mariage. Le politologue Charles Murray
co-auteur, avec Herrnstein, de The Bell Curve. Intelligence and Class Structure in American Life,
Christopher Richard Brand dit Chris
Brand un professeur Anglais psychologue
et chercheur en psychométrie a
été chargé de cours à l'Université d'Edimbourg où il a
enseigné la personnalité, la psychopathologie et les problèmes philosophiques,
ainsi qu’effectué des recherches en psychologie factorielle. Dans les années
1980, il a siégé au Council for
National Academic Awards du Royaume-Uni. Son livre de 1996 The
g Factor (Le Facteur g,
diminutif de «facteur général», general factor en anglais,
a vu son existence
initialement proposée par le psychologue anglais Charles Spearman dès 1904
grâce à ses travaux en psychométrie sur l'analyse factorielle, les
scientifiques de la fin du XIXe (L’Essai
sur l'inégalité des races humaines d'Arthur de Gobineau est
paru en 1853 dont la conclusion est particulièrement alarmante de Gobineau
conclut
son essai sur un tableau pessimiste: la race blanche est pour lui le principe
vivifiant qui met en contact les races et permet la civilisation ; avec les
empires coloniaux, elle a achevé sa tâche, il écrira : «Les deux variétés inférieures de notre
espèce, la race noire, la race jaune, sont le fond grossier, le coton et la
laine, que les familles secondaires de la race blanche assouplissent en y
mêlant leur soie tandis que le groupe aryen, faisant circuler ses filets plus
minces à travers les générations ennoblies, applique à leur surface, en éblouissant
chef-d'œuvre, ses arabesques d'argent et d'or» (Gobineau avait tort sur
quelques points, aujourd’hui on sait que la race dite «jaune» est supérieure à la race blanche (pas de beaucoup) et que la race «Aryenne» n’existe pas). Dans le même temps, la race blanche
s'annihile, puisqu'elle se dissout dans un métissage généralisé qu'elle a
contribué à créer. L'histoire voit donc la disparition progressive de l'homme
blanc, remplacé par des peuples métis uniformes et sans vitalité. Une fois que
ce principe de vitalité aura disparu, l'humanité tout entière se laissera
mourir. Les grands savants du début du
XXe connaissaient bien sûr l’inégalité des races, mais depuis 1945 à
l’avènement du marxisme culturel dans le monde la négation de son existence ira
en augmentant au fil des ans, le silence d’hier sur ce sujet à fait place au
tabou marxiste culturel d’aujourd’hui. Comme bien souvent, il suffit d’un peu
de bon sens et d’observation pour que l’idée vienne d’elle-même. Il faut aussi,
et c’est peut-être le plus difficile pour nos contemporains, retrouver la
rigueur et l’objectivité scientifique. L’existence des races est un fait
d’évidence. Si l’on définit la race comme une population naturelle dotée de
caractères héréditaires, donc de gènes communs, on n’éprouvera pas de grandes
difficultés, quand on n’est pas obnubilé par un préjugé idéologique marxiste
culturel, pour reconnaître que l’humanité est bien divisée en races. Comment,
d’ailleurs, pourrait-il en être autrement, puisque l’homme appartient au règne
animal ? Comme l’a rappelé le professeur Gérard Lucotte, c’est le grand savant
suédois Carl von Linné qui a, le premier, établi une classification générale
des êtres vivants, dans laquelle il a fait entrer l’homme, tout naturellement.
Je viens de nommer monsieur Lucotte docteur
en génétique et directeur de
l'Institut d'anthropologie génétique moléculaire dont vous n’avez jamais
entendu parler par vos merdiatocrasseux préférés de la téloche et de la
presse ; Gérard Lucotte est tenu à l'écart par les merdias
marxistes culturels, notamment parce qu'il prouve l'origine génétique des races humaines (Monsieur le professeur Lucotte est un des grands spécialistes
mondiaux des marqueurs génétiques et est à l’origine de la découverte des
variants ADN du chromosome Y et de leur utilisation en anthropologie
moléculaire). En décembre 1996,
il fut notamment l'orateur du Club
de l'horloge lors d'un
colloque intitulé «De l'existence des races
humaines et de leur base héréditaire» (de quoi faire hurler un MC (marxiste
culturel) au QI de mouche à merde).
Il considère toutefois que la négation de la race
ressort certainement d’un «motif louable,
mais quelque peu naïf. On pense que si l’on dit que les races n’existent pas,
le racisme va disparaître, notamment le racisme dit «zoologique», c’est-à-dire
celui basé sur la réalité biologique de la race. Il est évident que si les
races n’existent pas, il ne peut y avoir de fondement biologique au racisme». Or,
«La biologie tout entière est contre
cette notion que les races n’existent pas. Au contraire, et de nombreux travaux
vont dans ce sens, on étudie les particularismes ethniques (on a le droit de
parler d’ethnie, pas de race). Dans tous les travaux, repris par tous les
grands périodiques de médecine, on démontre par exemple une susceptibilité
différente à la plupart des maladies, y compris les maladies infectieuses,
selon les races. Par exemple, chez les Européens, la mucoviscidose est une
maladie très commune que les Noirs n’ont pas, ou très peu. À l’inverse, les
Noirs souffrent de l’anémie falciforme qui est due à
une mutation de l’hémoglobine (L’anémie
falciforme ou drépanocytose
est une maladie qui affecte quasi exclusivement des personnes de race noire, c’est
une maladie génétique donc héréditaire. Elle est également autosomique,
c'est-à-dire sans distinction du sexe. La transmission est dite récessive donc
un sujet n’est atteint que s’il hérite du gène malade chez chacun de ses deux
parents. En France, le dépistage fait suite à un test néonatal dans 80% à 90% des
cas. Il peut aussi être proposé en cas d’antécédents ou de manifestation de la
maladie dans la famille. C’est très curieusement la maladie génétique la plus
fréquente en France. Depuis 2009, le 19 juin est la journée mondiale pour la
lutte contre la drépanocytose et l’une des priorités de l’Organisation Mondiale
de la Santé (OMS) pour la zone Afrique. Cette maladie affecte les populations de race noire originaires
d’Africaine subsaharienne, des Antilles, d’Amérique du Nord, du bassin
méditerranéen, du Moyen-Orient et d'Inde. En France, elle concerne plus de 20
000 patients connus et 400 nouveaux nés sont atteints chaque année, dont la
moitié en Île-de-France. L’immigration a un cout ! Il est bien évident que
l’on vous cache ce cout supplémentaire imposé aux Français de souche par cette
maladie spécifique pour plus de 80% aux émigrés), les Juifs Ashkénazes ont la maladie de Tay-Sachs, une terrible
atteinte neurologique des enfants. Pour des populations méditerranéennes, c’est
la thalassémie, une autre mutation de l’hémoglobine. On peut donc
dire que les races sont inégales dans le sens où chacune d’elles a un fardeau génétique particulier qui
n’existe pas chez les autres». Gérard Lucotte notait également que «Chaque
race est l’aboutissement d’une longue histoire biologique d’où résulte
l’adaptation génétique au climat et aux conditions de vie. Chaque race est bien
entendu adaptée au biotope dans lequel elle vit. Il y a bien une seule espèce
humaine, et non plusieurs comme certains le croyaient à une époque. À
l’intérieur de cette seule espèce, il y a diversification, c’est-à-dire
différentes adaptations que sont les grandes races. Et à mon avis, il est très
important que cette diversité – véritable trésor délicat de l’adaptation différentielle
– soit maintenue».
Pour
cela, le chercheur doit faire preuve d’honnêteté et de courage dans une société
dont l’idéologie marxiste culturelle conduit à la falsification et au mensonge
afin de satisfaire le rêve égalitaire et collectiviste) ; Chris
Brand a
attiré l'attention des médias marxistes culturels avec sa très juste affirmation
selon laquelle l'intelligence générale
héritée ou facteur g est un ensemble de plusieurs facteurs, génétiques,
cognitifs (provenant des entraînements) et sociaux ou environnemental
(l'influence des pairs, du sexe, de la race, de la profession à l'âge adulte,
etc. ). Brand a écrit que l'intelligence générale est un facteur important dans
la détermination des résultats de la vie pour ceux qui ont des scores de QI plus
faibles. Parlons un instant encore du Quotient Intellectuel ou QI avec monsieur
Henri de Lesquen qui donne ici 10 points sur les
inégalités entre les races humaines, le QI moyen à travers le
monde est de 106 pour les Asiatiques de l’est (Extrême-Orientaux), de 100 pour
les Blancs, de 85 pour les Noirs américains, et de 70 pour les Africains noirs,
chez certaines ethnies en centre Afrique les QI dépassent rarement 59. Les
différences raciales sont maximales sur les sous-tests les plus pondérés en g
(facteur général de capacité mentale, ou première composante principale» ; il
mesure le «principe actif» dans les
tests d’intelligence). Les différences raciales sont les plus nettes sur les
sous-tests de QI dont les résultats dépendent le plus de l’hérédité. Les
différences raciales de volume cérébral sont parallèles aux différences de QI. Les
métis ont en moyenne un QI intermédiaire entre ceux de leurs deux populations
parentales. Les études sur les adoptions trans-raciales montrent que les
enfants noirs, métis et est-asiatiques élevés par des parents blancs ont un QI
plus proche de la moyenne de ceux de leurs parents biologiques que de la
moyenne chez les Blancs. On observe chez la descendance et la fratrie des
sujets une régression vers le QI moyen de leur race. Les races sont
systématiquement différentes, et dans le même ordre, sur 60 traits qui
décrivent «l’histoire de vie». Les
différences raciales de QI sont conformes aux dernières données sur l’origine
de l’espèce humaine (le modèle «out of
Africa»). Enfin, les explications par l’environnement des différences
raciales de QI ont été testées et ont régulièrement fait la preuve de leur
inadéquation. Je voudrais aussi attirer votre attention sur les prix Nobel et
les races. La répartition des prix Nobel scientifiques attribués
par race depuis leur création, dans le
détail sont:
- Blanc: 485
- Asiatiques: 21
- Bruns (sous-continent
Indien) : 6
- Noirs : 0
Des chiffres sans appel.
Les blancs représentent 95% des prix Nobels scientifiques, les asiatiques 4%,
les «bruns» le 1% restant et les
noirs (bien que plus de1 milliards) 0%. Certains marxistes culturels diront
bêtement que ça ne prouve pas que les blancs soient plus intelligents que les
noirs car les noirs vivent dans des environnements défavorables. Mais il
conviendrait plutôt de se demander pourquoi ces noirs vivent dans un
environnement défavorable à la science alors que les blancs vivent dans un
environnement favorable ?
Il
est aussi à noter que les sud-africains blancs, bien que seulement 5 millions
et vivants dans le fameux «environnement
défavorable», ont 3 prix Nobel scientifiques dont le dernier remontre à
2002. A comparer avec 0 prix Nobels scientifiques pour les autres africains
subsahariens de race noire. Les conclusions logiques sont évidentes.
Maintenant il est évident
que les hommes de race noire ont obtenus des prix Nobel, mais bon certains pour
des raisons politiques donc marxistes culturelles ont été décernés à des
grosses enflures criminelles et terroristes évidemment communistes ! Le 8
Décembre 2013 j’écrivais après la mort de Thembu (dit Nelson Mandela) de
l'ethnie Xhosa qui règne sur une partie du Transkei en Afrique du Sud : En
titre : «Mandela
le kafir cache misère est mort»
puis :
«La mort de Nelson Mandela déclenche une
prévisible hystérie médiatico-politique. Pour les prochains jours : déluge
d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens abrutiles
et slogans idiots en vue. Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des
années durant un chef terroriste d’extrême gauche (chef de l’UmKhonto we Sizwe,
l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain). Rappelons que
le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement,
a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme criminel),
s’il rejetait «inconditionnellement le recours à la violence comme arme
politique». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres
racistes. Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour
les Blancs, et pour beaucoup de Noirs». Il est important de voir cette
vidéo de l’historien et enseignant Bernard Lugan interrogé par un merdiatocrasseux
marxiste culturel ou politiquement correct toutefois modéré (et c’est pas
facile d’en trouver un) et prendre conscience que l'Afrique
du Sud est en perdition, monsieur
le grand historien de l'Afrique Lugan nous parle ici de l’Afrique réelle allez
y voir c'est très bien documenté. Les nominations pour le prix Nobel de la paix sont le
fruit de propositions argumentées et détaillées, émises par des membres
d'Assemblées nationales ou des Congrès législatifs, des cercles de professeurs
en université dans le domaine de la géopolitique, du droit et des sciences
politiques, le plus souvent des marxistes culturels
ou d'anciens lauréats du prix, des magistrats spécialisés dans le droit
international et des
conseillers spéciaux du Comité norvégien créé spécialement pour cette branche
du Nobel. Les nominations sont normalement tenues à rester secrètes durant 50
ans. Plusieurs d'entre elles sont désormais connues et médiatisées, notamment
celles comprises entre 1901 et 1955. Quand certaines de ces listes ont été
révélées à la presse, on a pu découvrir qu'Adolf Hitler avait été un temps nommé en 1939 par Erik Brandt, membre du Parlement suédois, avant que celui-ci ne
soit revenu sur sa décision quelques jours plus tard. D'autres propositions de
ce genre ont été soumises au Comité telles que Benito Mussolini (en 1935) ou encore Joseph Staline (en 1945 et en 1948) c’est dire le «sérieux» du prix.
