Désirs.
Vous savez ce que j’aimerais ? C’est qu’une de ces
vieilles crevures marxistes culturelles des merdias par exemple nous fasse son
mea culpa et qu’enfin il dise : «Je
vais crever et je l’avoue je me suis planté toute ma vie. J’ai soutenu Staline,
Mao, Pol Pot, Chavez, Mugabe, Mandela et Mengistu. Dès qu’un régime de merde,
sanglant, raciste, corrompu et exotique brandissait le drapeau rouge, j’ai fait
des claquettes avec ma langue de bois. J’ai lu le Monde et Libération et même
écrit dans le Figaro, cru à l’ Afrique du Sud de Mandela au Zimbabwe de comrade Bob et au Kampuchea
Démocratique, j’ai gueulé des conneries plus grosses que moi avec Krivine, Kohn
Bendit, Besancenot et Mélanchon, j’ai été abonné au Inrocks et à Médiapart,
j’ai défendu Carlos et Boudarel et les pires saletés marxistes culturelles des
deux dernières générations , j’ai voté Mitterrand et j’ai milité à Sos Racisme
avec mes potes Dray et Désir , je suis parti à Marrakech sur les traces de
Frédéric et j’ai bandé pour DSK, j’ai cru à la société multiculturelle, j’ai
chié sur le Pape parce que c’était pas dangereux et j’ai écrasé ma grande
gueule sur les autres religions, j’ai branlé du rabbin, pompé du mollah,
astiqué de l’imam parce que je suis un lâche et un gros naze, j’ai affirmé
qu’il n’ y avait aucun lien entre le sentiment d’une insécurité qui n’existe
pas et une immigration pas plus importante que dans les années trente. Oui,
j’ai tout faux depuis tout p’tit, c’est ma nature. Je hais les pauvres, les
riches et les classes moyennes, les blancs, les français de souche, mes parents,
les gens de ma tribu, et si je suis de gauche, à fond à fond c’est parce que
j’ai honte de mes origines et que j’aurais voulu être une femme noire naine et lesbienne.
Je n’ai rien vu venir, ni la crise économique, ni la décadence morale, intellectuelle,
sécuritaire, sanitaire, ni l’implosion du Pays, rien. Je suis bouché les
oreilles et ouvert le trou du cul pour me faire mettre à sec avec du sable,
j’étais con comme une valise du FLN, je suis de tous les combats foireux, de
toutes les vastes gourances, de toutes les hypocrisies, je suis un concentré de
toute la mauvaise foi du monde , de l’indignation à géométrie variable, du
mensonge sélectif, de la répression des opinions qui me déplaisent, j’ai été un
chantre des assassinats collectifs et des totalitarismes déments surtouts des
marxistes au 150 millions de victimes . Et je n’ai rien appris : trouvez-moi
une utopie à la con et je recommence , non je ne veux rien savoir , je vous ai
mis dans la merde jusqu'au cou , mais parce que je suis de gôôôôôche je ne peux
pas me renier même si vous en crevez …». Oui bon, faut pas rêver comme
disait Brassens quand on est con on est con !
Et voilà comment on revient à Youri
Aleksandrovitch Bezmenov aussi connu sous le nom de Tomas
David Schuman né en 1939 à Moscou, fils d’un officier de haut rang de l’armée
soviétique, passé à l’Ouest en 1970, au péril de sa vie, après avoir été
totalement dégouté du système soviétique communiste qui a vendu la mèche lors d'une interview en 1985
qui est dans le lien présentée pour la première fois sous-titrée en français,
cette interview, bien que datant de 1985, est d’une rare actualité. Yuri Bezmenov,
ex-agent du KGB y dévoile par le menu les arcanes du marxisme culturel et ses
techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi
comment le bloc socialo-communiste a sciemment mis en œuvre une politique
globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial. Comment il
a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur
au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de
l’activité du KGB. Comment le KGB a systématiquement recruté tous les «intellectuels» faiseurs d’opinion à
l’ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste comme avec la
tragédie de Katyn.
Depuis les années 1920 au contraire du marxisme économique en situation d’échec
permanent ne permettant pas un soulèvement des «masses» ou du prolétariat, les communistes y ont substitué le «marxisme culturel» par la subversion
des «intellectuels». Le marxisme
culturel consiste à mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de
mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas
soi-même, dans le but de saborder les sociétés occidentales. Le KGB et ses
sbires avec l’aide des membres de la section MC du Komintern dirigée par
Münzenberg et Otto Katz puis par les membres de l’école de Francfort ont
conditionné et «démoralisé» (perte
des valeurs traditionnelles occidentales) des pans entiers de la société, ces
intellectuels, journalistes, hommes politiques de tous bord, écrivains,
cinéastes sont devenus les «idiots
utiles» du socialisme. Cet entretien permet bien de comprendre pourquoi, en
2017, nous devons encore composer avec une gauche lunaire dite en Marche, une «droite» inexistante, un Président et un
gouvernement nettement marxiste culturel et pourquoi autant d’intellocrates, de
journalopes médiacrasseux, de profs formatés continuent de saper des
générations d’écoliers, collégiens, étudiants etc… et pourquoi la lutte contre
le socialisme marxiste et le marxisme culturel, bien que voué à l’échec et malgré
toutes les preuves de sa nocivité, est toujours à l’ordre du jour ne serais ce
que pour ne pas mourir idiot.
