mardi 16 janvier 2018

What is Cultural Marxism? (2)




Le marxisme culturel chapitre 2 par Alain de Bornay
Nous sommes tous infiltrés.
L’ensemble des religions chrétiennes sont infiltrées par le marxisme culturel avec même les témoins de Jéhovah des «témoins» qui n’ont pas vu l’accident.
Avec ce chat pitre (chat qui rigole) traitant en partie des témoins de Jéhovah et de leur rapport avec un des théoricien anarcho-syndicaliste que je considère comme un des marxistes culturels parmi les plus influents du 20ème siècle, il faut que je vous en dise un peu plus sur mon parcours spirituel. Baptisé une première fois en 1951 dans la religion protestante luthérienne puis une deuxième en 1952 dans la sainte religion catholique apostolique et romaine, je suis instruit d’abord par des maîtres d’école à l’époque patriotes et laïcs puis par des pasteurs luthériens (école du jeudi et du dimanche avec étude de la bible, version Louis Segond) dans la religion protestante luthérienne et confirmé au temple Saint Martin de Montbéliard en 1968, sans oublié un court passage chez les frères de l’institution Saint Joseph de Remiremont ce qui explique une certaine connaissance des dogmes et rites catholiques. De plus, ma famille catholique s’honore de compter parmi ses membres Saint Pierre François Néron de Bornay canonisé par Jean Paul II et dans ma famille protestante Tobias Matthieu (1546 - 29 mars 1628) prince-évêque de Durham de 1595 à 1606, puis archevêque d'York de 1606 à sa mort. Chercheur passionné et exégète biblique, Panenthéiste (doctrine philosophique) convaincu, j’ai longtemps suivi l’enseignement initiatique de l’Ordre de la Rose Croix, des liens intéressants avec des responsables de l’Ordre Initiatique et Traditionnel de l’Art Royal(OITAR) une scission de l’obédience maçonnique irrégulière du Grand Orient (GO) ont occupé mon esprit pendant quelque temps, puis je suis initié Franc Maçon à l’obédience régulière de la GLNF au rite Français ouvrant ses travaux de Loge au Chapitre 1 Verset 1 à 9 de l’évangile de Jean. Travaillant ainsi au  perfectionnement de soi par la réflexion métaphysique  et à l’éveil de ma conscience. Politiquement anarcho-capitaliste, mais je préfère le terme de libertarien minarchiste, libre penseur et croyant en D-ieu mais pas aux religions qui n’apportent que de mauvaises réponses aux malheurs qu’elles engendrent (Franc maçon et anarchiste, n’y a-t-il pas là quelque chose de bizarre ? Oh non, notre frère Christophe Bitaud dans son livre L'Unique et l'Initié dira: «Le point commun entre l'anarchiste et le franc-maçon c'est bien la construction de soi, la recherche inlassable du plein épanouissement de son individualité, hic et nunc. «Deviens ce que tu es» écrivait Nietzsche, un homme vrai en toutes circonstances ajoute l'anarchiste et le franc-maçon. Quel meilleur endroit pour y parvenir que la loge maçonnique ? Véritable microcosme libertaire où règne l'ordre sans l'autorité, où s'épanouissent la sagesse, la force et la beauté, où l'harmonie n'est plus une utopie. Certes, on peut rencontrer des anarchistes, ou prétendus tels, sectaires et intolérants (Noam Chomsky anarchiste libertaire en fait partie), des francs-maçons, ou supposés tels, arrivistes et arrogants (Il y en a, j’en connais, ignorants des origines judéo-chrétiennes de la maçonnerie spéculative). On peut être déçus par les individus, mais gardons-nous de les juger, il faut dire que les idéaux portés par la maçonnerie et l'anarchisme sont d'un accès difficile. L'aventure vaut d'être vécue. J'ai dit». Extrêmement curieusement des soupçons d’appartenance de Charles Taze Russell le pasteur américain d'influence millerite fondateur de la société Watchtower (Les témoins de Jéhovah) à la franc-maçonnerie ont eu lieu, relayées par plusieurs écrivains délirants dont Lady Queenborough (Edith Star Miller) dans «Occult Theocracy» publié dans les années 1930 ou l'Américain Fritz Springmeier en 1990 (voir ici les photos de la tombe de Russell et d’autres preuves évidentes pour un frère, mais peu de gens savent que la maçonnerie américaine est d’obédience régulière, ses membres croyant en D-ieu et qu’aucun obstacle ne s’oppose par exemple pour un frère maçon américain à recevoir le baptême par immersion des témoins de Jéhovah) ; Inversement j’ai été le témoin d’une initiation d’un musulman qui a prêté son serment maçonnique sur le Coran, ces initiations «bizarres» ont toujours été courante dans le franc Maçonnerie. Notre frère Rudyard Kipling dans son merveilleux poème à sa loge mère, le savait bien, extrait :
Car tous les mois, après la tenue,
Nous nous réunissions pour fumer
(Nous n'osions pas faire de banquets de peur d'enfreindre la règle de caste de certains frères)
Et nous causions à cœur ouvert de religions
Et d'autres choses
Chacun de nous se rapportant
Au Dieu qu'il connaissait le mieux.
Rappelez-vous frères de toujours penser au Dieu que vous connaissez le mieux.
J’ai toujours considéré le dialogue avec ce que j’appelle des «hommes de Dieu», (rabbins, prêtres, pasteurs, chercheurs, maitres de tous ordres ou de toutes obédiences etc. etc. comme fondamental, errant sur une sorte chemin de Damas depuis toujours) j’avais il y a environ 35 ans engagé le dialogue avec des témoins de Jéhovah de Nice avec qui j’avais eu des rapports sympathiques et des lectures et études bibliques intéressantes (essentiellement des textes de leur propre traduction de la Bible. Hors il est bien évident que suivant le vieil adage : omnis traductor traditor (chaque traducteur est un traître) il m’était à l’époque difficile d’adhérer à toutes leurs thèses). Je ne me suis pas converti mais je les ai toujours considérés comme des femmes et des hommes justes qui suivent une voie droite, qui n’est pas la mienne mais qui ont des choses à dire et dont de nombreuses personnes devraient s’inspirer. J’ai également bien connu Gilbert Bourdin  également connu sous le nom Swami Hamsananda Sarasvati, ou Sa Sainteté le Seigneur Hamsah Manarah fondateur de l'aumisme, la «religion universelle de l'Unité des Visages de Dieu», ainsi que Bhagwan Shree Rajneesh déclaré Bouddha réincarné et plusieurs membres de la secte à Thorenc (06).               Dernièrement j’ai été amené à engager un dialogue agréable avec quelques témoins de ma petite ville et à assister (chose que je n’avais pas faite depuis 35 ans) à une réunion dans un de leur «temple» dit «Salle du Royaume».  Là il m’a été donné une brochure, la «Tour de garde» anciennement «réveillez-vous» sorte de catéchisme très bien fait et très dogmatique. Quelle ne fut pas ma surprise d’y trouver une référence à l’anarcho-syndicaliste Noam Chomsky (Chomsky y dit une chose juste: «personne ne va déverser la vérité dans notre esprit. C’est à nous de la trouver par nous-même») de nombreux marxistes ont dit des choses justes mais la doctrine est criminelle dans l’ensemble. D’abord intéressé par le marxisme, Chomsky s’en détacha très tôt pour choisir une voie dite libertaire de gauche assez originale et peu connue l’anarchisme juif. Chomsky fut aussi au début très influencé par Karl Korsch, «philosophe», enseignant, théoricien et militant du communisme de conseils (une des versions séculière du marxisme culturel bien représenté par les républiques des conseils l’horreur communiste barbare totale particulièrement sous Béla Kohn ou Cohen dit Béla Kun qui mit en œuvre la  terreur rouge au sein de la République des conseils de Hongrie (du 21 mars au 1er août 1919). Cette pseudo «république» en viendra à utiliser la propagande antisémite, bien que la plupart de ses cadres aient été eux-mêmes des juifs d’origine, des Erev Rav (Le peuple de boue, ou érèv rav (hébreu:  «tourbe nombreuse») ou assafsouf («ramassis») est un groupe d’étrangers (des faux juifs) se joignant aux Hébreux lors de l’Exode hors d’Égypte. Dans la traduction du Monde Nouveau de la Bible les témoins de Jéhovah appellent l’Erev Rav le «peuple mêlé» ; Exode Chapitre 12 verset  37 : Alors les fils d’Israël partirent de Ramsès pour Soukkoth, au nombre de six cent mille hommes de pied, [des hommes] robustes, sans compter les petits. 