Contrairement aux autres prix, rétrospectifs, valorisant
l'œuvre d'une vie en sciences, le Nobel
de la paix a souvent distingué une action particulière sans que celle-ci soit
forcément soumise à l'épreuve du temps : celle d'une personne ou d'une
structure qui aurait résolu un conflit international ou tenté d’élaborer un
consensus pacifique. De fait, plusieurs récompenses ont été attribuées sans
prendre en compte le passé notoirement criminel du lauréat ou sa politique et
ses actes intermédiaires comme ceux de Mandela, Lê Đức Thọ ou de Yasser Arafat en contradiction avec la définition du prix. En
conséquence, en 2005, le Comité Nobel a affirmé publiquement que le prix ne
reviendrait plus qu'à des personnes, groupes ou organismes qui auront engagé
leur existence au service des droits de l'homme, de la promotion du modèle démocratique ainsi que de la défense des voies
de la diplomatie. Néanmoins, au cours des années 2000, le prix a été décerné à un ex-président, un
ex-vice-président et un président en exercice des États-Unis (Jimmy Carter, Al Gore et Barack Obama après à peine neuf mois de présidence), alors que ce
pays a un fort engagement militaire hors de ses frontières. Le dernier et
important reproche fait au Nobel concerne l'efficacité et la valeur réelle de
cette récompense lorsqu'elle est revenue à des personnalités dont les efforts
diplomatiques ont été jugés aussi «vains»
que «stériles» à l'instar de l'ex-secrétaire
général des Nations unies Kofi Annan ou de l'ancien directeur de l'Agence
internationale de l'énergie atomique Mohamed el-Baradei.
Les prix Nobel attribués à
des hommes de race noire en Afrique sont très peu nombreux et aucun
scientifiques. En 1986 le Nigérian Wole Soyinka se voit décerner le prix
Nobel de littérature. Il devient ainsi le premier lauréat africain et la
première personnalité noire à recevoir ce prix. Le
prix Nobel de la «paix» est attribué
à Albert John Mvumbi en zoulou dit Lutuli
ou Luthuli, ex chef de tribu et ex président de l’ANC et membre de
l'Internationale socialiste reçoit
ce prix en 1961, pour son soi-disant combat contre l’apartheid. En 1984 Monseigneur Desmond
Tutu archevêque sud-africain est honoré pour sa prise de position en faveur de
sa soi-disant «lutte» contre
l’apartheid.
En 1993 le terroriste communiste Thembu (dit Nelson Mandela) de
l'ethnie Xhosa, obtient le prix Nobel de la paix conjointement
avec l’Afrikaner blanc Frederik Willem de Klerk.
En
2004 Wangari Maathai une kényane est la première
femme africaine à obtenir ce prix. Elle reçoit la célèbre distinction en vertu
de «sa contribution en faveur
du développement durable, de la démocratie et de la paix».
En
2011 l’actuelle présidente libérienne Ellen Johnson Sirleaf reçoit le prix Nobel de la paix (Ellen
Johnson Sirleaf est une métisse ; son grand père était Allemand, Ellen Johnson Sirleaf effectue
ses études aux USA et reçoit un baccalauréat ès sciences en comptabilité au
Madison Business College, à Madison (Wisconsin) en 1964, un diplôme d'économie
de l'université de Colorado en 1970, et un master en administration publique de
l'université Harvard en 1971. Elle est avocate. Le Liberia est un
paradis fiscal dont l'une des particularités est de ne jamais faire apparaître
le nom des personnes physiques sur ses registres du commerce. Le Liberia fait aussi
partie des pavillons de complaisance. Le
Libéria a été créé pour
permettre le retour des esclaves noirs américains libérés sur le sol africain
ce fut un échec. Né au début des années 1820, de l’idée d’une société
philanthropique nord-américaine qui proposait aux esclaves noirs affranchis de
retourner sur le continent de leurs ancêtres. L'histoire de
ce petit Etat, au Sud de la Sierra Leone, commence aux débuts des années 1820,
lorsque plusieurs contingents d’anciens esclaves noirs américains débarquent à
l’embouchure du fleuve Saint-Paul. Dès le départ, les relations avec les
populations locales sont compliquées. Pendant la colonisation par des noirs
américains des noirs autochtones, des affrontements avec les oirs autochtones
ont lieu, des terres leur sont extorquées et une démocratie à deux vitesses est
instaurée. Le vote, censitaire dans un premier temps, permet aux noirs Américano-Libériens
de conserver le pouvoir. Ceux-ci reproduisent le système de domination
esclavagiste comme celui où ils étaient assujettis aux Etats-Unis. (L’esclavage
en Afrique est endémique et existe toujours. On attribue injustement la traite
négrière pour les USA aux européens, il faut savoir qu’à partir du XVIe siècle
les expéditions menées par les gouverneurs musulmans d'Alger se multiplient
dans le Sahara central, puis qu’avec l'effondrement de l'empire songhaï une
chasse aux esclaves commence dans les pays du Niger. la traite transatlantique
de l'époque moderne n'aurait pas été possible sans la participation des «états» africains : Ashanti, Dahomey,
États Yorouba , Bassin du Congo (au sens du bassin du Congo; les
États issus de la colonisation sont ici anachroniques) et Ndongo). Lorsqu'ils débarquaient sur les côtes
d'Afrique de l'ouest, les négriers européens achetaient ou troquaient les
esclaves noirs capturés à l'intérieur des terres par les ethnies dominantes). Au
début des années 1930, la SDN (Société des Nations) accuse même les «Américano-Libériens» du Libéria, grands propriétaires fonciers, de
pratiques très proches de l’esclavage envers les indigènes. Les populations
locales n’auront le droit de vote qu’en 1945, soit près d’un siècle après
l’indépendance du pays. Madame Ellen Johnson Sirleaf a reçu le prix Nobel de la
paix conjointement avec sa compatriote Leymah Gbowee travailleuse sociale, responsable de
l'organisation du mouvement pacifiste Women of Liberia Mass Action for Peace.
Deux prix Nobel de la paix
seulement sont décernés à des hommes de race noire aux
états Unis dont un, le premier à un métis. Il n’y aura aussi qu’un seul prix
Nobel de littérature.
Ralph Johnson Bunche un
métis né à Détroit, dans l'État du Michigan, dans une famille afro-américaine
aux racines irlandaises a reçu en 1950 le Prix Nobel de la paix pour sa
médiation fin des années 1940 en Palestine. C’était un américain ancien
enseignant politologue et diplomate, qui a été la première personne dite «de couleur» à être honoré dans
l'histoire du prix. Bunche était un marxiste culturel partisan actif du
mouvement des droits civiques aux États-Unis. Il a participé à la marche de
1963 à Washington, où Martin Luther King a prononcé son fameux discours «I Have a Dream», ainsi qu'à la marche
de Selma à Montgomery en Alabama en 1965, qui a contribué à l'adoption du
Voting Rights Act de 1965, l'application des droits de vote. Ce qui n’a rien
changé pour le peuple noir américain.
Martin Luther King, Jr. (Né le 15 janvier 1929, mort le 4 avril 1968),
était un Pasteur, activiste marxiste culturel et leader du mouvement
afro-américain des droits civiques américain. La mise en orbite
de Martin Luther King commence avec le plagiat de sa thèse de doctorat. Plagiat
attesté par un académicien gauchiste proche de King, David J. Garrow, et
confirmé par une étude de l’université de Boston. Il a pu le faire grâce à la
complaisance des gauchistes (marxistes culturels) qui dominaient l’université
et qui le portaient à bout de bras, voyant en lui un noir susceptible de
devenir un leader et d’entraîner les fameuses
«masses» et donc de créer du désordre.
Martin
Luther King a été incarcéré en 1956 pour avoir organisé un boycott illégalement
gagnant ainsi sa légitimité marxiste. En
1964, King est devenu le plus jeune américain à recevoir le Prix Nobel de la
paix. Un rapport préparé par le
FBI à quelques semaines de son assassinat en
avril 1968 est un véritable réquisitoire contre lui. L'hostilité de Edgard
Hoover, le légendaire directeur des «Incorruptibles»,
contre King était bien connue. Hoover était convaincu qu'il était
communiste. Le rapport le
décrit comme un marxiste dévoué, qui a étudié le marxisme, y croit, mais parce
qu'il est pasteur n'ose pas épouser ses idées publiquement, c’est tout à fait
ce qui caractérise le marxiste culturel dans toute sa splendeur de crétin
lobotomisé. Le FBI a aussi
enquêté sur la vie privée du futur prix Nobel de la paix qui n'était pas des
plus exemplaires : King était un pervers dépravé notoire,
adultère, très grand consommateur d’alcool et de prostituées qu’il lui arrivait
de battre. Il a eu de très nombreuses liaisons extra-conjugales,
dont l'une avec la chanteuse Joan Baez et aurait même eu un enfant avec la
femme d'un dentiste noir très connu. Ses frasques ont notamment été dénoncées
par Jackie Kennedy elle-même. Bref, le profil idéal pour être la gentille
marionnette des marxistes culturels voulant détruire la civilisation
occidentale et qui se servirent de la fameuse et pour ne pas changer dans
l’absurdité «lutte» pour les droits
civiques dans le sens de leurs objectifs révolutionnaires. De toute façon tout
ça c’est du bidon, les différences d’intelligence sont telles entre les blancs
et les noirs que depuis 1950 la situation "sociale" des
noirs américains ne s’est pas améliorée ! Bien pire, au niveau de la
délinquance et notamment des viols aux états unis, savez-vous par exemple qu’en
2005 aux USA, 36 000
femmes blanches ont été violées par des hommes noirs, aucune femme noire n’a
été violées par un homme blanc. Ce qu'il y a de bien avec les pays anglo saxons, c'est qu'ils autorisent
les statistiques ethniques et disons le mot, raciales. En effet selon le
département américain de la Justice, en 2005, 33,6 % des femmes blanches qui
ont été violées, l'ont été par un homme noir (les noirs représentent 12% de la
population US). A l'inverse aucun homme blanc n'a violé une femme noire. Pire,
la totalité des femmes noires violées l'ont été par un homme noir. Non vous ne
vous êtes pas trompé en lisant. Oui vous avez bien lu. Les preuves et les
statistiques officielles sont disponibles ici (table 42).
Il n’y eu aux USA qu’un
seul prix Nobel de littérature ; Toni Morrison (né Chloé Anthony Wofford
le 18 février 1931) romancière, essayiste, critique littéraire, dramaturge, librettiste, professeur de littérature et éditrice américaine, gauchiste et marxiste culturelle
lauréate du Prix Pulitzer
en 1988,
et du prix Nobel de littérature
en 1993.
Elle est à ce jour la huitième femme et le seul auteur afro-américain
(c’est-à-dire une femme de race noire de nationalité américaine) à avoir reçu
cette distinction. Aux États-Unis, les propos excessifs et très marxistes
culturels de Toni Morrison concernant Bill Clinton ont fait grand bruit lorsqu'elle a qualifié
celui-ci de «premier Président noir
américain», expliquant son idée par le fait que «Clinton présente toutes les caractéristiques du citoyen noir: un foyer
monoparental, une origine très modeste, une enfance dans la classe ouvrière,
une grande connaissance du saxophone et un amour de la junk food (La
malbouffe) digne d'un garçon de l'Arkansas». Cette opinion a été adoptée par les
supporters de Clinton notamment au Congrès électoral des Noirs américains («The Congressionnal Black Caucus»: the
CBC). Toni Morrison a apporté publiquement son soutien à Barack Obama lors de l'investiture démocrate (la
gauche américaine) puis pour sa campagne aux élections présidentielles de 2008
et 2012. Le président Barack Obama la décore par ailleurs et pour la remercier de
la Médaille présidentielle
de la Liberté fin 2012.
Pour finir, Arthur Lewis
Sir (William) Arthur Lewis (né en 1915 à Sainte-Lucie, qui était encore à l'époque un
territoire britannique dans les Caraïbes) est un économiste bien connu pour ses
contributions dans le domaine du développement économique. En 1979, il a
remporté le dit et soi-disant «prix Nobel
d'économie», devenant la première personne de race noire à remporter un
prix Nobel dans une catégorie autre que la paix ou la Littérature. Le prix
de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel,
surnommé «prix Nobel d'économie», est
une distinction qui récompense chaque année une ou plusieurs personnes pour leur
contribution dans le domaine des «sciences»
économiques. Il a été créé en 1968 et doté par la Banque de Suède, à l'occasion
de son 300e anniversaire. Il a été décerné pour la première fois en 1969. C'est
le seul prix géré par la Fondation Nobel qui n'a pas été créé par le testament
d'Alfred Nobel. Comme l'attribution du prix Nobel de la paix il
donne souvent lieu à de bonnes controverses quant au choix des lauréats, mais
le «prix Nobel» d'économie est
surtout contesté pour sa pertinence même, en premier lieu parce que la
correspondance d'Alfred Nobel ne fait jamais mention de son intention de
récompenser cette discipline — ce que souligne notamment depuis 2001 Peter
Nobel, son arrière-petit-neveu, ancien médiateur suédois à l'immigration et ancien
président de la Croix-Rouge suédoise.