38 Et un peuple mêlé, immense, monta aussi avec eux, ainsi que du petit bétail et du gros bétail, cheptel très nombreux. La tradition juive fait de l’Erev Rav des convertis insincères, responsables des fautes d’Israël dans le désert et des comportements indignes se manifestant parmi les Juifs. Eliyahou ben Shlomo Zalman plus connu comme  le Génie de Vilna simplement par son acronyme hébraïque HaGRA (HaGaon Rabbénou Eliyahu - Notre Maître Élie, le Génie), explique que le érèv rav sont ceux dans le peuple juif qui au lieu de contrer «ceux qui parmi les Nations causent du tort au peuple juif» choisissent la polémique et s’en prennent à lui utilisant les «fausses vertus des hypocrites et des trompeurs». Notons que le marxiste, le républicain ou le socialiste est dans tous les cas entouré de ses fausses vertus des hypocrites et des trompeurs. Cette conduite est expliquée au sujet des Juifs dans l'histoire moderne comme «étant le désir de certains Juifs d'être reconnus sur le plan social dans un environnement hostile aux Juifs», ou comme «la conséquence d’une éducation juive défectueuse». Ils sont considérés comme des «ennemis de l’intérieur» ou des «juifs antisémites» personnellement je les qualifie de faux juifs. Combien de gens savent que des dizaines de milliers de juifs, de demi-juifs ou de quart de juifs serviront sous l'uniforme nazi durant la guerre ; en savoir + sur les soldats juifs d'Hitler. Rabbi Pinchas Winston un spécialiste lui aussi des temps de la fin écrit qu'il existe dans le judaïsme un terme technique, le érèv rav, pour désigner les Juifs qui au fil des générations «sont tellement assimilés et influencés par des valeurs non juives qu'ils sont devenus par eux-mêmes des ennemis de la nation juive». Il donne pour exemple «les Juifs qui sont tellement à gauche [politiquement] qu'ils sont devenus des antisémites à part entière» (Certains marxistes culturels sont aujourd’hui de vrais antisémites comme on peut le voir ici et là lalalère...). Il explique que «ce qui les rend dangereux» est que lorsque «des non-Juifs disent au sujet du peuple juif ce que le érèv rav dit, ils sont qualifiés d’antisémites, par contre quand c'est le érèv rav qui le dit ils sont considérés comme introspectifs, honnêtes, courageux, puritains, alors qu'en fait ce qu'ils sont réellement c’est des haineux d’eux-mêmes»), chez les cadres juifs convertis à la religion séculière marxiste de la République des conseils de Hongrie, une affiche communiste dénonce les Juifs refusant de partir au front et proclame «Exterminez-les s'ils ne veulent pas donner leur vie à la cause sacrée du prolétariat !». Béla Cohen dit Kun un criminel contre l’humanité communiste et juif érèv rav parmi les érèv rav fait rafler et exécuter la plupart des cinq mille juifs polonais venus tenter de se ravitailler en Hongrie.
Dans les dernières semaines du sanglant régime marxiste, des éléments radicaux tentent de prendre le contrôle, réclamant la mise du grand progressiste et criminel juif Erev Rav Szamuely à la direction du gouvernement et l'intensification de la politique de terreur qui avait déjà atteint des sommets de l’horreur, et exigeant une «Saint-Barthélemy rouge».  Tibor Szamuely, le camarade progressiste et humaniste juif Erev Rav commissaire politique aux affaires militaires, s’illustra dans de la répression des activités contre-révolutionnaires et fut l'un des principaux responsables de la terreur rouge hongroise. À ce titre, il n'hésita pas à faire commettre d’immondes atrocités contre des religieux qu’il ira jusqu’à faire crucifier sur la porte des églises ou de leur enfoncer dans le cœur leurs croix pectorales et de faire violer les nonnes et les jeunes élèves des écoles confessionnelles par ses «petits gars de Lénine» (Lenin fiuk, également traduit par Compagnons de Lénine placés sous le commandement d'un ancien marin communiste, Jozsef Czerny). Il parcourut le pays à bord d'un train réquisitionné avec la  bande de gangsters bolchéviques les «gars de Lénine» et multiplia les actions de répression, faisant notamment pendre les paysans opposés à la collectivisation et défiler les femmes et les enfants des suppliciés devant les corps agonisants ou, dans les villes reprises au Royaume de Roumanie, les notables accusés de collaboration avec les Roumains. Durant ces quelques mois, des milliers de cadavres de paysans, de bourgeois, de religieux et de religieuses joncheront leur route. Des cours martiales de fantaisie seront  organisées, suivies de généreuses pendaisons aux arbres ou l’humaniste progressiste Szamuely fera défiler devant les pendus les veuves (qui seront plus tard violées). Tout comme Lénine, et les autres, Szamuely clamait que «la terreur est la principale arme de notre régime». Parmi les «autres» on trouve un des fondateurs de l’idéologie marxiste culturelle, György Lukács un converti à la religion séculière marxiste né dans une famille de la grande bourgeoisie juive de Budapest. Dans la République des conseils de Hongrie de 1919 il est commissaire à l'Instruction. Avec Szamuely, Lukács l’érèv rav devint l'idéologue et l'exécuteur de la terreur rouge. À l'approche des armées roumaines, Béla Kun et d'autres dirigeants communistes hongrois purent s'enfuir en Autriche. Tibor Szamuely fut arrêté à la frontière où il fut pacifiquement assassiné. La communauté juive d'Autriche refusa de l'inhumer dans le cimetière juif et l'enterra en dehors avec cette épitaphe «Ici creva un chien». 
Ces juifs-là n’avaient pas la fausse pudeur de pucelle effarouchée de monsieur Eddie Willers qui bien qu’éprouvant comme on l’a vu au début de ce texte et au chapitre précédent une haine profonde pour les régimes dirigistes et communistes, hésite à dire «Meurs, pourriture communiste» et préfère toujours juger les idées, et non les personnes ; Je ne suis pas d’accord, Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Castro, Guevara, Chavez etc. etc. responsables de l’extermination de plus de 150 millions d’innocents sont pire que des pourritures, à côté d’eux Adolph Hitler était un gamin de l’ignominie !
Il fait dire qu’Eddie Willers n’existe pas vraiment, voir ici, Willers est un personnage d’un roman de l’admirable Alissa Zinovievna Rosenbaum dit Ayn Rand philosophe, scénariste et romancière américaine d'origine russe, dite très abusivement juive athée, née le 2 février 1905 à Saint-Pétersbourg et morte le 6 mars 1982 à New York. C’est assez à la mode pour ne pas dire «politiquement correct» de qualifier les juifs qui ne sont pas «religieux» ou ne professe pas un judaïsme traditionnel de juifs athées, Ayn Rand connue pour sa philosophie rationaliste, proche de celle du mouvement philosophique et politique libertarien, à laquelle elle a donné le nom d'«objectivisme» n’était pas athée. Le prétendu athéisme d’Ayn Rand ne se déduit pas de sa philosophie, mais simplement de son incapacité à comprendre la distinction entre le nécessaire et le contingent, qu’elle confondait avec la distinction, toute aussi essentielle mais catégoriquement différente, entre ce qui est causé par les lois naturelles et ce qui l’est par les actes de la pensée humaine. Ce pseudo athéisme est en outre logiquement incompatible avec son individualisme et sa reconnaissance du libre arbitre et du vrai progrès humain : la métaphysique d’Ayn Rand n’est pas plus cohérente que celle d’Aristote, et bien plus complètement réfutée par la science qu’à l’époque d’icelui. Le soi-disant athéisme randien révèle simplement les lacunes de sa formation en métaphysique. Pour moi Ayn Rand professe plus comme moi un panenthéisme (Tout est en Dieu) comme mon maitre Spinoza le soutient, dans l'Éthique (1677) ou les choses sont immanentes à Dieu, par essence. Et, par causalité, «Dieu est cause immanente, mais non transitive de toutes choses» (…) «Dieu, c'est-à-dire la Nature». Ce n’est pas facile de trouver des experts dans une discipline que la plupart ne reconnaissent plus. Une fois surmontés les malentendus, reste la démonstration par Ayn Rand du fait que la métaphysique est possible et nécessaire, et c’est grâce à elle que le Père Robert Sirico ayant par la suite fréquenté de meilleurs métaphysiciens, a pu redécouvrir Dieu et devenir prêtre catholique. Ainsi, réhabiliter la preuve philosophique dans son intégralité est la contribution essentielle d’Ayn Rand à la pensée humaine, et c’est pour cela qu’elle appelait «Objectivisme» sa philosophie.
Un nombre toujours plus important de gens lisent Ayn Rand. Pour certains, La Grève ou La Source Vive sont une véritable porte d’accès vers le libertarianisme. Beaucoup ont découvert grâce à son œuvre toute la fierté que l’on pouvait retirer de l’accomplissement individuel. Les best-sellers d’Ayn Rand sont principalement des romans. Ce genre permet une diffusion plus large des idées objectivistes de la philosophe (L'essentiel de l'éthique objectiviste est résumé par Ayn Rand en une phrase : «Pour vivre, un homme doit tenir trois choses pour valeurs suprêmes et souveraines de la vie: la Raison, le Sens et l'Estime de soi». Ayn Rand d’origine juive n’a pas lu l’évangile de Thomas qui retranscrivit les paroles de Jésus, comme par exemple : Jésus dit : «Que celui qui cherche ne cesse point de chercher jusqu'à ce qu'il trouve ; lorsqu'il trouvera, il sera troublé; et lorsqu'il sera troublé, il admirera, et il régnera sur l'univers !».Et aussi : «Si ceux qui vous guident vous disent : " Voici, le Royaume est dans le ciel ! "- alors les oiseaux du ciel y seront avant vous. S'ils vous disent. " Il est dans la mer ! "- alors, les poissons y seront avant vous Mais le Royaume est à l'intérieur de vous et il est à l'extérieur de vous ! " La raison, le sens et l’estime de soi. CQFD) Surtout, La Grève offre une riche palette de personnages et de situations auxquels chacun peut s’identifier. L’un de ces personnages est Eddie Willers. Comme vous n’avez peut-être pas lu La Grève (vieux motard que j’aimais), il faut décrire le personnage. Eddie Willers est l’assistant de Dagny Taggart, héroïne du livre, qui dirige avec brio la Taggart Transcontinental, compagnie de chemins de fer. Le roman est dominé par des personnages très extrêmes : Dagny Taggart est une femme de poigne qui tient tête à des bureaucrates au pouvoir fou, John Galt est éclatant de par son individualisme et sa rébellion. On admire Hank Rearden pour sa capacité à supporter la solitude qu’il subit à tort. On est enfin charmé par la fougue de Francisco d’Anconia et par l’éthique de Ragnar Danneskjöld. Eddie Willers, lui, est un simple assistant. Si Dagny Taggart lui transmet au cours de l’histoire quelques tâches exécutives, ses journées semblent surtout ressembler à celles de l’employé de bureau lambda. Willers n’est pas doté d’un superbe talent ni d’un génie à toute épreuve. Ami d’enfance de Dagny, il semble aimer secrètement cette dernière et manque de courage pour le lui dire. Eddie Willers n’est ni charismatique ni particulièrement impressionnant. On est là bien éloigné du héros randien. À la fin de l’œuvre, alors que Dagny, Hank, John et tous les autres «producteurs» et héros randiens ont trouvé refuge dans le Ravin de Galt pour former une nouvelle société libertarienne, Eddie Willers reste seul, isolé, sur une voie ferrée, à bord d’un train tombé en panne en plein milieu d’un no-man’s land. Par la déchéance d’Eddie Willers décrite à la fin du livre, Ayn Rand nous montre à quel point le collectivisme (marxisme, communisme, socialisme etc.) peut être destructeur. Pas uniquement pour le génie ou le grand capitaine d’industrie, mais aussi pour le travailleur lambda, celui qui n’a les moyens ni de fuir, ni de s’expatrier, ni de fonder une autre société. En privant des hommes comme Eddie Willers de l’apport des plus grands génies à cause des persécutions dont ils sont victimes, en leur soutirant leur capacité à apporter leur pierre (même modeste) à l’édifice d’une découverte ou d’une entreprise, le collectivisme (marxisme, communisme, socialisme etc.) condamne la majorité des êtres humains. Penser qu’Ayn Rand sert la cause des génies et des créateurs aux dépens de la majorité est une grossière erreur, qu’il est toujours possible de corriger en lisant ou relisant La Grève avec une plus grande attention portée au personnage d’Eddie Willers.
Revenons à Karl Korsch né le 15 août 1886 en Allemagne à Tostedd dans les landes de Lunebourg, et mort le 21 octobre 1961, à Cambridge aux États-Unis, un des théoriciens américains du communisme de conseils (Il est très peu connu qu’en France le premier groupe «conseilliste» créé en mai 1919 l’était sous le nom de «Parti communiste français» (PCF). Ce petit groupe n'a rien à voir avec le PCF de la IIIe Internationale qui s’appelait alors la SFIC (Section française de l'Internationale communiste). Il n'est pas reconnu par l'Union soviétique. À Paris, le PCF de 1919, principalement animé par Raymond Péricat, s'organise en «soviets d'arrondissement». Le PCF de 1919 regroupe aussi bien des marxistes que des anarchistes. Il publie un journal tiré à 20 000 exemplaires : L'Internationale. Le PCF de 1919 ne dure que quelques mois et disparaît dès le mois de décembre. En avril 1920, les marxistes du PCF de 1919 créent un second PCF, tout aussi éphémère, et qui devra disparaître au mois de décembre au moment de la création de la SFIC de la IIIe Internationale. Le Parti Communiste ne se dira «Français» qu’au lendemain de la Libération en 1945.
Plus encore qu’à l’œuvre de  Korsch, Noam Chomsky, fut marqué par l’œuvre d’Eric Arthur Blair dit George Orwell un socialiste aux  deux œuvres au succès durable, les deux textes magnifiques publiés après la Seconde Guerre mondiale : La Ferme des animaux et surtout 1984, roman dans lequel il crée le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance et de contrôle des individus. L'adjectif «orwellien» est également fréquemment utilisé en référence à l'univers totalitaire imaginé par cet écrivain anglais. 
Noam Chomsky qui est pour moi un marxiste culturel en collaboration avec l'universitaire Edward Herman, a contribué à la naissance des travaux consacrés à «l'économie politique» («political economy») des médias de masse. Cette approche s'intéresse, dans une perspective critique, au fonctionnement de l'industrie des médias dans ses rapports avec les pouvoirs économique et politique. Partis du constat qu'en «démocratie» les élites ne peuvent pas se contenter d'user de la force pour asseoir leur domination et du principe que les intérêts de la majorité de la population diffèrent de ceux de l'élite, Chomsky et Herman ont cherché à démontrer empiriquement, dans leur livre La Fabrication du consentement (1988), comment, dans le contexte américain, les principaux médias participent au maintien de l'ordre établi. Dans leur optique, les médias tendent à maintenir le débat public et la présentation des enjeux dans un cadre idéologique construit sur des présupposés et intérêts jamais questionnés, afin de garantir aux gouvernants l'assentiment ou l'adhésion des gouvernés. C'est ce qu'ils ont appelé, en reprenant une formule forgée en 1922 par Walter Lippmann, l'un des fondateurs des relations publiques, la «fabrication du consentement» («manufacturing consent»). Dans La Fabrication du consentement Chomsky ne dévoile qu’un des aspects mineurs de l’établissement du marxisme culturel, le contrôle absolu par les parasites de premier niveau et l’abêtissement des medias pour dévaloriser le jugement personnel et l’esprit critique. Mais il y en a beaucoup d’autres, afin de détruire les démocraties occidentales par l’intérieur sans avoir recours à la force, les théoriciens du marxisme culturel (Lénine, Lukàcs, Münzenberg, Gramsci etc.) ont imaginé et mis en œuvre des actions multiples touchant à la fois les institutions et les valeurs démocratiques. Ces actions ont évolué au fil du temps afin de s’adapter au contexte et aux événements. Infiltration des partis existants comme des religions existantes (plutôt que création de nouveaux partis). Encouragement de l’immigration de cultures exotiques qui auront du mal à s’intégrer, généreront des tensions et contribueront à la destruction progressive de l’identité de la race blanche et des valeurs démocratiques, volonté de faire obstacle au maximum à la natalité blanche en promouvant l’avortement et en encourageant le développement de familles sans enfants (encore un détail frappant lors de mon passage chez les témoins de Jéhovah, c’est le nombre important de jeunes enfants dans la communauté et de jeunes couples, normalement chacun doit savoir que si les Témoins de Jéhovah n’annoncent pas la fin du monde des hommes, ils annoncent la fin du système de choses caractérisé par la domination de l’homme par l’homme (théorie marxiste), la violence et l’injustice. Cependant, la Bible ne précise pas le jour et l’heure où «Dieu» devrait mettre fin à ce «présent système de choses». Le mouvement réaffirme régulièrement sa foi dans l’approche de la fin ou Armageddon. Hyans Toussaint, un des membres du mouvement en Amérique du Nord, déclare «La guerre, les pestes, la situation économique, ce sont toutes des choses qui nous préoccupent. On sent qu’il y a une imminence, quoi qu’on n’a pas de date, mais pour nous, c’est de plus en plus clair». Le porte-parole des Témoins de Jéhovah, Doug Dunsire est lui catégorique, «On vit les derniers jours. Nous pensons que c’est très proche. Les prophéties de la Bible, on les voit se réaliser».