Nous n’en avons pas encore
fini avec Chris Brand le
professeur Anglais psychologue
et chercheur en psychométrie
qui a attribué les différences socio-économiques parmi les personnes
d'ascendance africaine aux différences évidentes dans l'intelligence générale. Brand
sur la disparité entre les races et
races et intelligence dans
les résultats moyens des tests d'aptitudes cognitives a suscité bien sûr la
controverse des MC (Marxistes Culturels), en particulier à cause de son soutien
aux causes héréditaires, par exemple la drépanocytose qui est une maladie qui affecte
quasi exclusivement des personnes de race noire qui est une maladie génétique
donc héréditaire comme on l’a précédemment vu.
Avec Glayde Whitney on
attaque une autre vue du racialisme. Glayde Whitney est un scientifique généticien comportementaliste
américain et psychologue. Il était professeur à la Florida State University.
Au-delà de son travail sur la génétique du fonctionnement du système sensoriel
chez la souris, il soutint des recherches sur la race et l'intelligence. Le
prestigieux prix Claude Pepper pour l'excellence en recherche de l' Institut
national sur la surdité et d'autres troubles de la communication a été décerné à certains
de ces travaux. En 1994, il a reçu le prix Manheimer du Centre Monell Chemical Senses Sciences
chimiosensorielles. Il était le président de la Behavior Genetics Association de 1994 à 1995
(pour donner le ton, son discours présidentiel avait suggéré la nécessité
d'étudier la possibilité de facteurs génétiques derrière la forte incidence de
la criminalité noire en Amérique. En 2016, lors du quatrième débat de la
primaire démocrate à l’investiture présidentielle, la candidate démocrate et
marxiste culturelle Hillary Clinton elle-même a répondu à une question sur les
différences de traitements que subissent les Noirs américains en rappelant qu’«un Afro-Américain sur trois pourrait bien
finir par aller en prison. C’est ce que disent les statistiques». La
candidate démocrate n’est pas la première à citer ces chiffres : en juin, son
rival Bernie Sanders affirmait la même chose. CQFD), Whitney a fait des
différences importantes de QI constaté dans la recherche d'intelligence des
différente races humaines un argument héréditaire et a considéré l'action positive comme le résultat d'une grande disparité
entre la rhétorique publique et les réalités scientifiques. Glayde Whitney
dira : «Au fur et à mesure que
les données scientifiques sont apparues, il devenait de plus en plus certain
que les différences génétiques (l'hérédité) jouaient un grand rôle dans la
divergence, mais en public il devenait politiquement
incorrect de reconnaître
même qu'il y avait une différence». Politiquement incorrect est le contraire
du politiquement correct dit aussi forme de la langue de
bois, figure
de rhétorique marxiste culturelle consistant à éviter de présenter une réalité
par l'utilisation de tournure de phrase et d'expressions usuelles qui peuvent
servir à dissimuler une incompétence crasse ou une réticence à aborder un Le MC
est une religion séculière) ou qui font appel davantage aux sentiments qu'aux
faits. Il s'agit moins d'impressionner l'interlocuteur en passant pour plus
savant qu'on l'est que d'éluder le sujet afin d'éviter de répondre à une question
ou un sujet embarrassant.Avec Helmuth Sörensen Nyborg, né le 5 janvier 1937, professeur de psychologie développementale à l'université d'Aarhus et pour une fois pas un américain mais un danois on attaque un gros morceau qui va faire bondir les marxistes culturels et en particulier les féministes, en l’occurrence le fait indéniable et maintenant prouvé que le QI des femmes est dans l’absolu inférieur (de très peu, mais inférieur tout de même) à celui des hommes. Son domaine de prédilection est le lien entre hormones, sexe, races et intelligence. Il a travaillé entre autres sur l'augmentation de l'intelligence des filles par le syndrome de Turner en leur donnant des œstrogènes. En 2007, ses recherches sont censurées pour des raisons politiques par la direction de l'université d'Aarhus, l'obligeant à partir. Plus tard il sera mis hors de cause par le Danish Committees on Scientific Dishonesty (DCSD).
En 2005, il publie un article intitulé Sex-related differences
in general intelligence g, brain size, and social status dans la
revue Personality and individual differences. Nyborg est
suspendu par les thuriféraires de l’idéologie marxiste culturelle suite aux
critiques par les mêmes de sa recherche scientifique. Toujours sur le
même sujet du quotient intellectuel, les hommes sont plus intelligents
que les femmes, selon une étude menée sur 24 000 étudiants qui sera publiée en
2005 dans le «British Journal of
Psychology». En moyenne, les hommes ont cinq points de plus de QI, ce qui
les rend «plus efficaces pour les tâches
très complexes». Des différences dues à la génétique des deux sexes,
expliquent les auteurs de cette étude, Paul Irwing et Richard Lynn, des universités de Manchester et d'Ulster. Pour eux, cela explique le
fait que beaucoup plus d'hommes que de femmes obtiennent des prix Nobel ou
deviennent de grands maîtres aux échecs (À ce jour, seules 17 femmes sur 923 lauréats, ont vu leurs travaux scientifiques couronnés par le prix
Nobel. Marie Curie fut la première, en 1903 et 1911, suivie de sa fille Irène
Joliot-Curie en 1935, mais les autres restent dans l’ombre. On connaît les
biologistes Françoise Barré-Sinoussi,
primée en 2008, Barbara McClintock (1983) et Rita Levi-Montalcini (1986), mais
qui a entendu parler de Linda Buck, d’Ada Yonath, Youyou Tu ou d’Elizabeth
Blackburn). La différence est de plus en plus marquée à mesure qu'on s'élève
dans le degré d'intelligence: pour les QI de 155 - où l'on entre dans la
catégorie génie -, on trouve par exemple cinq fois plus d'hommes que de femmes.
Le professeur Irwing aurait préféré d'autres résultats : «Pour des raisons personnelles, dit-il, j'aimerais croire que les hommes
et les femmes sont égaux. Mais les arguments en faveur de différences
biologiques sont devenus de plus en plus forts». Son collègue, qui avait
déjà publié en 2003 une étude établissant un rapport entre la prospérité dans
60 pays et le QI moyen de leur population, dit : «Le cerveau des hommes est 10 % plus gros que celui des femmes, ce qui
donne aux hommes une plus grande puissance cérébrale». Dans son article
Nyborg rapporte une différence et supériorité de 5 % de QI en faveur
des hommes. L'article provoque des réactions du public et de la communauté
académique marxiste culturelle particulièrement les non scientifiques au
Danemark, par exemple dans un éditorial de la revue Politiken journal de soi-disant information ou comme chez nous
les merdiatocrasseux et marxistes culturels proche des sociaux-démocrates
danois mènent les «luttes» débiles
pour une «égalité hommes/femmes» qui n’existe que dans leur tronches de
lobotomisés MC. Un comité de scientifiques
de l'université d'Aarhus le trouve innocent de fraude scientifique mais
coupable de «comportement grossièrement
négligent» (comprendre négligence dans le politiquement correct) et le
réprimande sévèrement. Il est ensuite acquitté par le Danish Committees on Scientific Dishonesty (en) de l'accusation de fraude scientifique et l'université est obligée de lui rendre sa chaire. Le silence des merdias
est alors assourdissant !
Le 21 septembre 2006, l'université lui adresse une «réprimande sévère» révoque sa
suspension, et déclare l'affaire close. Selon une information datant de 2006
parue dans la revue Science: «Des collègues
scientifiques (des vrais savants en biologie, chimie, physique, mathématiques, etc. et pas
des petits branleurs en science «sociales»
marxistes culturels), du monde entier ont ralliés la défense de Nyborg, accusant l'université
de motivations politiques (comprendre marxistes culturelles),
et disant qu’il n’y a pas d’erreurs dans les résultats de ses recherches
En 2011, il publie « The Decay of Western
Civilization: Double Relaxed Darwinian Selection» dans le journal Personality and individual differences, pointant l'immigration d'Afrique du nord et du sud comme une des causes de
la diminution progressive des allèles pour une haute intelligence en Europe. Il
y affirme très justement que les migrations au Danemark de populations venant
du tiers-monde auront pour effet une baisse du QI moyen au Danemark. Pour moi
et pour beaucoup d’autres c’est une généralité en Europe toute entière.
Le 31 octobre 2013, le Danish Council for Scientific
Misconduct le déclare coupable de fraude
scientifique pour son article The decay of Western civilization:
Double relaxed Darwinian selection publié dans Personality and Individual Differences. Il est, selon eux, coupable
de deux charges principales: d'abord d'avoir publié l'article sans avoir fait
référence à Jørn Ebbe Vig comme co-auteur. En réponse, Nyborgs indique qu'il a
proposé à Jørn Ebbe Vig d'être co-auteur de l'article mais que celui-ci a
demandé à ne pas être cité, ce qui a poussé Helmuth Nyborg à le publier seul.
La seconde charge est que Helmuth Nyborg a négligé d'indiquer dans le
paragraphe méthodologique qu'il a converti le taux de fécondité en un taux de natalité, erreur qui ne change rien aux résultats de la recherche mais qui est pour
le DCSD équivalente à fabriquer des données sans le dire ou à substituer des
données fictives. Quand Helmuth Nyborg apprend que cela pose problème, il
envoie un addendum à la revue, ce qui est une pratique commune quand des erreurs
sont découvertes dans des articles publiés. Cependant le DCSD continuera à
considérer qu'il s'agit d'un exemple de grande négligence et donc de fraude
scientifique.
En 2015,
la revue publiera un éditorial commentant l'article et conclura que Helmuth
Nyborg n'a commis ni fraude scientifique ni plagiat. Cette conclusion est basée
sur le verdict du groupe de travail ad hoc formé du professeur Ian Deary, du professeur
Jelte
Wicherts,
du grand professeur américain John C. Loehlin (John Loehlin est un généticien du comportement (behavior
geneticist)
et professeur émérite de psychologie (psychology) et d' informatique . Loehlin était le
président de la Behavior
Genetics Association and of the Society for Multivariate Experimental Psychology. Il est un lauréat de l'ISIR à
vie. La
Société internationale pour la
recherche de renseignements (ISIR)
est une société scientifique pour les chercheurs en intelligence humaine. John Loehlin a également écrit on the race and intelligence
controversy
la fameuse controverse qui n’a pas lieu d’être sur les races humaines et les
différences constatées entre leur intelligence. Il a été un des directeurs de
l'American Eugenics Society de 1968 à 1974. En
1994, il était l'un des 52 signataires sur Mainstream Science on
Intelligence une
déclaration publique écrite par Linda Gottfredson, publiée en réponse à la critique marxiste
culturelle des conclusions présenté dans le livre The Bell
Curve.
Parmi ses étudiants au doctorat se trouvais Eric Nathan Turkheimer professor of psychology at the University of Virginia (Dans un commentaire
de 2011 sur les influences de l'environnement sur le comportement humain, il a
écrit que «l'environnement non partagé,
en une phrase, est le libre arbitre. Ce n'est pas le genre de libre arbitre métaphysique auquel
personne ne croit plus, selon lequel les âmes humaines flottent au-dessus des
contraintes mécaniques du monde physique, mais un libre arbitre incorporé, lié
à la biologie, qui englobe notre capacité à répondre à des circonstances
complexes et imprévisibles dans le processus de construction d'un soi»).
En
1995, John
Loehlin a participé au groupe de travail de l'American Psychological
Association
pour rédiger une déclaration consensuelle sur l'état de la recherche en
intelligence en réponse aux revendications avancées dans la controverse de Bell
Curve,
intitulée «Intelligence:
Knowns and Unknowns». Dans le groupe de
travail qui conclura qu’Helmuth Nyborg n'a commis ni fraude scientifique ni
plagiat il y avait aussi monsieur le Professeur
de psychologie William Revelle. Il est très
intéressant de savoir que Nyborg portera plainte contre le CCSD, et qu’il
gagnera son procès en mars 2016 et recevra en dédommagement 200 000 kr (environ
22 000 €).Nyborg a donc raison sur tous les plans et les marxistes culturels
devront bien admettre que les hommes sont supérieurs aux femmes comme les
blancs le sont aux noirs ; CQFD et silence des médias.Chris Brand le professeur psychologue et chercheur en psychométrie qui a trouvé des différences socio-économiques notables parmi les personnes d'ascendance africaine et des différences évidentes dans l'intelligence générale des races. Il a eu l’honneur et l’avantage de voir monsieur Tatu Vanhanen docteur en philosophie, est professeur émérite de science politique à l'Université de Tampere, en Finlande, père du Premier ministre finlandais Matti Vanhanen qui en 2002, a abordé le thème de la comparaison entre race et intelligence, avançant que le QI moyen des Finlandais était de 97, alors qu'en Afrique il était compris entre 60 et 70 (en centre Afrique on trouve des QI de 50), ceci pour des raisons d'évolution. Les différences ethniques et raciales en matière d'intelligence sont le facteur le plus significatif pour expliquer la pauvreté a conclu Tatu Vanhanen. Encore une fois CQFD.