Tout cela rejoint mes propres conclusions.
1) Le progrès technologique et la société devenue marxiste culturelle et multiculturaliste nous conduit à un désastre inéluctable; il est alors nécessaire de se souvenir de cette phrase de François Rabelais qui déjà au 16ème siècle rappelait la nécessité de la sagesse en science : «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme».
2) Seul l'effondrement de la civilisation moderne pourrait empêcher le désastre, mais c’est trop tard, le désastre est à nos portes; par contre nous vivons une époque extraordinaire. Un point qui pourrait bien être le tournant de l'histoire humaine si les psychopathes sanguinaires marxistes culturels qui dirigent le monde «libre» jouent leur jeu jusqu'au bout.
3) Le marxisme culturel est la première ligne de défense de la Société technologique contre l’homme et les lois naturelles; dans un scénario de fin de civilisation tel que nous le vivons à notre époque, ce serait ne pas reconnaître la perversité du système marxiste culturel et l'imminence de son écroulement ; croire en l'intégrité de nos «dirigeants» auto-proclamés, sans voir l'esprit marxiste du mal absolu qui les anime ; croire dans les bienfaits de la soi-disant «démocratie», sans voir que c'est elle qui conduit les peuples à la ruine ; s'abriter derrière le journal de 20 heures et penser que nous sommes trop évolués pour retomber dans l'anarchie, alors que nous vivons à la veille d’une guerre «civile» et du plus sombre chaos.
4) Ce qu'il faudrait ou plutôt aurait fallu, c'est un mouvement par exemple libertarien, voué à l'éradication de la société technologique, consumériste et marxiste culturelle qui prendrait des mesures pour tenir à l'écart tous les marxistes culturels et assimilés (socialistes, communistes, droite molle, centre etc. etc.) mais encore une fois il est bien tard. Vous pouvez prendre ici votre première leçon de guerre civile.
Alors certains se préparent à survivre au chaos , bien, mais ils en ignorent une partie des causes, avec cet article c’est chose faite certains vont mourir mais pas idiots ! Sympa non ?
Sur survivre au chaos l’auteur (Pierre Templar) de ce beau blog nous donne avec une grande clairvoyance les raisons de redouter le pire ; extrait : La dureté d’une période de chaos est en grande partie liée à la qualité des gens qui la traversent. Des personnes civilisées auront plutôt tendance à se serrer les coudes, s’entraider autant que possible, et profiter des temps difficiles pour exprimer dans un élan de saine repentance les valeurs chrétiennes que d'augustes aïeux leur avaient transmises, et qu’une existence trop facile avait reléguées aux oubliettes. Sur ce point, je comprends tout à fait les survivalistes qui espèrent en ce sens et jugent mes propos un peu trop pessimistes. Cependant, ces mêmes survivalistes oublient que la France héberge désormais 15 millions de métèques, au bas mot. Peut-être même vingt ; qui sait vraiment ? Au rythme où ils nous envahissent et prolifèrent, toute statistique est vouée à l’erreur. C’est le "petit détail" que les optimistes aveugles oublient généralement de prendre en compte ou de mentionner. Pourtant, il change tout. Des millions d’aliens dégénérés qui portent dans leur sang, en plus du sida et de la syphilis, les instincts meurtriers de la guerre tribale à grands coups de machette ; des millions d’amateurs de vierges paradisiaques prêts aux pires exactions à l'idée de les enfiler sous le haut patronage du gardien de chèvres en chef… Nous ne sommes plus au milieu du siècle précédent où tous les gens qui vivaient en France, y compris les immigrés de l’époque d'origine européenne, partageaient une communauté de pensée et de valeurs issues de la même culture. Cette mixité confessionnelle que nous subissons de nos jours est tout à fait exceptionnelle et n’a jamais existé auparavant. Elle est unique dans notre histoire et porte en son sein les germes d’un cataclysme social sans précédent. Il m'arrive de lire sur les sites de la dissidence des commentaires de nationalistes qui pensent que ces gens-là sont en France uniquement pour les allocations, ce qui n'est pas faux, et qu'ils en repartiraient de leur plein gré si un gouvernement digne de ce nom venait au pouvoir et leur coupait les vivres. C'est faire preuve à mon sens d'une grande naïveté. Pourquoi voulez-vous qu'ils partent ? Pour aller où ? Avez-vous la moindre idée d'où viennent ces populations ? Vous croyez réellement qu'elles vont regagner leurs taudis du quart-monde une fois qu'elles auront goûté au confort de la chasse d'eau ? Bien sûr que non. Ces gens vont rester, comme les charognards tournent autour de leur proie en attendant qu'elle meure. Nous allons devoir nous les coltiner, quoi qu'il arrive, jusqu'à l'affrontement final, sachant que les oligarques au pouvoir ne permettront jamais qu'un gouvernement nationaliste reprenne les rênes en douceur et fasse le ménage. C’est pour cette raison que la prochaine guerre civile sera sans pitié, et qu’elle est inévitable. Parce que c’est avant tout d’une guerre de religion dont il s’agit, celle des gardes caprins contre celle qui a forgé nos âmes et mené jadis la France au firmament. Et au rythme où vont les choses, il semble que le début des festivités soit prévu pour bientôt. Soyez certain que tout est et sera mis en œuvre au plus haut niveau pour la rendre la plus meurtrière possible, et chaque nouvelle mesure que nous pondent les gouvernements qui se succèdent vont dans ce sens. Comment faudra-t-il l’expliquer pour que les optimistes béats le comprennent enfin ? Survivre au chaos est destiné à la survie, car c’est bien de survie dont il s’agit. Sauf qu’il ne se limite pas à tester le dernier couteau de chez trucmuche ou la meilleure manière de construire un four-fusée. Parce que franchement, qu’est-ce que vous en avez à battre que votre lame soit en titane plutôt qu’en acier carbone ? Vous croyez sincèrement que c’est ça qui fera la différence ? Bien sûr que non... Ce blog est destiné aux survivalistes qui ont quelque chose entre les oreilles et qui veulent comprendre pourquoi il faut se préparer, comment le faire, et à quoi il faut s’attendre ; les raisons pour lesquelles les choses vont aller en empirant, et pourquoi ce qui va nous tomber sur le coin de la figure relégueront Mad Max au rang de conte pour enfants. Si rien n’arrive dans les prochains mois, alors ce sera pour les années à venir, parce que de toute manière, c’est ce qu’ils veulent. Et plus on attend, plus le chaos sera dévastateur, car plus nous auront avancé dans la voie de la négrification, de la domination étrangère et de la dépendance. Il est inutile de s’exaspérer ou de jouer les vierges effarouchées à chaque nouvelle trouvaille satanique de nos dirigeants, de faire la grève ou défiler dans les rues, puisque cela fait partie du plan. Attendez-vous à davantage de problèmes de toute sorte et d’appauvrissement à tous les niveaux : chômage, inflation, impôts et taxes, enfilages de pédérastes à grande échelle et en direct sur les écrans… J’en passe et des pires, et toujours plus de macaques, de roms et de martiens ; toujours plus de pilules et d’avortements gratuits pour les filles de France, histoire de diluer la race encore plus vite. Toujours plus de métèques à la télé, au gouvernement, dans les services publics ; et toujours plus de répression pour le vrai peuple de France. Voilà ce qui nous attend. Inutile de parcourir le Net à la recherche de la dernière info catastrophique, je vous ai dit ce qui allait se passer. Gardez votre temps et votre énergie pour vous préparer, sans vous préoccuper outre mesure des nouvelles de la planète. De toute façon, on y va ; quels que soient le déclencheur qui mettra le feu aux poudres et la forme que prendra l’effondrement. Le manque de ressources et d’autonomie, l’africanisation des instincts et le plan de destruction, ajoutés aux causes psychologiques étudiées précédemment, constituent le cocktail le plus amer et le plus explosif qui n’ait jamais été donné au peuple de France. A côté de quoi les prémisses des grandes guerres avaient le goût d’un sirop de fraise. La majeure partie de ces causes structurelles n’existaient pas en 14 ni en 39, pourtant, nos ancêtres ont bien souffert. Imaginez ce qu’il en sera dans un futur proche, alors que le monde moderne réunit les pires ingrédients. Il suffirait que s’ajoutent à cela des causes externes indépendantes de notre volonté, tels que des bouleversements climatiques majeurs, attaques terroristes nucléaires ou bactériologiques, chute de comète ou autres joyeusetés du même genre et vous avez la totale. Certains vont encore m’accuser de verser dans le catastrophisme ; peu importe. Ce qui compte, c’est qu’ils se préparent. Avoir un mois d’autonomie au lieu de six parce que l’on s’attend à un petit chaos plutôt qu’un grand vaut toujours mieux que pas d’autonomie du tout. Le reste est affaire de sensibilité personnelle, de moyens, et de croyances…
Malthusianiste en partie je pense que bien que les avertissements apocalyptiques (ou de fin du monde) s'inscrivent dans une tradition très ancienne, il est plus que temps (et même trop tard) de prendre en compte les théories actuelles qui s'appuient sur des faits incontestables dont la réalité est reconnue par des rapports et expertises scientifiques et institutionnels, tels que ceux du Club de Rome, du GIEC7, d'autorités militaires internationales, de la Banque mondiale et du Forum de Davos (Les marxistes culturels comptant parmi eux quelques éveillés) sans oublier les chiffres alarmants de worldometers.. Par ailleurs, les risques mis en avant ont désormais pour origine l'activité humaine.
Dans son Introduction au manifeste, La Société industrielle et son avenir (1995) Theodore_Kaczynski un néo luddiste écrivait: «La révolution industrielle et ses conséquences ont été un désastre pour l’espèce humaine. Elle a accru la durée de vie dans les pays «avancés», mais a déstabilisé la société, a rendu la vie aliénante, a soumis les êtres humains à des humiliations, a permis l’extension de la souffrance mentale (et de la souffrance physique dans les pays du tiers monde) et a infligé des dommages terribles à la biosphère. Le développement constant de la technologie ne fera qu’aggraver la situation. Ce qu’auront à subir les hommes et la biosphère sera de pire en pire ; le chaos social et les souffrances mentales s’accroîtront, et il est possible qu’il en aille de même pour les souffrances physiques, y compris dans les pays «avancés». Le système techno-industriel peut survivre ou s’effondrer. S’il survit, il peut éventuellement parvenir à assurer un faible niveau de souffrances mentales et physiques, mais seulement après être passé par une longue et douloureuse période d’ajustements, et après avoir réduit les êtres humains et toutes les créatures vivantes à de simples rouages, des produits calibrés de la machine sociale. En outre, si le système perdure, les conséquences sont inéluctables : il n’y a aucun moyen de réformer ou modifier le système de façon à l’empêcher de dépouiller les hommes de leur dignité et de leur autonomie».

Puisque nous en sommes à parler de religions intéressons-nous au «mouvement de la paix» quoi de plus «humaniste» et de chrétien que la «paix» ?
En France, le Mouvement de la paix est, une organisation dite de «masse» satellite du PC devenu (F) en 1945 se disant «pacifiste» (Sans rire) qui s'inscrit dans la promotion du MC ou marxisme culturel initié par Lénine et l’ex URSS, le socialisme international, sans oublier Münzenberg, l’école de Francfort et ses successeurs tel Gramsci.
Présenté aujourd’hui par le MRAP (Mouvement marxiste Stalinien 100% communiste) comme apolitique, le Mouvement_de_la_paix s’inscrit en fait dès sa naissance dans une stratégie de politique extérieure soviétique et de propagation du marxisme culturel. La défense de la paix doit permettre d’ériger l’URSS marxiste en «championne de la paix», par opposition aux Etats-Unis, «fauteurs de guerre».
Comme le MRAP, dont il est le rouge jumeau, le mouvement ex «de masse» stalinien dit de la «Paix» a une présidence collective comme dans l’ex URSS ou elle est détenue conjointement par tous les membres d’une sorte de præsidium du Comité central exécutif. Tous bien évidemment des «militants de la paix» le couteau entre les dents. L’expression contradictoire de «militant pacifiste» définit cette forme marxiste culturelle comme du «pacifisme». Il consiste en un «engagement» pour soi-disant la «paix» qui a quelque chose de très guerrier. On «lutte» pour la Paix. On marche pour la paix comme un peu comme on marche à la guerre. Le chinois Sun Tzu a dit : «L’art de la guerre est la tromperie» et encore «L’art suprême de la guerre consiste à vaincre son ennemi sans l’avoir affronté» Le marxisme culturel est une «guerre» dont l’objectif est de détruire la nation, la patrie, les hiérarchies, l’autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l’ordre et la morale pour favoriser l’émergence d’une «nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Aujourd’hui particulièrement au point sous le nom de NOM (Nouvel Ordre Mondial) sous la dictature du MC (Marxisme Culturel).                                     Yves Santamaria dans son livre «Le pacifisme, une passion française» nous apprend que le grand criminel contre l’humanité communiste Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine avait dévolu au «pacifisme» le rôle de «désagrégation de la bourgeoisie». Le traitement de l’expression «lutte pour la paix» désigne dans la tradition «Kominternienne Léniniste puis stalinienne» et aujourd’hui marxiste culturelle, est, comme on vient de le voir, le traitement du paramètre «guerre». Cela est particulièrement bien illustré dans 1984 (Nineteen Eighty Four) ou Eric Arthur Blair dit Georges Orwell écrira : «Il ne s'agit pas de savoir si la guerre est réelle ou non. La victoire n'est pas possible. Il ne s'agit pas de gagner la guerre mais de la prolonger indéfiniment. Une société hiérarchisée repose sur la pauvreté et l'ignorance. Leur version devient vérité historique. Et rien d'autre ne peut avoir existé. Le but de la guerre est de maintenir la société au bord de la famine. La guerre est menée par l'élite contre ses propres sujets. Son objectif n'est pas de vaincre en Eurasie, en Asie, mais de garder sa structure sociale intacte. Il y a partout la même structure pyramidale, le même culte d'un chef semi-divin, le même système économique existant par et pour une guerre continuelle. La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force. Le mot «guerre», lui-même, est devenu erroné. Il serait probablement plus exact de dire qu’en devenant continue, la guerre a cessé d’exister. […] Une paix qui serait vraiment permanente serait exactement comme une guerre permanente. [C'est] la signification profonde du slogan du parti : La guerre, c’est la Paix». 
En savoir plus, cliquez ici et voir Paix et Liberté ou le marxisme culturel par l’exemple comme ici, ou vous apprendrez en revenants à nos agneaux ou à nos blanches rouges colombes que très rapidement, sponsorisé avec «l’or de Moscou» le Mouvement marxiste de la "paix" (site actuel) prendra rapidement de l'ampleur après-guerre : en mars 1950, le 19, l'Appel (La pioche la faucille et le marteau) dit de Stockholm est lancé pour soi-disant protester contre l’arme nucléaire (Sauf celle de Moscou bien sûr, dont les plans volés aux états unis par le couple de communistes Rosenberg (définitivement coupables) vont servir la soi-disant «paix», en fait et seulement l’équilibre de la terreur). 600 millions de signataires auraient soi-disant adhéré à cet Appel à travers le monde, dont 14 millions en France. Ces chiffres, gonflés par le Mouvement marxiste de la paix (pour la France par exemple, on estime qu’il y a eu seulement de 4 à 5  millions de signataires, de sombres crétins lobotomisés par l’agitprop marxiste du Parti Communiste devenu il y a peu Français). L'Appel dit de Stockholm signé par une masse considérable d’abrutiles décervelés par la propagande marxiste culturelle de l’époque est plutôt un véritable syndrome de Stockholm qu’un appel, un phénomène psychologique où des otages en l’occurrence les lecteurs de la presse marxiste culturelle partageant longtemps la vie ou les visions «pacifistes», «humanistes» et « progressistes» de leurs futurs tortionnaires et futurs geôliers communistes développent une empathie, voire une sympathie, ou une contagion émotionnelle avec ces derniers.