Revenons à notre camarade Stalinien Lyssenko qui, s’il avait eu connaissance des chiffres donnés par tous ces grands scientifique pour prouver la validité de leurs théories sur les évidentes différences d’intelligence entre les races humaines et même les sexes, aurait sans doute créé un Bureau de la Statistique progressiste et soviétique, afin de démontrer, la supériorité du Lamarckisme sur la sélection naturelle et la génétique.
Normalement ce livre devrait faire un certain bruit et l’objet de vives critiques par toute la clique marxiste culturelle, socialiste, gauchiste et même communiste (mais si il en reste, j’en connais au moins un, membre d’une vraie «cellule» avec carte du parti et pèlerinage au mausolée de Lénine (sorte de Mecque Marxiste) un ami enseignant d’ailleurs très sympa mais très naïf… heureux les faibles en esprit car le royaume etc. etc.). J’aimerais (mais est-ce trop demander ?) que sur le sujet des races et de l’intelligence, ne m’oppose des critiques que de vrais scientifiques, pas des merdiatistes ou des philosophes de pacotilles marxistes culturels !
Le marxisme est depuis Raymond Aaron une religion séculière, pour lui le marxisme était l'opium des "intellectuels". Si Raymond Aron a consacré tant de sa vie à l’étude de Marx et du marxisme, c’était surtout parce que le marxisme servait de fondement à une religion séculière, le communisme, et d’idéologie à l’Empire soviétique. Monsieur Aron n’a pas vu venir le marxisme culturel qui est aujourd’hui la religion séculière marxiste pour une grande partie du monde. Le fameux «progressisme» représente chez eux la somme de ce qu’il y a de bon en l’homme. Leur pensée a d’abord été réglée par le christianisme et son arsenal de récompenses, de punition et de menaces, son ciel, son enfer et son paradis, structure qui sous-tend toujours la pensée marxiste culturelle et son credo socialiste qu’elle a repris à son compte. L’occident a été pendant des siècles dominé par la figure du prêtre , pendant deux millénaires les européens ont été sous la férule des clercs ; quand les protestants se débarrassèrent de la dictature internationaliste de Rome, ce schéma était si profondément inscrit en eux qu’ils maintinrent chez la plupart la fonction cléricale. Et lorsque le christianisme perdit de la prééminence, nous ne trouvâmes rien de mieux que de tomber sous la coupe d’une nouvelle religion séculière politicienne et marxiste culturelle, une nouvelle église avec ses hiérarques et leurs chefs, leurs hérésies, leur credo, leur dogmatisme et leur intransigeance. La plupart d’entre vous sont persuadés d’être des individus épris de liberté, de démocratie, d’originalité, capables de libre arbitre. En fait on nous conditionne à nous réclamer de quelque chose ou de quelqu’un nécessairement politiquement correct c’est-à-dire marxiste culturel pour nous obliger à nous intégrer à un groupe, une bande ou un vaste troupeau de crétins!
Combien parmi vous savent
que le marxisme culturel est à l’origine d’une catastrophe sanitaire mondiale,
le tabagisme féminin. Lorsqu'ils
évoquent le tabagisme féminin, les épidémiologistes n'hésitent pas à parler de «catastrophe
sanitaire annoncée». Selon une étude publiée récemment dans la revue Annals
of Oncology, le nombre de morts par cancers du poumon en Europe a diminué, entre 1985 et
2000, de 15 % chez les hommes mais a augmenté de 32 % chez les femmes. «Le
fait que les femmes sont plus nombreuses à fumer et qu'elles fument de plus en plus est un échec majeur des
politiques de santé publique et doit être un défi pour les années à venir», a commenté le
professeur Peter Boyle, coauteur de l'étude. La France n'est pas
épargnée par ce phénomène. Chez les 12-25 ans, la prévalence tabagique des
filles (36,5 %) est devenue quasiment égale à celle des garçons (36,8 %) et, en
trente ans, le nombre de fumeuses régulières (plus de 10 cigarettes par jour)
est passé de 10 % à 26 %. Cette progression devrait entraîner un pic
épidémiologique dans une vingtaine d'années. Les spécialistes estiment qu'en
2025, il y aura probablement autant de décès féminins par cancer du poumon que
par cancer du sein. «Historiquement, les hommes ont commencé beaucoup plus
tôt que les femmes à fumer. Les hommes de plus de 50 ans arrêtent parce qu'ils
voient autour d'eux la réalité de la mortalité due au tabac. A l'inverse, pour
les femmes, il y a un décalage dans le temps, elles ne sont pas encore arrivées
au summum de la courbe épidémiologique», explique le docteur Annie Sasco,
du Centre international de recherche sur le cancer. La progression du
tabagisme féminin a suivi l'évolution de ce que d’une façon politiquement
correcte on nomme l'émancipation des femmes (comprendre le féminisme), relayée
par le marketing des cigarettiers. C'est dans les années 1920 que l'industrie
du tabac américaine s'est tournée vers ce nouveau marché. «Prenez une Lucky
plutôt qu'une friandise», vantait, en 1925, une campagne publicitaire de
Lucky Strike, qui tablait déjà sur la peur de la prise de poids pour inciter
les femmes à fumer. Importée des Etats-Unis et associée à un symbole de
liberté, la cigarette s'est répandue chez les femmes françaises au lendemain de
la seconde guerre mondiale. Les femmes dans leur «lutte» pour l’égalité voulaient devenir aussi connes que les
hommes, ça y est grâce au marxisme culturel et au tabagisme elles y sont
presque arrivées.
Mais voyons en détail (le
marxiste aime le détail de l’histoire) comment est-ce arrivé. En 1929, George
Hill, président de l'American Tobbacco Corporation, contacte Edward Bernays un des premiers
américains et neveu de Sigmund Freud théoricien marxiste culturel de l’école de
Francfort qui vient de mettre en pratique les théories de son oncle dans la
fabrication du consentement et notamment un des éléments clé du marxisme
culturel la promotion d’une forme exacerbée de féminisme jouant sur la jalousie
entre sexes plutôt que sur leur complémentarité, Hill est confronté au problème
suivant : il est tabou pour les femmes de fumer en public. Ceci fait
potentiellement perdre à Hill la moitié de sa clientèle ! Bernays consulte
alors son oncle Sigmund qui lui explique que la cigarette serait un symbole du
pénis, du pouvoir masculin. Pour être acceptée parmi les femmes, elle doit être
vue comme un défi au pouvoir masculin. Si Bernays parvient à donner aux
cigarettes l'image d'un objet subversif de libération de la femme, et non celui
de leur domination, alors elles fumeront. Si la cigarette est associée au pénis
de l'homme, il faut que les femmes, en fumant, se disent qu'elles auront leur
propre pénis. Lors d'un défilé organisé tous les ans à l’occasion du printemps
à New-York, Bernays embaucha des jeunes femmes, à qui il demanda, à un signal
donné, de sortir des cigarettes en public et de les fumer. Il avait aussi
prévenu les journalistes que des féministes (les «suffragettes», militantes pour que les femmes acquièrent le droit
de vote) feraient un coup d'éclat, un «geste
fort de protestation». Elles allumèrent alors les cigarettes en public,
fait qui fit la une de tous les journaux et l'objet de toutes les
conversations. Lorsqu'elles furent interrogées par les journalistes, les jeunes
femmes expliquèrent qu'elles avaient allumé «les
torches de la liberté». Ce slogan avait été préparé à l'avance par Bernays.
Il faisait évidemment référence implicitement à la statue de la liberté.
Puisque c'est de liberté dont il s'agissait, on ne pouvait pas être contre. Au
fait de fumer pour une femme avait été ainsi associé la cause marxiste
culturelle du féminisme : quiconque soutenait les libertés de la femme se sentait
obligé de défendre leur «droit de fumer
en public». Le tabou fut ainsi levé car assimilé à un machisme
réactionnaire, aujourd’hui monsieur Jamin nous dirait un machisme d’extrême
droite. De leur côté, les femmes pensèrent être devenues puissantes et
indépendantes en fumant. Cette manie de fumer des femmes va toucher toutes
les couches de la société au fur et à mesure qu’elles vont conquérir leur «indépendance» (droit de vote, accès au
travail). Dans les années 1960-1970, l'industrie du tabac profite de
l'affirmation de la liberté féminine dans le domaine de la vie amoureuse et
sexuelle pour faire de la cigarette (mais pas de la pipe) un accessoire actif
de la séduction. En 1968, Philip Morris lance une cigarette pour les femmes, Virginia Slim (slim signifiant
mince en anglais). A la fin des années 1970, pour déculpabiliser les fumeuses,
les cigarettiers développent les appellations «légères» et «super
légères», qui donnent l'illusion de produits moins dangereux. Les campagnes
publicitaires mettent toujours en
scène de belles et jeunes femmes, minces, séductrices et indépendantes. « Les femmes n'ont pas su
décrypter ce que l'industrie du tabac leur a proposé. Le message du danger est
encore difficile à faire passer car, depuis des dizaines d'années, la cigarette
est associée à de belles images féminines», constate Sylviane Ratte,
chargée de mission pour la prévention à la Ligue nationale contre le cancer. On
dit merci qui, on dit merci m’sieur Freud et les thèses marxistes culturelles
criminelles. Signe des temps, les principaux titres de la presse féminine ont
participé, en 2002, à une campagne du ministère de la santé, de
l'assurance-maladie et de l'Institut national de prévention et d'éducation pour
la santé (Inpes) en signant une charte «pages sans fumée». «En
analysant la presse féminine en 1999 et 2000, il est apparu que la cigarette
continuait à être associée à des images féminines positives. Parce que les
représentations sociales influencent les comportements, cette charte doit
permettre de limiter la valorisation du tabac", dit l'Inpes. Ces
magazines s'engagent à "éviter de montrer des personnes en train de
fumer, ne pas faire référence aux plaisirs de la cigarette, favoriser
l'information des lectrices sur les risques, et refuser toute association
directe ou indirecte avec l'industrie du tabac». En savoir plus sur Le Monde.fr. Dans l'ensemble du
monde, 12% des femmes fument. Mais dans les pays économiquement développés,
elles sont 24% à fumer et selon l'Organisation mondiale de la santé, c'est en
Europe et aux Etats-Unis qu'elles fument le plus. Parmi les pays européens, la
France a le triste privilège de se situer dans le peloton de tête avec le
Danemark et les Pays-Bas. Si on assiste depuis les années 70 à une très légère
décrue du tabagisme des adultes, c'est surtout aux hommes qu'on la doit puisque
leur proportion parmi l'ensemble des fumeurs décroît progressivement tandis que
celle des femmes augmente. Et fait particulièrement important, chez les jeunes,
ce sont les filles qui fument le plus : à 15 ans, elles sont 37,7% à déclarer
fumer, ne serait-ce que de temps en temps, contre «seulement» 24,5% pour les garçons du même âge. Cette évolution est
une catastrophe sanitaire car les femmes vont payer un très lourd tribut au
tabac. D'abord parce qu'elles sont exposées aux mêmes maladies induites par le
tabac que celles qui frappent les hommes mais avec des impacts supplémentaires
: à consommation égale, les femmes semblent plus sensibles que les hommes,
notamment vis-à-vis du risque de cancer du poumon ; le tabagisme accroît
le risque ostéoporotique, chez l'homme comme chez la femme mais cette dernière
à déjà, sans le tabac, un risque plus grand que celui de l'homme (ostéoporose
post-ménopausique) ; le tabagisme maternel a des effets délétères sur le
développement embryofoetal ; enfin, tabagisme et contraception orale font très
mauvais ménage avec un risque accru d'accident vasculaire cérébral. Un rapport
sur cette catastrophe sanitaire vient d'être publié par la Ligue nationale contre
le cancer avec le réseau «Hôpital sans
tabac» et la MNH (Mutuelle nationale des hospitaliers et des personnels de
santé). Il a l'immense mérite d'en détailler les conséquences et d'en analyser
les causes, notamment un marketing bien ciblé qui exploite une quête
d'émancipation. Après celle-ci, la peur de la prise de poids, le mythe de la
cigarette légère, des produits adaptés à la féminité… sont autant de pièges
tendus aux femmes par le marxisme culturel !