En fait l’appel dit de Stockholm est seulement une pure propagande soviétique ; on vient de voir que le «mouvement de la paix» n’est qu’un instrument de cette propagande.
Les techniques courantes marxistes culturelles de désinformation utilisées par différents organes de pouvoir ou d’influence– publics ou privés – tels les «journalopes des merdias» cherchent constamment à occulter des vérités qui dérangent tel par exemple l’idéologie marxiste criminelle du mouvement de la «paix». Il est utile de garder ces concepts à l’esprit lors de la lecture d’informations relatives à des sujets controversés tel par exemple l’appel de Stockholm … pour autant, règle n°1, que vous sachiez même qu’ils le sont. Faites le test. Vous serez sans doute surpris de constater à quel point ces procédés percolent au travers de nombre de propos tenus par des instances officielles, des «experts» associations socialos marxistes, ligues diverses et avariées, associations «antiracistes» et par extension de nombreux médias.

La technique n°1 marxiste culturelle est celle de l’évitement : Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper. Même si elle est rapportée ne pas en parler ou insulter le contradicteur avec la
reductio ad Hitlerum , cette tactique rhétorique marxiste culturelle par excellence a pour objet d'exclure l'adversaire du champ polémique tout en évitant le débat de fond.
Par exemple l’ouvrage fondamental qui explique l’antisémitisme en France et l’albophobie dans ce pays des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libertarien Lire la question gratuitement sur internet ? Cliquez ici !
Extrait : « Depuis le temps que les marxistes culturels admonestent, sur un ton outré et comminatoire, tous leurs adversaires politiques, il est temps de leur rendre un peu la monnaie de leur pièce. Mais je ne me fait aucune illusion, car quelle que soit la solidité des arguments de l’opposant à leur idéologie nauséabonde de haine et malgré la possibilité qu’ils leur est offerte ici de faire des commentaires sur mon texte et à sa suite, ils éviteront la discussion en me contestant toute crédibilité, comme toute existence de preuves, toute logique ou tout sens. Et ils mélangeront le tout pour un maximum d’efficacité. Le dernier «redresseur de torts» en date était un certain Hessel, qui a ajouté sa petite crotte rouge de l’indignation à l’édifice marxiste culturel, château fort éthique si imprenable que même la fausse droite sociale-démocrate s’y est ralliée depuis longtemps.
Après m’avoir lu sérieusement, qui pourra continuer à croire que la gauche, le marxisme est le camp du Bien, de la Vérité ou de l’Humain d’abord, ce livre prouve que depuis 200 ans c’est quasiment le contraire».

Cet «Appel» à en réalité une origine connue, la guerre de Corée. Les soviétiques qui soutenaient la Corée du Nord craignaient (avec juste raison) l’utilisation de la force nucléaire par les Etats-Unis dans ce conflit. Le camarade Joliot Curie un agent communiste lui aussi (Le 28 avril 1950, Joliot-Curie est révoqué de son poste de haut-commissaire du CEA par le président du Conseil Georges Bidault, pour cette raison il recevra l’immonde prix Staline international pour la paix la même année une consolation ?), il  avait déjà proclamé au Congrès du Parti Communiste Français le 5 avril 1950 : « (…) Jamais les scientifiques progressistes ( ?), les scientifiques communistes ne donneront une parcelle de leur science pour faire la guerre contre l’Union Soviétique » et son refus permanent de participer à l’élaboration d’une bombe française.

De même qu’au début des années 1950 les «camarades» américains Ethel et Julius Rosenberg, furent très justement condamnés à mort et exécutés aux États-Unis pour espionnage au profit de l'Union soviétique marxiste à qui il avait donné les plans de la bombe thermonucléaire.
Les derniers doutes sur la culpabilité de ces immondes traîtres marxistes à leur pays ont été emportés par les récents aveux indiscutables, de Morton Sobell, aujourd'hui âgé de 91 ans, qui avait été jugé en même temps que les monstres communistes Rosenberg et avait purgé une peine de dix-huit ans de prison: après avoir obstinément nié, Sobell a reconnu,
dans une interview au New York Times, qu'il avait bien espionné pour l'URSS.
Dans le même journal, les frères Robert et Michael Rosenberg déclarent qu'ils n'ont aucune raison de mettre en doute les déclarations de Morton Sobell.
Ici

On savait bien sur tout cela à la lumière des nouveaux documents de l’époque aujourd’hui disponibles, tels les archives du FBI rendues publiques en 1975 et les archives du KGB que des historiens ont pu consulter de 1993 à 1996. D’autres documents sont utilisés comme les archives de la NSA et les livres de mémoires rédigés par plusieurs anciens espions soviétiques. Par exemple dans le livre qu’a coécrit avec Sergei Kostin et publié aux États-Unis en 2001 sous le titre The Man Behind the Rosenbergs, l’agent secret soviétique Alexandre Feklissov détaille comment Julius Rosenberg était au service de l’Union soviétique et avait transmis des documents secrets. Selon cet ancien formateur du KGB, Julius Rosenberg est recruté à l’occasion de la fête du travail de 1942, par l’ancien espion en chef du KGB Semyon Semyonov.
Voir aussi l'histoire édifiante de Vladimir Vetrov.
Mais tout viens à point à qui sait attendre! Enfin, la condamnation des crimes atroces du communisme commence et l’Holodomor le génocide ukrainien est enfin reconnu comme crime contre l’humanité. Ana Blandiana disait : «Quand la justice ne parvient pas à être une forme de mémoire, seule la mémoire peut être une forme de justice».
Saviez-vous que de  1917 à 1991 le système marxiste «pacifiste, humaniste et progressiste» a fait en URSS le total effarant de 61 911 000 morts plus de soixante millions de morts par démocide ! Après avoir été félicité par les écrivains Vadim Mikhaylovich Kozhevnikov (Héros du Travail socialiste pour ses contributions à la «littérature» marxiste et membre du Soviet suprême de l'Union soviétique)  et Ilya Grigorievitch Ehrenbourg, juif érèv rav converti à la religion séculière marxiste et par conséquent lui aussi fameux militant de la «paix», légèrement sanguinaire certes, mais bon, c’était à l’époque pour la «bonne» cause, la cause de la «paix» éternelle communiste, n’a-t-il pas écrit en affirmant que «les Allemands ne sont pas des êtres humains», un article qui appelait à les exterminer sans pitié : «Ne disons rien. Ne nous indignons pas. Tuons. Si tu n’as pas tué un Allemand par jour, ta journée est perdue… (…) Si tu ne peux pas tuer un Allemand avec une balle, tue-le à la baïonnette… Si tu as tué un Allemand, tues-en un autre (…) Tue l’Allemand ! C’est ce que te demande ta vieille mère. L’enfant t’implore : tue l’Allemand ! Tue l’Allemand ! C’est ce que réclame ta terre natale», c’était ça le pacifisme communiste: Tue, tue, tue. Aux dires très sujet à caution de ses biographes Ici Ehrenbourg fut membre de la direction du Conseil mondial de la paix «éternelle» des grands tueurs rouges et reçut à ce titre en 1952 le prix Lénine pour la paix ou prix Lénine international pour la «consolidation de la paix entre les peuples» : ça vous a un sale relent rougeâtre d’amitié entre les peuples reconnaissable entre mille comme celle d’un stalinien bretonneux des landes Mrapistofurieux (Synonyme de crétin des Alpes militant du MRAP)! Ce «prix» était la réponse de l'Union soviétique communiste au prix Nobel de la paix. C’était à l’origine le prix Staline pour la paix, rebaptisé Lénine en 1956 (Louis Aragon recevra le sien en 1956 après 30 ans de longs et nauséabonds services) lors de la déstalinisation, c’est donc le prix de la haine rouge du criminel contre l’humanité Staline que reçu le camarade Ehrenbourg. Récipiendaire des Prix Staline et Lénine, Ehrenbourg est un sommet dans la veulerie et l’hypocrisie! Cela fait penser à un avatar de Staline ou à un militant du MRAP antisémite qui distille de la haine des juifs. Le très socialiste Mouammar Kadhafi avait dans son pays musulman et islamomarxiste (dit aussi Socialisme islamique au sud de la Méditerranée, fait lui aussi un «prix Kadhafi» des Droits de l'Homme ! L’ancien «philosophe» officiel du PC dit F ancien député communiste et directeur du Centre d'études et de recherches marxistes, le camarade négationniste et antisémite condamné pour provocation à la haine raciale antisémite et converti à l’Islam le grand pacifiste ex député communiste et marxiste culturel converti à l’Islam Roger Garaudy, recevra le sien en 2002 ! Le cheikh salafiste saoudien Ibn Baz avait nommé le puant croupion pourri  Roger membre du Conseil supérieur international des mosquées. Cependant, en novembre 1996, Garaudy déclarera : «j'ai atterri dans l'islam sans me défaire de mes croyances personnelles ni de mes convictions intellectuelles (entendre marxistes culturelles) ». Ce qui a fait dire au cheikh que le communiste français était un «hypocrite» et un «impie originel» ; finalement les islamistes arabes ne sont pas si bêtes qu’il y parait !                                        Les violents cris de haine marxiste n’ont pas changé avec la campagne BDS en France initialisés par le MRAP (Qui distille de la haine des juifs), le Mouvement de fascistes rouges dit de la «Paix» communiste, le CCFD Terre solidaire Comité Catholique Contre la Faim et Pour le Développement annexe du PC-(F) et de ses stellites comme le MRAP, des syndicats rouges comme la CGT, des associations d’idiots utiles qui maîtrisent parfaitement aujourd’hui comme hier et bien moins que demain la haine antisémite, l'amnésie, le négationnisme, et surtout l'occultation, la diversion et la falsification historique.