Chez notre vénérable frère
Jamin c’est sophismes à Gogo l’argument
ad hominem de tous les jours : on attaque la personne plutôt que ses idées : «vous êtes de dangereux extrémistes» ; «les libertariens sont des poujadistes»
; «vos idées sont nauséabondes» et sa
variante la reductio ad Hitlerum : «vous
êtes des fascistes, des réactionnaires, des populistes, des Nazis»
(disqualifie l'adversaire en le comparant à des personnages honnis, Hitler ou
les Nazis). Les grands avantages de l’utilisation de sophismes par les
marxistes culturels ou assimilés comme sa sommité Jamin qui utilise très
abusivement l’argument par les intentions ou le motvirus comme par exemple populiste,
qui est censé pour les marxistes culturels être un
politicien qui pratique la démagogie ou l'opportunisme politique. En réalité,
toute personne qui exprime des vérités qui déplaisent au pouvoir marxiste
culturel, ou qui entend démontrer comment le pouvoir opprime et spolie la
population, peut se voir ainsi qualifiée. Cette tactique rhétorique
tout à fait marxiste culturelle a pour objet d'exclure l'adversaire du champ
polémique tout en évitant le débat de fond. A savoir ce qu’est le marxisme
culturel, d’où vient-il, qu’est-il devenu ou nous emmène-t-il ? Dire du
marxisme culturel qu’il est une théorie du complot est une escroquerie
intellectuelle depuis l’avènement du marxisme culturel dans les années 1950 et
de toute l’histoire de l’humanité on n’en a jamais autant vu s’épanouir. Elles
sont d’autant plus délétères qu’elles sont crédibles pour les esprits non
éclairés. La croyance erronée d’intellectuels marxistes ou autoproclamés en une
théorie du complot en parlant du marxisme culturel va faire passer
l’escroquerie comme une lettre à la poste. Et monseigneur Jamin alors ? On
ne sait pas grand-chose sur sa propre idéologie qui ne vole pas haut en dehors
du fait qu’il soit antinationaliste, serait-il marxiste, un rouge
collectiviste, un Trotskiste ? Le marxisme est une religion séculière avec
des «croyances» et des dogmes, la «croyance» en des «théories du complot» fait partie du
marxisme comme la vérole sur le bas clergé. Jamin fait vraisemblablement partie
d’une obédience maçonnique (Comme Anders Behring Breivik, le tueur ultra
écologiste et néo luddiste d’Oslo) Anders Behring Breivik est d’ailleurs le
lien utilisé par Jamin pour sa thèse fantasque de la «théorie du complot» à propos du marxisme culturel. Breivik parlant
dans son «manifeste» du dit «marxisme culturel». En lisant Jamin, ici vous constatez vite que ce monsieur a
une obsession la bête immonde, représentée selon lui par le terroriste Franc
Maçon, chrétien, écologiste et néo-luddite Anders Breivik, comme pour les
merdiatocrasseux ou les médias officiels et marxistes culturels Breivik est seulement
un homme d’extrême-droite chrétien ce qui est juste assez flou pour vous
permettre d’identifier la soi-disant personnalité du vilain et méchant coupable.
Oui un blanc, chrétien c’est largement répandu en France et en Europe, mais en
plus nationaliste (car c’est ce que le terme d’extrême-droite laisse entendre) c’est d’après Jamin le cocktail de
la haine (sic) dixit vos médias (sous le terme généraliste d’extrême droite se
cache aussi l’indicible, le nationalisme et monsieur Jamin n’aime pas le
nationalisme, pour lui c’est la vilaine et sale bête, laissant sur le bord de
son chemin de gauchiste ultra les cent cinquante millions de victimes
innocentes de son idéologie marxiste pestilentielle, ça cache aussi la
xénophobie, ah la xénophobie parlons-en, monsieur Jamin oublie la belle lettre
de Georges Marchais, alors secrétaire général du Parti Communiste dit Français
(ce ne serait pas un tantinet nationaliste ce Français là ?),
reproduite dans «L’Humanité» du 6 janvier
1981. Elle est adressée au recteur de la mosquée de Paris, qui venait de
s’indigner contre la destruction au bulldozer (le 24 décembre 1980, veille de
Noël !) d’un foyer de 300 travailleurs de migrants maliens par le maire
communiste de Vitry, Paul Mercieca. Extraits : «Je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à
approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. (…) Plus
généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le
nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés. En raison de la présence en
France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de
membres de leurs familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de
graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les
mesures indispensables. La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons
: il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs
au chômage. Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et
clandestine. Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale
française par l’immigration. Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien
appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux
langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois
des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficiles leurs relations
avec les Français. Quand la
concentration devient très importante (…), la crise du logement s’aggrave. Les
HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y
accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles d’immigrés
plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes».
Extrême droite, ça cache aussi pour ces neuneus d’ultra gauche le racisme et
l’antisémitisme, là aussi
parlons-en, c’est nouveau mais ces deux concepts ont bien changés, en effet un
nouveau racisme et un nouvel antisémitisme concept d’une nouvelle forme
d'antisémitisme s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément
de la gauche et de l'islam, et tendant à se manifester comme une opposition au
sionisme et à l'État d'Israël, tout ceci bien expliqué ici : http://antisemitenonmerci.blogspot.fr/ par votre serviteur. Je vous le
donne «Emile» en maudit patois des
Angles et des Saxons comme c’est la mode : The new antisemitism is the concept of a new form of anti-Semitism that
developed in the early twenty-first century, simultaneously from the left
communist and Islam, seeking to manifest itself as opposition to Zionism and
the State of Israel. Extrême droite, cache aussi pour ces «intellectuels» autoproclamés, l’opposition
du peuple aux élites, Bertolt Brecht un grand compagnon de route du marxisme
culturel dira : «Ne serait-il pas plus
simple alors pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d'en élire un autre
?». On vient de voir que des intellectuels marxistes internationaux
fondèrent en 1923, l’École de Francfort afin d’étudier les causes des échecs
des révolutions internationalistes marxistes. Elle rassemblait on l’a vu des
pseudos socio-philosophes marxistes et universitaires internationalistes tels
que Horkheimer, Wiesengrund, Adorno, Marcuse, Benjamin, Fromm, Pollock,
Neumann, Wiggersrhaus, suivis par Haberm, Lukacs… assistés par Sigmund Freud.
Ils constatèrent que les Peuples rejetaient le marxisme. Ils se posèrent la
question : Y aurait-il une erreur dans la doctrine ? Impossible
dirent-ils. L’erreur est dans l’immaturité des peuples. Alors en conclusion il
fallait changer les peuples avant de prendre le pouvoir. Herbert Marcuse
écrivait : «C’est le peuple qui n'a pas
rempli le rôle que lui avait réservé la théorie révolutionnaire» … «mis devant la possibilité de la révolution,
le peuple aura préféré s'en détourner en adhérant profondément aux institutions
définissant la civilisation occidentale». «Qu'une conscience non révolutionnaire - ou plutôt antirévolutionnaire -
prévaut dans la majorité de la classe ouvrière, cela saute aux yeux». Et il
continue: «Il faut préférer la dictature
des intellectuels au pouvoir d'un peuple encore imparfait. […] Il est nécessaire, pour une société
civilisée, que des gens éduqués aient des prérogatives politiques pour
combattre les sentiments, les attitudes et les concepts des masses non
éduquées». [D’où leur révulsion pour le referendum] Cette doctrine ils
l’ont appelé «Marxisme Culturel», ou
Déconstructivisme. Plus connue aujourd’hui sous le nom de Politiquement
Correct. Jérome Jamin professeur Belge fait aujourd’hui partie de ces
véritables Khmers rouges de la «Kulture»; en Belgique comme en France ou aux USA les
professeurs d’université sont vraiment tous beaucoup trop à gauche développant
uniquement une «pensée unique»
politiquement correcte marxiste culturelle. Or, toute position politique qui
domine un établissement universitaire sans dissidence se dégrade vers la
suffisance, la complaisance et l’aveuglement. Dans le monde occidental, les
dangers de faire passer le socialisme ou le marxisme culturel comme une pensée
supérieure sont évidents. Quand un professeur de philosophie de l’Université de
Duke aux états unis prétend que les conservateurs sont marqués par leur
stupidité, il confirme l’opinion publique des universitaires en tant qu’élite
indépendante et autoproclamée.
Tiens par exemple de nos jours une interprétation de la victoire de
Donald Trump fait aujourd’hui florès en France : il s’agirait d’une
victoire du peuple blanc américain sur de soi-disant «élites» gauchistes qui l’ont depuis bien trop longtemps méprisé, ignoré
et surtout pris pour des cons. Mais de quel peuple et de quelles
élites s’agit-il ? Rappelons d’abord qu’une majorité de ricains ont donné
leur voix à la candidate plutôt de gauche ou démocrate. S’il s’agit de l’élite,
celle-ci est fort nombreuse ! Ensuite, la grande majorité des votants
appartenant aux minorités noires et latino ont voté pour Hillary Clinton une
femme beaucoup trop riche pour être une présidente de gauche, trop menteuse et
trop incompétente pour être une présidente tout court et surtout trop malade de
la tronche. Ces minorités ne feraient-t-elles pas partie du peuple ?
Rejetons donc cette distinction trompeuse et dangereuse entre le peuple et les
élites, qui rappelle tristement la situation des années trente où les
contempteurs des élites représentatives militaient pour la liquidation des
régimes pluralistes et l’arrivée au pouvoir d’un homme fort (ein volk, ein
reich, ein Führer ou un Grand Camarade), capable de rétablir l’ordre et de
préserver la domination de la race blanche. Aujourd’hui aux USA nous retrouvons
d’abord les clivages traditionnels : le clivage ethnique, ou racial selon la
terminologie américaine, et le clivage religieux. L’écart du vote entre les
deux candidats est de 80 points chez les Noirs et de 36 points chez les Hispaniques
en faveur de Clinton tandis qu’il est chez les Blancs de 21 points en faveur de
Trump. À côté du maintien de ces clivages traditionnels, un nouveau clivage est
en train de prendre une extrême importance : le niveau d’études. Jusqu’à
2016, cette variable ne jouait pratiquement aucun rôle dans le vote de
l’ensemble de l’électorat. Cette fois-ci, les électeurs ayant obtenu un diplôme
du college (bac +3)
ou davantage ont donné à Clinton un avantage de 9 points tandis que ceux qui
ont un niveau d’études inférieur donnaient à Trump le même avantage, c’est là
que l’on constate l’influence dramatique du marxisme culturel sur de prétendues
«élites». Si on limite l’observation
aux seuls électeurs blancs apparaît alors le phénomène le plus
intéressant. Lors des élections de 1992 et 1996, qui virent les victoires
de Bill Clinton, et celle de 2000 qui vit la première victoire de Bush Junior,
cette variable ne produisait aucun effet politique. À partir de l’élection de
2002, qui vit la réélection de Bush, elle a produit un écart de vote croissant
entre ces deux groupes. Chez les électeurs blancs ayant un faible niveau
d’études, McCain, le candidat républicain, l’emportait sur Obama en 2008 avec
51% contre 47%. En 2012, Romney l’emportait sur Obama avec 56% contre 42%. En
2016, Trump l’a emporté sur Clinton avec 67% contre 28%. Il s’agit donc ici
d’une véritable transformation des structures électorales. Compte tenu de la
forte relation qui existe entre le niveau de revenus et le niveau d’études, il
apparaît, selon des données publiées dans le New York
Times, qu’à la différence des élections précédentes le niveau de
revenus n’a pas eu d’influence notable cette fois sur le vote. Les plus
pauvres, qui votaient jadis démocrate, l’ont fait moins massivement cette année,
seraient-ils en train de prendre conscience des manipulations marxistes
culturelles de leurs «élites» et de
leur merdiatocratie ? Les plus aisés et pas forcément les plus
intelligents, qui votaient massivement républicain (n peut dire à droite), ont
équilibré cette fois leur vote entre les deux candidats. L’effet du niveau
d’études relativisant fortement celui du revenu, il n’est plus permis désormais
de considérer que le vote républicain est celui des riches tandis que le vote
démocrate est celui des pauvres, même si cette relation n’a pas entièrement
disparu. Un haut niveau d’éducation donne certes de plus grandes opportunités
d’enrichissement mais il ouvre aussi au monde extérieur et conduit souvent à
rejeter, au nom de la sacrosainte et marxiste culturelle tolérance, certaines
des valeurs traditionnelles de la droite, telle le nationalisme et le rigorisme
religieux et l’approbation du multiculturalisme. Aux effets de cette idéologie
marxiste culturelle il faut en ajouter un dernier, celui du «genre», plus conjoncturel peut-être, du
fait que la candidature démocrate était pour la première fois une candidature
féminine tandis que la candidature républicaine était, elle, très clairement
masculine ! Si les femmes n’ont pas voté davantage démocrate que lors des deux
élections précédentes (un écart de 12 points en faveur de la candidate
démocrate) en revanche l’écart du vote masculin en faveur du candidat
républicain est passé de moins un point en 2008 à plus 12 points en 2016.