Permettez-moi, amis une petite digression : Lorsque un courageux anonyme dit Mraplandes (
mrap40) webmestre du site du MRAP des Landes (Qui distille de la haine des juifs et un des pires égouts intellectuels du Web) appelle sur son site à mettre hors d’état de nuire (Menaces d’élimination physique) Michel Labet de Bornay, votre serviteur, historien et très célèbre blogueur et écrivain libertarien Article du MRAP Landes qui donne le lien ou Michel Labet est Qualifié ici de "raciste" (Copie d’écran faite) sans oublier bien sur ses blogs jugés eux aussi «racistes» comme Ici ou « l’antiracisme » sert à ce que comme dans l’ancienne URSS marxiste stalinienne ou on l’appelait la répression des phénomènes négatifs, à l’élimination des opposants au marxisme culturel. On a bien l’impression que le «monsieur» ou devrais-je dire «camarade» du MRAP des Landes ou monsieur MRAP40 un grand, très grand pacifiste devant saint Joseph (Staline bien sûr) regrette très fortement l’ex URSS et les Goulags dont on ne revient pas, les asiles psychiatriques et la Loubianka quartier général des services secrets soviétiques, toujours associé aux exécutions sommaires, aux violences et aux tortures de la Tchéka, Guépéou, NKVD, KGB et FSB! Le philosophe Alain Finkielkraut a dit : «l’idée généreuse de guerre contre le racisme se transforme petit à petit monstrueusement en une idéologie mensongère. L’antiracisme sera au vingt et unième siècle ce qu’a été le communisme au vingtième. »  Voir ici le livre sur Internet "La question" au sujet du MRAP. Je ne résiste pas à l’envie d’y mettre en exergue la phrase inoubliable du communiqué publié par le grand écrivain Alberto Memmi, lors de sa démission du Comité de Parrainage du MRAP : «Il serait désastreux, et peut-être criminel, que l’antiracisme serve d’alibi à autre chose qu’à la lutte contre le racisme». Et bien messieurs, ça y est, l’antiracisme est devenu au XXIème siècle avec l’humanisme du mouvement de la paix à la sauce rouge du pur marxisme culturel, le plus crasseux, le plus nidoreux, le plus raciste et antisémite qui soit ! CQFD !
Il est évident que les marxistes culturels d’aujourd’hui et notamment les Mrapistofurieux (militants du MRAP) se sont toujours fait l’écho d’une puissante indignation morale contre les prétendus «méfaits» du «capitalisme » et du «colonialisme» dans tous leurs textes, depuis Le Capital de Marx jusqu’au moindre tract du PC dit F, du MRAP, du NPA, des Indigènes de la Raie Publique ou du Front FION de Gauche actuel devenu Les Insoumis. Leur indignation n’est qu’un artifice de style, un procédé de manipulation cynique, car les marxistes n’ont jamais eu un brin de morale, ce ne sont que des «amoralistes».
Nos «amoralistes» marxistes culturels ont depuis toujours un double discours.
D’un côté, ils considèrent avoir le droit de donner des leçons de morale à leurs propres militants, à ceux des autres organisations révolutionnaires, aux prétendues «classes» dominantes et à leurs représentants aux opposant à leurs thèses nauséabondes et criminelles, mais aussi de dénoncer, d’un point de vue moral, les actes jugés ignobles, racistes, fascistes etc. etc. de la classe dite dominante et les sociales démocraties leur en offrent tous les jours l’occasion.
De l’autre, ils sont dans un état permanent de toute-puissance («Je» détiens la vérité (attention là la vérité de ces gens-là est
constructiviste), je «lutte» pour la libération de l’humanité, «moi seul» peux empêcher la généralisation de la barbarie dite capitaliste, voire la disparition de l’espèce humaine et donc mon sacrifice pour cette cause me rend inattaquable et intouchable»). Discours marxiste culturel typique, digne d’un militant du Front Fion de Gauche Insoumis, du NPA (Nouveau Parti Antisémite) ou d’un membre de la magnifique direction «collégiale» du politburo du MRAP, si ce n’est de monsieur MRAP40 le gai stalinien retraité de l’éducation nationale. Lorsqu’on les critique sur tel ou tel point (des mœurs peu démocratiques des organisations marxistes à la répression de Cronstadt, par exemple) ces amoralistes reprennent en fait à leur compte la morale des jésuites «La fin justifie les moyens », entendez par là :
Il faudrait se défendre (enfin les prolos, (très dur à trouver de nos jours) ou les immigrés aujourd’hui) contre les méthodes barbares et sanguinaires des «possédants» et la non-violence est inefficace (voilà c’est dit !).
C’est faire peu de cas de la non-violence de
Gandhi popularisée dès 1921, du marxiste culturel Martin Luther King pour la lutte des Noirs américains contre la ségrégation (Martin Luther King qui disait : «La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l’homme qui la manie. C’est une épée qui guérit») ou celle de Lech Walesa et Václav Havel contre les gouvernements communistes immondes.
Les marxistes culturels font généralement remarquer que l’usage de la violence n’est pas toujours condamné par les thuriféraires du Grand Capital (Comme Diau, le Capital est toujours grand) puisque la «bourgeoisie» ferait souvent l’éloge de la violence guerrière, par exemple celle des attentats des résistants français (certains communistes) contre les soldats allemands désarmés, voire les bombardements terroristes contre les populations civiles (de Dresde à Hiroshima en passant par les bombardements en Irak), pudiquement baptisés «dommages collatéraux».
Tous les moyens seraient donc permis dans le cadre d’un mouvement de «masse», ou en tout cas avec la bénédiction de la direction du Parti Communiste ou du groupuscule d’extrême gauche qui détient forcément la Vérité avec un grand V (Le V de vérité est lui aussi comme Dieu : toujours Grand !). Dans ces moyens permis une savante confusion est entretenue entre la violence soi-disant «défensive» (par exemple, une pseudo autodéfense armée de grévistes contre les forces de l’ordre, ou d’un service d’ordre de manifestants gauchiottes antifa contre des fantasmés « fachos »… ou des islamistes) et la «guerre» dite impérialiste. Confusion entre guerre civile, guerre de libération «nationale» et terrorisme contre des civils innocents ou prise d’otages.
C’est ainsi par exemple que les innocentes victimes du nauséabond terrorisme d’extrême gauche des années 70 comme les ordures Allemands  de la Fraction armée rouge ou Bande à Baader et les Francaouis bolchos d’Action Directe avec
Jean-Marc Rouillan condamné en 1989 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de dix-huit ans, pour complicité d'assassinat humaniste et pacifiste de l'ingénieur général de l'armement René Audran en 1985 et du PDG de Renault Georges Besse en 1986 sont présentées comme de simples «accidents de travail» survenus à des représentants du «grand Capital». Les Viscères polychromes de la peste rouge collectiviste s’étalaient enfin à la face de la France !