Jamais l’écart sur cette variable n’avait été aussi important depuis qu’il est
mesuré par ce type d’enquêtes. Se dessine ainsi le profil sociologique de
l’électeur de Donald Trump : un électeur blanc, mâle, chrétien et ayant un
niveau d’instruction moyen à faible. L’interrogation centrale des marxistes
culturels dans le monde concerne le fait que l’électorat blanc a voté en masse
pour Trump. Il s’agit bien sûr de sa part d’une réaction de défense face aux abominables
transformations d’une société devenue marxiste culturelle qui lui paraissent extrêmement
dangereuses. Comme l’écrit monsieur Guy Sorman dans une libre opinion récente
du Figaro : «Depuis les années 1960, cet homme blanc a
vu son univers se déliter : la libération des femmes, la domination des «musiques»,
des «artistes», des sportifs afro-américains et latinos, la discrimination
positive, l'exaltation de la diversité culturelle, le mariage homosexuel, le
langage politiquement correct, tout cela a été perçu par le mâle blanc comme la
substitution d'une identité nouvelle, mondialiste, cosmopolite et métisse à
l'identité authentique. Dans cette dépossession ressentie par le mâle blanc, la
race, comme toujours aux États-Unis, était discriminante». Dans cet
inventaire à la Prévert, le lecteur averti et conscient aura reconnu bien sur
les caractéristiques évidentes d’un marxisme culturel de bon aloi ;
Dommage que même au Figaro ils n’en aient pas encore pris la juste mesure.
La tactique rhétorique
tout à fait marxiste culturelle d’un Jérome Jamin qualifiant le marxisme
culturel de «théorie du complot» a
pour objet d'exclure le prétendu adversaire du champ polémique en évitant le
débat de fond. Cette tactique d’assimilation systématique des idées
nationalistes à la stigmatisation des étrangers et même souvent méfiance, haine
ou détestation de l'étranger, aux discours anti-immigrés,
à un autoritarisme, l’idéologique de «loi
et ordre» (pour les bouter hors de France comme Jeanne d’Arc avec les
maudis Anglois ou Charles Martel avec les Sarrazins et Saint Jacques avec les
Maures d’Espagne) la plupart du temps le discours du gauchiste marxiste
culturel s’arrête là, pour lui le nationaliste a
un discours unique basé sur un axiome: ce qui vient de l'étranger est menaçant
pour la France. Ce serait l'alpha et l'oméga du système de pensée du
nationaliste d’extrême droite très méchant. Tout viendrait de là et tout
reviendrait à ça. Avec antiparlementarisme et anticommunisme, ils représentent
quelques-uns des qualificatifs les plus souvent cités dans la littérature universitaire
marxiste culturelle d’un Jérome Jamin consacrée au populisme et à l’extrême
droite. En fonction des partis politiques concernés, des contextes
institutionnels et des particularités nationales et géographiques, ces
qualificatifs prendront une dimension centrale ou secondaire selon qu’il
s’agira de caractériser un courant populiste ou un parti dit d’extrême droite. Or
il nous faut quand même creuser un peu plus loin pour apprendre qu’Anders
Behring Breivik que nous avions un peu abandonné est propriétaire d’une ferme
bio (ce qui pourrait le mettre dans la case des terroristes écolos), il est
aussi comme vraisemblablement m’sieur Jamin franc-maçon (mais lui régulier), sioniste,
validant ainsi le choc de civilisation puisqu’il a tiré sur un rassemblement de
socialistes propalestiniens ! Ce qu’il ne faudrait pas oublier quand même tant
cela a son importance. Ne pas oublier aussi que le manifeste de Breivik est
plagié à 90% sur le «Manifeste» de
Theodore (dit Ted) Kaczynski terroriste
américain, mathématicien de formation, militant écologiste
et néo-luddite et
que les idées de Kaczynski n’ont jamais au grand jamais été qualifiées «d’extrême droite» n’en déplaise au
frère Jamin et aux autres marxistes culturels. La traduction en Français d’Unabomber Manifesto by Theodore_Kaczynski.
De plus lisez et faites lire «La Nef des Fous», fable sur la société
industrielle et son avenir : La nef
des Fous cliquez ici! Je crois savoir que le professeur
d’université y est surnommé Jérome !
M’avez-vous en plusieurs
milliers de pages sur le sujet vu présenter le marxisme culturel comme un «complot» ? Non ! Le marxisme
culturel n’est que la face cachée de la méthode d’édification de la dictature
du prolétariat phase ultime du communisme nécessaire à l’édification du
socialisme.
Mais pour Jamin la
première catégorie d’acteurs (les acteurs de sa fantasmée «théorie du complot») consiste en une «poignée d’individus obscurs et pervers (sic)
qui cherchent à exploiter et à dominer le
village, le pays ou le monde entier». Ces individus ne sont souvent qu’une
petite minorité, mais ils sont paradoxalement présentés comme étant très
puissants et animés par des intentions terrifiantes. (Dommage que notre grand
maître es maçonnerie spéculative ne donne pas de noms !). Dans mes textes
je les donne ces noms, d’abord Lénine effectivement un des plus grands
criminels contre l’humanité connu, suivi d’un autre, Georgy Lukàcs et de
Münzenberg avec toute l’école de francfort , Sigmund Freud y compris avec Marcuse, Horkheimer, Adorno et plus tard Habermas
mais aussi des économistes (Pollock, Grossmann), le psychanalyste (Eric Fromm),
des littéraires (Walter Benjamin) et des historiens (Franz Neumann) ;
puis Chomsky et Gramsci, ces gens-là ne sont pas obscurs et pervers, ils développent au grand jour la théorie
critique qui ne cherche pas à exploiter qui que ce soit dans l’immédiat mais essaie
de confronter la réflexion philosophique, historique et sociologique classique
avec les enseignements du marxisme et de la psychanalyse. Critiquant à la fois
le positivisme et le marxisme dogmatique des pays de l'Est, ce courant de
pensée a développé une nouvelle conception révolutionnaire du monde, le
marxisme culturel. L’Ecole de Francfort a littéralement forgé les instruments
destinés à dissoudre les fondements des sociétés occidentales de tradition
grecquo-judéo-chrétiennes, de manière à permettre à de petites élites
intellectuelles et politiques souvent autoproclamées de prendre le pouvoir,
afin d’agir non pas selon des traditions avérées (selon le «mos majorum» romain) mais de manière purement arbitraire et
expérimentale, sans la sanction de l’expérience. Il s’agit donc clairement de
contre-élites, qui n’entendent pas poursuivre des traditions politiques,
demeurer dans un cadre bien établi, mais bouleverser de fond en comble les
traditions pour installer une nouvelle forme de pouvoir, qui ne doit plus rien
au passé. Pour y parvenir et pour éliminer toute résistance des forces
traditionnelles, il faut dissoudre en totalité ce qui existe et ce qui fait
l’armature des sociétés. On a insinué avec juste raison que les tenants de
l’Ecole de Francfort ont coopéré avec l’OSS américaine pendant et immédiatement
après la seconde guerre mondiale pour briser les ressorts des sociétés
européennes et surtout de la société allemande. Cette nouvelle conception
révolutionnaire du monde a pris le doux nom de marxisme culturel.
Pour Jamin la deuxième
catégorie d’acteurs (de la fameuse et fantasmée théorie
du complot) renvoie aux victimes du prétendu complot et à ce
titre, elles ont les qualités opposées aux individus responsables de la
manipulation. C’est la foule, les gens d’une ville ou d’un pays, où même la
population mondiale, ce sont les groupes d’individus qui représentent la
majorité par rapport aux petits groupes de fantasmés comploteurs. C’est les
gens honnêtes, les «masses» qui n’ont
pas d’activité ou de projets politiques et qui ne s’organisent pas en groupes
structurés et ne se cachent pas. Ces gens n’agissent pas en secret car ils
n’ont rien à cacher et n’ont aucun plan obscur pour l’avenir de la ville, du
pays ou du monde. Ensemble, les première et deuxième catégories constituent les
deux facettes essentielles du combat politique dans l’imaginaire conspirationniste et
dans les fantasmes aberrants de monsieur Jamin (une
interview exclusive de monsieur Jamin). Elles seraient donc au
cœur de la théorie du complot comme «catégorie
de l’explication politique» pour comme le dit Jamin reprendre l’expression
de Marcel Gauchet (Gauchet,
Marcel, "Le démon du soupçon"
(entretien avec) in Les collections de L’Histoire, N° 33).
La troisième catégorie
d’acteurs, enfin, renvoie à quelques individus qui font preuve d’une certaine
lucidité quant à l’identification des causes à l’origine des maux qui frappent
la société (Ce qui est vrai bien sûr en France avec résistance républicaine
ou dans la catégorie rions un peu avec les cons d’intellos américains et
marxistes culturels avec le délire du politiquement correct
ne connait plus de bornes les maths outils de la domination blanche/
chez nous aussi comme aux états unis ou chez les Belges il ne nous manque rien
dans la catégorie je suis marxiste culturel, je ne me soigne pas et je n’en ai
pas honte comme Alfred Grosser propagandiste du marxisme culturel,
bravo donc à ses résistants). Ces gens ont compris que le peuple était la victime
d’un gigantesque complot dira monsieur Jamin en cœur avec les MC (marxistes
culturels), ils connaissent une partie ou la totalité de la vérité et se
battent pour dénoncer et démanteler ce dernier (Là m’sieur Jamin se goure,
jamais personne dans la sphère résistante au marxisme culturel n’a jamais, au
grand jamais parlé de «complot»). La tâche de cette troisième catégorie
d’acteurs est difficile car les conspirateurs cherchent à les faire taire et à
les empêcher de dévoiler au grand jour la vérité. Et plus celle-ci tarde à se
manifester, plus cela indique que le complot est à l’œuvre (Conclusion gratuite
de monsieur Jamin qui n’engage que lui). Pour moi le marxisme culturel a gagné,
il ne sert plus à rien de ce «battre» contre.
La seule solution au chaos créé, c’est le survivalisme (là bien sûr il y a
quelques ignorants partisans d’une certaine théorie «complotiste» car ces gens n’ont pas été éduqués dans autre chose
il est d’ailleurs frappant de constater une sorte de hantise d’un «Nouvel ordre mondial», prenant à gauche
chez les Jamin et compagnie d’ultra gauche antinationalistes et marxistes
culturels la forme du grand «complot»
d’une alliance du «grand capital»
contre les travailleurs, étrangers, prolétaires et forces du bien gauchiste). Notons
qu’il existe un lien fondamental entre l’importance et la gravité du complot
dénoncé et le rôle de héros, de prophète voire de surhomme qu’une telle
dénonciation donne aux protagonistes de la troisième catégorie, ces gens
lucides qui voient ce que les autres ne voient pas : «Le bouc émissaire supporte la faute quand ceux qui le dénoncent sont
traversés par un sentiment de vertu et d’unité totale». Nonobstant les théories du complot existent bel et
bien mais la révélation du marxisme culturel n’en est pas une. C’est comme dire
que le Christianisme est une théorie du complot et que l’église catholique est
son bras armé ce qui existe
bien toutefois sous la forme du millénarisme. Cependant certaines de ces théories sont appuyées sur
des éléments crédibles ou vraisemblables, mais la plupart ne sont que des
spéculations sans aucun fondement tangible, d’autres ne prenant même pas la
peine d’essayer de trouver un semblant de justification et sombrant dans le
délire paranoïaque le taupe 10 des
meilleures théories du complot: Sida en 10ème, Jésus, Lady Diana, le 11 Septembre, extraterrestres sur terre, Mickael
Jackson est toujours vivant, Coluche a été assassiné, La Russie a fait élire Trump,
La Zone 51 au Nevada cache des OVNIS et en first l’assassinat de Kennedy
organisé par le KGB, FBI, CIA, Maffia, etc. le brave garçon qui a fait cette
vidéo ne nous parle pas de la pire des pires celle de l’extrême droite fasciste
avec le fameux marxisme culturel, bizarre vous avez dit bizarre ? Autre TOP 10 là 10 autres avec en 11 Les reptiliens en 9 le projet HAARPE, en 8 les
faux morts, en 7 Lady Di, en 6 le Sida, en 5
Kennedy, en 4 encore la Zone51, en 3 le programme Apollo, en 2 les
sociétés secrètes (Franc maçons, sionistes, Illuminati et enfin en N° 1 le 11
Septembre, encore une fois pas d’extrême droite et de marxisme culturel,
alors ? Monsieur l’intello de la gauche ultra, Belge et antinationaliste
Jamin va nous expliquer que dire qu'il n'y a aucun complot, est un complot et
que ce qui est frappant, plus encore, c’est la tendance «apocalyptique» d’un certain nombre de ces «théories du complot», prédisant guerres, crises, révolutions,
génocides, embrasement général et effondrement du «système» (financier, économique, politique…) : des articles
entiers sont consacrés, tels les anciennes Augures, à l’identification dans
l’actualités des «signes avant-coureurs» de
ces catastrophes planétaires sans cesse repoussées, mais toujours de plus en
plus présente dans la représentation mentale de leurs créateurs. Voir ici une conférence au Québec de Gérald Bronner sur son livre La démocratie des crédules. Bronner professeur de sociologie parle intelligemment sur
les théories du complot et la sociologie des processus cognitifs (et des
croyances). Voir aussi ici bizarre il passe sous
silence le marxisme culturel ! Alors il n’y aurait que m’sieur Jamin à assimiler la théorie (ou une théorie) du
complot à l’extrême droite ? Non, la LCR, Ligue
Communiste Révolutionnaire en novembre 2014 par l’intermédiaire de monsieur Robert
Mertzig un Trotskiste marxiste culturel Luxembourgeois, nous affirme que les
théories conspirationnistes (théorie du complot) se font au profit de
l’extrême-droite et du «campisme». Du «campisme» mais qu’est-ce donc que
cette chose là une fois ? Si le camarade communiste
trotskiste Bébert Mertzig nous dit que la pensée conspirationniste, postule que l’Histoire
serait déterminée par l’action secrète d’un petit groupe d’hommes désireux de
voir la réalisation d’un projet de domination, largement diffusée depuis la fin
du dix-huitième siècle ce n’est pas totalement faux. L’avantage avec le marxisme
c’est que cette volonté de domination du monde n’a jamais au grand jamais été secrète.