En 1921, alors que le bolchévisme est sans conteste vainqueur et que les principes du communisme de guerre ne semblent plus se justifier, Saint Vladimir Ilitch Lénine n’hésite pas à écrire : «C’est une très grande erreur de penser que la NEP a mis fin à la terreur. Nous allons encore recourir à la terreur et à la terreur économique».
En 1938 Lev (Signifie «lion» en russe, fonctionnant comme une forme vernaculaire de Leo) Davidovitch Bronstein dit Léon Trotsky juif Erev Rav dans : Extrait de Leur morale et la nôtre écrira : «Le terrorisme individuel est-il ou non admissible du point de vue de la  morale pure ?» (…) «Sous cette forme abstraite, la question est pour nous tout à fait vaine. Les bourgeois conservateurs suisses décernent encore des éloges officiels au terroriste Guillaume Tell. Nos sympathies vont sans réserve aux terroristes irlandais, russes, polonais, hindous, combattant un joug politique et national». Encore une fois CQFD la paix marxiste ou marxiste culturelle est la Paix éternelle des cimetières !
Bon d’accord me direz-vous mais le marxisme est mort avec le communisme. Que nenni mon «zami», c’est une erreur que les patriotes Français et bien d’autres occidentaux commettent souvent : croire que le marxisme est tombé avec le Mur de Berlin et le Bloc de l’Est. Rien n’est plus faux, aujourd’hui le marxisme culturel alimente l’esprit public comme jamais. Il ne fait simplement plus usage des slogans de la propagande habituels tels que «Lutte de classes» ou «Dictature du prolétariat» qui ne trompe plus personne.                                                                                             Cette propagande est devenue aujourd’hui la propagande marxiste culturelle, forme de marxisme et véritable arme de guerre véhiculée maintenant de la gauche à la droite pour détruire la culture occidentale et pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu formulé par l'école de Francfort, Herbert Marcuse et surtout Antonio Gramsci avec sa conception de l'hégémonie culturelle comme moyen du maintien de l'État dans une société capitaliste. (Notons que souvent la «propagande» politique au XXe siècle ne semble pas être née dans les régimes dits totalitaires c’est-à-dire marxistes ou communistes, mais au coeur même de la démocratie libérale américaine et cela pour un raison simple c’est que la mise en place du marxisme culturel et de sa propagande n’était pas quelque chose de visible, les MC du Komintern puis de l’école de Francfort cachaient leurs idées et leurs buts sous un tas de dénominations inexactes comme me sociologie, sciences sociales et même psychanalyse. Qui sait aujourd’hui qu’Edward Bernays né en 1891 à Vienne et mort en 1995 à Boston. A consacré sa vie consacrée à l’une des tâches majeures de notre siècle : celle qui consista à pervertir les démocraties occidentales pour faire plier les volontés des masses aux desseins des élites, en toute non-violence. Edward Bernays était le neveu de Sigmund Freud membre éminent de l’école de Francfort à l’origine après Lénine, Lukàcs et Münzenberg des théories marxistes culturelles qui a su exploiter les «avancées» (souvent volées aux autres comme le Français Charcot) apportées par son oncle, ainsi que le rayonnement «scientifique» de ce dernier dans le domaine de la connaissance de l’irrationalité, à des fins économiques idéologiques et politiques marxistes culturelles.  Sa discrétion dans notre paysage «culturel» actuel est inversement proportionnelle à l’ampleur de sa tâche. Même dans les agences de pub ou dans les services de relations publiques notamment politiques, son nom est presque inconnu, tout du moins en France. Il faut dire qu’il était un fervent partisan d’une «gouvernance de l’ombre» (tout à fait marxiste culturelle) et ses écrits ne tarissent pas sur ce sujet. «Créer du besoin, du désir et créer du dégoût pour tout ce qui est vieux et démodé» fut un de ses leitmotiv. «Fabriquer du consentement», «cristalliser les opinions publiques» furent les titres de 2 de ses œuvres écrites (une quinzaine en tout). «Dompter cette grande bête hagarde qui s’appelle le peuple ; qui ne veut ni ne peut se mêler des affaires publiques et à laquelle il faut fournir une illusion» en furent d’autres du pur marxisme culturel dans le texte ! Bernays est considéré à ce jour comme l’un des pères de l’industrie des relations publiques et comme le père de ce que les Américains nomment le «spin», c’est-à-dire la manipulation - des nouvelles, des médias, de l’opinion - ainsi que la pratique systématique et à large échelle de l’interprétation et de la présentation partisane des faits.
Noam Chomsky lui-même recommandait chaudement la lecture du «manuel classique de l'industrie des relations publiques», car Bernays y assumait pleinement ce constat : les choix des masses étant déterminants, ceux qui viendront à les influencer détiendront réellement le pouvoir.
Le titre de son livre le plus célèbre ? «Propaganda comment manipuler l'opinion en démocratie». Tout un programme. Toute une idéologie MC (marxiste culturelle) qui va d’abord être accueillie avec un certain scepticisme par les oligarques et les politiques classiques, puis utilisée par les «intellectuels» marxistes notamment Gramsci pour l’édification du politiquement correct ou marxisme culturel, dès les premiers succès, et ce jusqu’à notre époque contemporaine qui en verra le plein succès.
À l’heure où les débats pro et anti «conspiration» font rage sur les événements majeurs de notre période contemporaine, une petite mise au point historique sur la naissance et l’évolution de ce que j’appelle le marxisme culturel et ce que nous appelons en France les «relations publiques» ou encore la «com» ne peut pas faire de mal. Pour aller plus loin voir aussi Communication d'influence et Influence  sociale. Souvent qualifiés de courants «post-marxistes», avec le féminisme Ici  et l'écologie, le pacifisme qui selon une acceptation courante est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix peut être qualifié aujourd’hui de pur «marxisme culturel». La vision du pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est curieusement beaucoup plus répandue et c’est sur cela que jouent les marxistes culturels ; la confusion. Le «pacifisme» à ne pas confondre avec la  non-violence a toujours trouvé un grand écho dans la réflexion et l’action marxiste communiste depuis ses origines. Les socialistes d'avant 1914  (des marxistes) durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales, le mouvement Amsterdam Pleyel dans les années 1930 préfiguraient le mouvement pacifiste communiste d’après-guerre. Les «militants» de la paix d’aujourd’hui professent un pacifisme qui n'est jamais assimilable à la non-violence et puis la paix est une chose trop sérieuse pour être laissée aux pacifistes, et encore moins aux gens de «gauche».                                                Au sein de la gauche socialiste l'idée du XIXe siècle selon laquelle la guerre est un moyen inventé par les capitalistes pour diviser le monde ouvrier perdure; à ces idées internationalistes anciennes et obsolètes assimilant capitalisme et bellicisme, se greffe une thèse du criminel contre l’humanité Lénine, qui développe le concept d'impérialisme, export de la guerre comme seule solution d'expansion du capitalisme. Au-delà de ce pseudo pacifisme inconditionnel, le marxisme-léninisme forge les notions de «bonne guerre» ou «mauvaise guerre», à la façon des théologiens distinguant guerre juste ou injuste. Les bonnes guerres sont alors celles faites par le peuple, les guerres qualifiées de «patriotiques», de pseudo «libération», ou visant à renverser le capitalisme qui lui est à l'origine des «mauvaises guerres».                                  À partir de 1936, la même distinction apparaît à droite, «un peu par sympathie pour les régimes autoritaires, (Premiers dégâts du marxisme culturel) beaucoup par crainte d'être précipité dans une guerre par la gauche, pour des motifs idéologiques». Les attributs des bonnes ou mauvaises guerres sont inversées : pour une grande partie de la gauche, seraient bonnes les guerres menées au nom d'idées telles que liberté, affranchissement ou lutte contre les guerres d'intérêt menées par les soi-disant capitalistes. (Attention un patriote Français de souche même de condition modeste est toujours assimilé par ses gens-là à un «capitaliste» si ce n’est un «facho» sans oublier un «raciste» !) Il est inquiétant pour l’avenir de notre pays que des idéologies criminelles contre l’humanité de type marxistes puissent encore sévir au 21ème siècle !                        
A suivre

Note 9 ? Une perle rare de l’ethnographie politique ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement marxiste culturel des hommes politiques d’aujourd’hui. Note 9 le livre qui déchire à donf !
Michel Alain Labet de Bornay.

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