Monsieur
Thierry Wolton
nous dit là que le communisme est un système
d'éradication culturelle et que son objectif est d'ériger l'idéologie marxiste
en religion, surement universelle et mondiale, ce n’est un secret pour personne.
Les théories
conspirationnistes pour la LCR sont d’abord une forme moderne de providence
sécularisée, dont la rhétorique entend convaincre par des modes de déduction
d’apparence scientifique, elle est essentiellement un discours politique: un
discours adulé par je vous le donne «Emile»
, l’extrême-droite, mais également et c’est là où on reconnait le trotskiste adorateur
du prophète Lev Davidovitch Bronstein dit Léon Trotski, promu par une certaine gauche, notamment stalinienne
(c’est très vilain ça le Stalinisme pour un trotskiste), qui explique, elle
aussi, le cours du monde par les manichéens complots d’un monde régi par la division en camps
opposés (et non par les contradictions socio-économiques et socio-politiques,
comme bien sur l’explique si justement les trotskistes . Pour eux aussi, l’épisode
soviétique, si malheureux qu’il fût, avec ses millions de morts innocents n’invalide
en aucun cas le bien-fondé de la doctrine marxiste et l’enseignement de Lénine.
L’URSS n’était pas pour eux un Etat communiste : tout juste un «Etat bureaucratique dégénéré»). Et
alors le campisme, c’est ça en fait,
c’est pour eux l’autre nom du Stalinisme, ouf,
l’extrême droite l’a encore échappé belle ! Le «campisme», considère l’évolution du monde essentiellement comme un
résultat de l’affrontement entre deux ou plusieurs camps géopolitiques –
affrontement pétri de complots de part et d’autre -, partage avec le
conspirationnisme la négation du caractère (sur) déterminant dans l’histoire
des contradictions sociaux-économiques, des rapports et conflits
socio-politiques, des luttes de classes et de masses. Dans ce contexte il faut
aujourd’hui dira notre camarade trotskiste se méfier du terme «Empire», employé à la fois par une
certaine gauche – parfois néostalinienne, mais pas seulement – et
l’extrême-droite (ah il y a longtemps qu’on l’attendait celle-là) ainsi que par
les idéologues fascistes à la Soral (celle-là aussi). Cela permet d’occulter
les contradictions sociales et les «luttes»
réelles et de privilégier les explications conspirationnistes.
Vous voulez en savoir plus
sur le marxisme culturel ? Jamin ne vous a pas convaincu ? Le plus
pratique pour en savoir plus c'est de lire ce que pense Liberpédia sur le sujet. C’est
un peu long et à mon avis pas assez documenté sur l’aspect historique.
Pour en savoir plus sur ce plan historique il est
important de se remémorer qu’après le rejet et l’échec des révolutions
hongroises et allemandes de 1918, Lénine (Ancien chef de gang, Vladimir Illitch
Oulianov dit Lénine et sa bande de gangsters rouges, dont Joseph Djougachvili,
qui portait alors le pseudonyme de Koba et beaucoup moins souvent celui de
Staline, de Meir Henoch Mojszewicz Wallach-Finkelstein dit Maxime Litvinov,
Leonid Borissovitch Krassine et Alyaksandr Malinovsky dit Alexandre Bogdanov
avec un groupe de terroristes géorgiens menés par Simon Ter-Petrossian dit Kamo,
compagnon et allié de Staline font un braquage de banque le 26 juin 1907 dans
la ville de Tiflis (aujourd'hui Tbilissi, capitale de la Géorgie). Une
diligence de la banque de Tiflis est attaquée par la bande de malfaiteurs «bolcheviks» pour évidemment une très bonne
cause bien pacifiste et tellement humaniste, financer leurs activités
révolutionnaires, démocratiques et tolérantes. L'attaque terroriste mais très
progressiste menée par un grand nombre d'assaillants (une trentaine) tue pacifiquement
quarante personnes et en blesse démocratiquement cinquante autres selon les
archives officielles, pourtant peu suspectes d'exagération. Les grands
démocrates et braqueurs humanistes s'échappent avec 341 000 roubles. Lénine
comme chef de gang toucha au moins 140 000 roubles. Parmi les mythes que l’on
entend bien trop souvent figure en bonne place celui du «Lénine philosophe» ou «innocent penseur». Ce dernier n’aurait pas
créé les bases d’un état communiste criminel et totalitaire, c'est sous le gouvernement de Lénine
qu'aura lieu 1921 et 1922 la première des trois grandes famines
organisées qui touchèrent l'État soviétique. Cette famine débuta au printemps
1921 et dura environ un an. Vingt millions de personnes souffrirent de la faim
et il y eut quelque cinq à neuf millions de victimes. Cette stupide théorie du
Lénine philosophe et penseur comme Al Capone ou Hitler est un bon moyen que les
communistes actuels et les marxistes culturels utilisent pour mettre toute la
faute des dérives criminelles sur le compte de Staline, afin de faire oublier
que les méfaits que ce dernier a commis viennent directement de la doctrine des
penseurs du communisme. N’oublions pas que le chef de gang Lénine est
responsable directement de très nombreuses morts, soit par la famine (5 à 9
millions de morts on l’a vu, soit en ordonnant lui-même la mort de plus de 10
millions de personnes).
Cela ne doit pas
occulter que Vladimir Illitch Oulianov dit Lénine est le fondateur de
l’idéologie marxiste culturelle, constatant l’échec total du communisme dans le
monde et que son régime ne survivait que par la terreur,
il lui fallait donc trouver autre chose! En 1922, il convoqua à l’Institut
Marx-Engels de Moscou une réunion du Komintern afin que Lukács et Münzenberg
(les deux principaux théoriciens du marxisme culturel à cette époque après
Lénine) puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de
l’Occident. Au contraire du marxisme économique par le soulèvement du
prolétariat ils proposaient d’y substituer le «marxisme culturel» par la subversion des «intellectuels». Le chemin serait plus long mais la victoire
certaine. Et nous y sommes, le début du vingt-unième siècle consacre la
victoire absolue et définitive de l’idéologie marxiste culturelle. Il n’y aura
pas de retour possible.
Allié du mondialisme et de la finance internationale le
MC (Marxisme Culturel) a gagné définitivement, aucun retour n’est possible.
Political Correctness or Cultural Marxism?
Christian_Rakovski né Khristo Gheorghev Stantchev
théorisait une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du
sobriquet «d'Internationale capitaliste» ou «Kapintern» (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Economique Mondial) et l'Internationale
communiste (Komintern Ici).
L’IC n’existe plus (seules ses idées demeurent) mais il existe encore une
Internationale Socialiste Ici.Ami de Trotski, internationaliste convaincu, Christian Rakovsky qui était considéré comme un anarchiste en 1895 lorsqu’il est expulsé de Prusse a été très influencé par les œuvres de Bakounine. Au milieu du XIXe siècle, lors de la controverse entre marxistes et anarchistes, Bakounine profèrera sa théorie du complot juif que l’on attribue très injustement aux idées sociales nationalistes d’Adolph Hitler; Bakounine disait: «Tout ce monde juif, constituant une secte unique exploitante, une sorte de peuple suceur de sang, une sorte de parasite organique collectif et destructeur, s'étendant non seulement au- delà des frontières des États, mais de l'opinion politique, ce monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx, d'une part, et de Rothschild de l'autre [...] Le fait est que le socialisme autoritaire, le communisme marxiste, exige une forte centralisation de l'État. Et là où il y a centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale, et là où existe une telle banque, est la nation juive parasitaire, spéculant sur le travail des peuples» C’est à mettre en parallèle bien sûr avec les thèses de Rakovski : « …Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet «d'Internationale capitaliste» ou «Kapintern» et l'Internationale communiste (Komintern).
Néanmoins ; Attention ! Pour ceux qui croiraient en la fin de l’histoire de l'Internationale Communiste et la victoire absolue du capitalisme cosmopolite (ce qui à tout prendre est préférable aux asiles psychiatriques, aux goulags ou à la Loubianka) suite à l’effondrement de l’URSS, un détour par les allées du village international de la Fête de l’Huma, Ici en 2013 suffirait à leur prouver que l’idéologie marxiste est toujours bien vivante et que la peste rouge se porte encore assez bien. Plus grand rassemblement communiste en Europe, la Fête de la haine rouge dite de l’Humanité est devenu un rendez-vous annuel incontournable pour les «camarades» du monde entiers et pour les abrutiles, «fête» ou des excités et des extrémistes marxistes culturels côtoient les intellocrates les plus pourris dans une très belle cacophonie de la haine. A l’article Internationale Communiste, souvent abrégée IC (également appelée Troisième Internationale ou Komintern) Wikipédia donne quelques membres influents du Komintern dont Jacques Duclos qui commença sa sinistre carrière à l'Association républicaine des anciens combattants (ARAC) aligné sur les thèses idiotes du Mouvement communiste international faisant partie des fameuses organisations communistes de masse .
S’il convient d’être d’une prudence extrême avec ces biographies de Wikipédia rédigées sous le règne du marxisme culturel comme celle d’Eugen Fried, dit «camarade Clément», (Juif Erev Rav converti à la religion séculière marxiste et de son véritable prénom Evzen, Fried était aussi dit «Le Grand», le grand quoi ?) communiste slovaque représentant du Komintern auprès de la SFIC ou Parti Communiste en France et futur PC dit F après 1945de 1929 à 1943 qui fut l'éminence grise de Maurice Thorez et surtout le vrai «patron» de la SFIC qui deviendra PC-(F) en 1945 ou celle d’Arthur Koestler, né Artúr Kösztler dans une famille hongroise juive ashkénaze et de langue allemande, écrivain britannique, y est dit «collaborateur» de Willy Münzemberg et agent du Komintern notamment en Espagne (il y avait été envoyé pour faire des articles dithyrambiques sur les brigades Internationales. Très intelligent Kösztler rompit avec le communisme en 1938. En 1940, il publie Darkness at noon, traduit en 1945 sous le titre Le Zéro et l'Infini. Ce texte, qui préfigure de vingt ans le récit L'Aveu d'Arthur London, décrit l'emprisonnement, le procès stalinien et l'exécution d'un haut responsable soviétique. Ce décodage des méthodes marxistes léninistes staliniennes lui vaut naturellement beaucoup d'inimitiés parmi les pseudos intellectuels français dit de gauche et stipendiés du Parti Communiste d’URSS (Simone de Beauvoir, Sartre etc.). Francine Bloch figure parmi les très rares journalistes plus ou moins sympathisants communistes qui prennent la défense de l'œuvre et de l'homme. Il convient de prendre avec des pincettes la notice de Willi Münzenberg qui y est dit : communiste allemand, ami intime de Lénine qui l'avait chargé de toutes les grandes opérations de propagande / désinformation au sein des démocraties occidentales ( ce qui est rigoureusement exact, ce qui est moins connu et particulièrement bien expliqué dans Note9 le livre de votre serviteur c’est que Münzenberg était le patron de la façade illégale du Komintern chargé de l’édification du Marxisme Culturel dans le monde libre, propagande et désinformation ne sont que deux des faces les plus connues du marxisme culturel. Avec aussi la publicité, vous avez vu comme la plupart des publicités ou des discours politiques destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proches du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur ou l’électeur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? «Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans». Extrait de «Armes silencieuses pour guerre tranquille» livre bien évidemment qualifié par les thuriféraires marxistes culturels de vrai/faux ou de «faux qui veut dire le vrai» (en somme une sorte de «Protocole des Sages de Sion» version 2.0) bien évidemment créé par des aficionados de la fameuse théorie du complot fantasmée par l’intellectuel MC (marxiste Culturel) Belge Jérome Jamin. Peut-être ; mais le faux qui dit le vrai (publication américaine à l’origine) dénonce l’édification du marxisme culturel ou sa face la plus visible sans le nommer expressément en arguant qu’une troisième guerre mondial aurait commencé en 1954 dans les coulisses du pouvoir (la mise en place du marxisme culturel a commencé dès 1945, mais les premiers effets visibles aux états unis l’ont été qu’en 1950). Elle opposerait non pas une nation contre une autre, mais une Élite Internationale (les dirigeants marxistes culturels de premier niveau) contre les peuples souverains du monde entier. L’objectif explicite de cette «guerre tranquille» pour l’Élite Internationale (dirigeants marxistes culturels de premier niveau) serait de réduire en esclavage les peuples des différentes nations en sabotant et piratant de manière subtile leurs systèmes économiques et sociaux ; avec bien entendu leurs consentements; en vue d’un futur ordre mondial (marxiste culturel) dans lequel les 1% hyper-organisés régneraient sans partage des fameuses «richesses» sur les 99% complètement atomisés et lobotomisés. Vous voulez un exemple d’une arme silencieuse marxiste culturelle: La Diversion qui est une des stratégies premières. L'expérience a montré que la méthode la plus simple pour rendre efficace une arme silencieuse et gagner le contrôle du public est de maintenir le public ignorant des principes basiques des systèmes d'un côté, tout en le gardant dans la confusion, désorganisé, et distrait avec des sujets sans importance réelle de l'autre côté. Ceci est obtenu en:
1 - décourageant l'activité de leurs esprits; sabotant leurs activités mentales; fournissant des programmes d'éducation de basse qualité en mathématiques, logique, design des systèmes et économie, et en décourageant la créativité.
2 - encourageant leurs émotions, augmentant leur égocentrisme et leur goût pour les activités émotionnelles et physiques, en:
a) - multipliant des affronts et attaques émotionnelles (viol mental et émotionnel) au moyen d'un barrage constant de violence, catastrophes, de guerres, de sexe dans les médias - en particulier la TV et les journaux.
b) - leur donnant ce qu'ils désirent- en excès – «junk food» pour l'esprit, et en les privant de ce dont ils ont réellement besoin.
3 - réécrivant l'histoire et la loi, et soumettant le public à des distractions, en étant ainsi capables de déplacer leurs pensées de leurs besoins personnels vers des priorités extérieures hautement fabriquées.
Ceci prévient leur intérêt et leur découverte possible des armes silencieuses et de la technologie d'automatisation sociale.
La règle générale est qu'il y a un profit dans la confusion; plus la confusion est grande, plus le profit est grand. Ainsi, la meilleure approche est de créer des problèmes, et ensuite d'offrir des solutions. CQFD.
Revenons
au créateur du marxisme culturel Willy Münzemberg. A l’article Internationale Communiste il est affirmé
qu’il avait édifié un empire de presse et d'éditions dit le trust Münzemberg et
avait pour tâche de collecter des soutiens au-delà des cercles communistes (ce
qui est exact); il est de ce fait incontournable dans l'histoire des compagnons
de route (là non c’est faux, Münzenberg n’était pas un «compagnon de route» mais un des dirigeants du Komintern et très
proche de Lénine) Il avait échafaudé une théorie de prise du pouvoir (exact
mais en collaboration avec Lénine) en investissant au préalable le champ moral,
par opposition à Gramsci
qui prônait le champ culturel (là encore une fois c’est totalement faux).
Ce qui c’est effectivement passé c’est qu’après
le rejet des révolutions hongroises et allemandes de 1918, Lénine est bien
obligé de constater que son propre coup d'État ne survit que par la terreur. Il
fallait trouver autre chose ! En 1922 il convoque à l'Institut Marx-Engels de
Moscou une réunion du Kominterm afin que Wilhelm dit Willy Münzenberg et György
Löwinger dit Georg
Lukács puissent exposer officiellement leur stratégie de conquête de l'Occident
: au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat ils proposaient de
substituer le marxisme culturel par la subversion des intellectuels, c’était
bien sûr investir le
champ culturel. Le chemin serait long mais la victoire certaine. Willi
Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous Lénine puis Staline,
convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même
des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a
défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel: «Organiser les intellectuels et se servir
d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors
seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue
impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat». Antonio Gramsci lui prônait
l'hégémonie culturelle il pensait que l'échec des travailleurs à faire la révolution socialiste
était dû à l'emprise de la culture hégémonique bourgeoise sur l'idéologie et
les organisations des
travailleurs et non pas de
substituer au marxisme économique par le soulèvement du prolétariat la
subversion des intellectuels comme le voulait Münzenberg. En d'autres termes
et d’après Gramsci, les représentations culturelles de la classe dirigeante, c'est-à-dire
l'idéologie dominante, avaient déteint plus que Marx n'aurait pu le penser sur
les masses de travailleurs. Dans les sociétés industrielles «avancées», des outils culturels
hégémoniques tels que l'école obligatoire, les médias de masse et la culture populaire avaient
inculqué une «fausse conscience» aux «travailleurs». Au lieu de
faire en sorte qu'advienne une révolution qui servirait vraiment leurs besoins
collectifs (selon les marxistes), les travailleurs des sociétés «avancées» cédaient aux sirènes du nationalisme, du consumérisme
et de l'ascension sociale, embrassant un ethos individualiste de
compétition et de réussite personnelle ou encore se rangeant derrière les chefs
religieux bourgeois.
Constatant l'échec relatif du déterminisme économique
face à la force de l'idéologie dominante dite bourgeoise, Gramsci en
grand pacifiste communiste proposa une distinction entre «guerre de position»
et «guerre de mouvement». La «guerre de position» est une guerre
culturelle contre les valeurs bourgeoises qui se présentent comme «naturelles» ou «normales». Les éléments socialistes doivent pour cela chercher à percer dans les
médias d'information, les organisations de masse et les institutions éducatives
en vue de propager l'analyse et la théorie révolutionnaires, d'augmenter la conscience de classe et de pousser à l'engagement révolutionnaire. Cette lutte culturelle
devrait permettre au prolétariat d'attirer toutes les classes
opprimées dans sa lutte pour la prise du pouvoir politique, là encore il ne
s’agit que de vœux pieux. Pour Gramsci, toute classe qui vise à la conquête du
pouvoir politique doit en effet dépasser ses simples intérêts «économiques», prendre la
direction morale et intellectuelle, et faire des alliances et des compromis
avec un certain nombre de forces sociales. Gramsci appelle cette union des
forces
sociales un «bloc historique» (terme
emprunté au syndicaliste Georges Sorel) là comme d’ab Gramsci se berce d’illusions le
prétendue «classe ouvrière» n’a
jamais voulu accéder au pouvoir ce sont seulement des intellectuels qui sont
capables de diriger un pays les fameuses
«élites». Un succès dans cette «guerre de position» permettrait aux
communistes de commencer
la «guerre de mouvement», c'est-à-dire
l'insurrection contre le capitalisme avec le support des masses. Le mode d'emploi
du Marxisme Culturel donné par Münzenberg d’organiser les intellectuels et se
servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue et
qu’alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la
vie rendue impossible, s’imposera une forme nouvelle de Dictature du
Prolétariat est quand même plus simple. Gramsci voulait aussi encourager le développement d'intellectuels provenant de la classe ouvrière, ce qu'il a appelé
«l'intellectuel organique» qui reste à trouver
(on a trouvé le coco alcoolique coco alcoolique mais ça ne
remplace pas). Retourner l’intellectuel «bourgeois»
pour en faire un marxiste culturel est quand même nettement plus facile que de
faire un intello d’un métallo ! Gramsci voulait aussi faire l’éducation des «travailleurs» tâche au combien ardue vouée à l’échec.
Gramsci
voulait aussi faire la distinction entre la société politique et la société civile ce
qui est aujourd’hui chose faite. Gramsci prônait l'historicisme comme le philosophe nazi Martin Heidegger. Gramsci était un intellectuel communiste
qui voulait employer des moyens légaux pour arriver à ses fins.
A l’article Internationale
Communiste sont aussi cités comme membres influents du Komintern André Marty,
Jacques Rossi, Robert Beck,
Palmiro Togliatti
Et alors
pour les naïfs, les gogos ou les pas encore trop lobotomisés par le «système»
MC allez voir quelles étaient les idées des membres du gouvernement de la
France en 2014: Un petit extrait peut vous convaincre que les «idées» obsolètes
de la fin du 19ème siècle marxistes du manifeste du parti communiste
étaient toujours en vigueur au début du 21ème siècle : «Le
but de l’action socialiste est et la sauvegarde de la planète. [...] L’égalité est au coeur de notre idéal.
[...] La redistribution permanente des
ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à
l’égalité des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et
réduire les écarts de conditions. [...] Le progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur
fondamentale pour les socialistes. [...] Le Parti socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet
de transformation sociale radicale. [...] Le Parti socialiste est un parti internationaliste. Etc. etc.». (Notons que leurs pseudos
adversaires politiques dit de «droite» de style UMP aujourd’hui LR ne
trouvaient rien à dire à ce programme pour le moins marxiste culturel
utopique). Du pur marxisme
léninisme dans le texte ! Une abomination intellectuelle ! Concept
idéologique qui fit au XXème siècle
150 000 000 (cent cinquante millions) de victimes innocentes dans
un véritable «génocide de classe» bien supérieur au «génocide de race».Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme !"…
William Lind un américain diplômé du Dartmouth College et de l'Université de Princeton, a obtenu en 1971 une maîtrise d’histoire. C’est un «intellectuel» expert militaire. Dans son livre «What is ‘Political Correctness’ ?», il évoque la toute-puissance d’une «nouvelle idéologie d’Etat» aux Etats-Unis qu’il nomme le «Politiquement correct» (« Political Correctness ») et qu’il associe immédiatement au « marxisme culturel», c’est-à-dire au Marxisme «transféré du domaine économique au domaine culturel», comme déjà théorisé depuis les années 30 par Christian Rakovski. Lind établit plusieurs parallèles entre le marxisme classique (économique) et ce qu’il appelle le marxisme culturel. Les deux, explique-t-il, visent une société sans classe, les deux sont des idéologies totalitaires comme en témoigne «la nature totalitaire du politiquement correct» qui sévit sur les campus universitaires et qui a «éliminé la liberté d’expression, de la presse et de la pensée». Les deux «marxismes» s’appuient sur une seule cause pour expliquer l’histoire, le marxisme économique considère que l’histoire est déterminée par « la possession des moyens de production » alors que le marxisme culturel considère que l’histoire s’explique en établissant «quel groupe (sexe, race, orientation sexuelle, etc.) a le pouvoir sur quel groupe». Ensuite explique Lind, les deux marxismes ont la particularité de «déclarer certains groupes» comme vertueux et d’autres comme «monstrueux» : le travailleur et l’ouvrier sont vertueux dans le marxisme économique (contre le «bourgeois exploiteur») au même titre que la minorité raciale albophobe, sexuelle ou ethnique dans le marxisme culturel est vertueuse contre l’homme blanc par nature «sexiste, machiste et raciste». Enfin Lind considère que les deux marxismes se caractérisent par l’expropriation. Le marxisme économique vise à exproprier les riches et les bourgeois, le marxisme culturel punit par des impôts de plus en plus lourds, de nouvelles taxations, de lourdes amendes et par des lois injustes tous ceux qui n’adhèrent pas à la nouvelle idéologie. Et Lind de citer la discrimination positive aux Etats-Unis (affirmative action) comme un moyen parmi tant d’autres pour favoriser les minorités dites «vertueuses» au détriment des hommes blancs.
De nombreuses personnes me posent souvent la question par courriel: Mais qu’est-ce donc que ce fameux truc dont personne ne nous a jamais parlé que vous appelez marxisme culturel et dont vous nous rebattez les oreilles à longueur de pages internet ? (J’avais déjà répondu Ici mais c’était assez succinct) A travers le mouvement de la paix, le MRAP, le CCFD Terre solidaire et d’autres cochonneries tout aussi nidoreuses, toutes associations marxistes culturelles ; je me propose aujourd’hui de l’expliquer plus longuement.
C’est sur le blog du CTECNA voir là : http://antisemitenonmerci.blogspot.fr/ qui avec plusieurs articles sur la question ouvrira le «Bal» ! Comme ici ou Là. Exemple d’un article dénonçant un groupuscule « Marxiste Culturel » Français : Antisémitisme à Mont de Marsan! Et dans le prochain chapitre une vision nouvelle du Marxisme culturel avec un transfuge soviétique passé à l’Ouest en 1970.
Une
minute de publicité.
Pour
ne pas mourir idiot: Lisez Note 9 ! Note 9 ? Une perle de
l’ethnographie politique ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet
auteur mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie
qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens
pour la compréhension du positionnement marxiste culturel des hommes politiques
d’aujourd’hui. Note
9
le livre qui déchire à donf ! Et puis avant le chaos faut écouter les
Brigandes : Che Guevara Salopard !
Et plus encore : Les Brigandes.com
et là Le Clan des Brigandes.
A suivre……
Michel Alain Labet de Bornay.
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