Yuri Bezmenov est certainement l’un des plus grands
experts mondiaux, en matière de propagande marxiste culturelle, de
désinformation et de manipulation. Madame Bella V. Dodd
rejoignait l'analyse de Bezmenov dans
les années 1960 aux USA, accusant le parti communiste de prôner la confusion, le
chaos, la dépravation, la perversion, la guerre de tous contre tous: hommes
contre femmes, parents contre enfants, noirs contre blancs etc. etc.,
Yuri Bezmenov issu des meilleures écoles de l’élite du
système communiste soviétique est devenu un expert de la culture et des langues
de l’Inde puis il a fait une carrière exceptionnelle au sein de Novosti, qui
était, l’agence de presse du régime soviétique et servait de paravent pour le
KGB.
La totalité de l’interview de Bezmenov de 1985 est
retranscrite traduite en Français ci-après : «La subversion idéologique, c’est un processus qui n’a rien d’illégal
ou de caché. C’est une action menée au grand jour. Il suffit de s’en rendre
compte, de se déboucher les oreilles, d’ouvrir les yeux, et cela devient
évident (L’autre évidence c’est que s’écroulent les thèses absurdes de
théorie du complot d’extrême droite d’un Jérome Jamin ou des trotskistes de la
LCR) Il n’y aucun mystère. Cela n’a rien
à voir avec l’espionnage. Je sais que travailler dans le renseignement, cela
fait plus romantique, c’est plus vendeur auprès du public. C’est sûrement pour
ça que les producteurs d’Hollywood aiment tant les films du genre James Bond. Mais
en réalité, l’action principale du KGB n’est pas du tout de faire du
renseignement. Selon moi, et selon l’avis de beaucoup de transfuges qui ont le
même profil que moi, seuls 15% du temps, de l’argent et des effectifs sont
consacrés à l’espionnage en tant que tel. Les 85% restants sont consacrés à un
à processus très lent, que l’on appelle soit « subversion idéologique » ou
manipulation de l’opinion, – «xxxxxxxxxx» dans le langage du KGB – ou «guerre
psychologique». Cela signifie essentiellement: changer la perception de la
réalité de tous les américains, au point que malgré la profusion d’information,
plus personne n’est plus capable de tenir un raisonnement correct afin de
défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son
pays. (C’est bien sûr valable pour tout l’occident). C’est un processus de lavage de cerveau généralisé, qui va très lentement,
et qui comprend quatre phases. La première phase est celle de la
«démoralisation» (Il faut entendre par dé-moralisation la perte de la
morale, des valeurs fondatrices de la civilisation occidentale
grecquo-latino-judéo- chrétienne). Cela
prend entre 15 et 20 ans pour «démoraliser» un pays (si l’on considère que
Münzenberg a mis en place le processus
marxiste culturel de lavage de cerveau généralisé dans les années 1920, c’était
chose faite pour la France dès la fin de la guerre en 1945). Pourquoi tant d’années ? Parce que c’est le
nombre d’années minimum requis pour éduquer une génération d’étudiants du pays
visé, pour l’exposer à l’idéologie adverse. En d’autres termes, l’idéologie
marxiste-léniniste est actuellement injectée dans les esprits malléables d’au
moins trois générations de jeunes américains, sans rencontrer de résistance,
sans être contrebalancée par les valeurs de base de l’Amérique ou par un
patriotisme américain (En France le marxisme culturel, une création
marxiste-léniniste est injectée depuis plus de trois générations et est au
pouvoir). L’essentiel de l’activité du
département était de compiler d’énormes quantités d’informations sur des
personnes qui étaient ensuite instrumentalisées pour influencer l’opinion
publique, éditeurs, écrivains, journalistes, acteurs, éducateurs, professeurs
de sciences politiques, députés, hommes d’affaires… (Je sais, je sais,
maintenant vous vous dites ; ça y est Labet de Bornay le vieux réac «d'extrême droite», (les réacs (avec le
bras tendu et le verre de bière allah main) sont toujours d’extrême droite,
même si vous êtes libertarien, notion politique inconnue au bataillon des
universités Françaises et des marxistes culturels ou intellectuels de
pissotières), ce fafounesquelibertaré ( quel joli nom !) et monomaniaque ( Les
deux mon général) va encore nous faire la leçon et enfoncer bien profond les
clous de son anticommunisme primaire et viscéral (ne jamais oublier viscéral,
ça pose le progressiste) et nous regonfler avec son marxisme culturel inhérent
à la république Française. Mais alors là, non de D…, non de non ! Il faut être
clair, nom d’un petit bonhomme, mon combat n’est pas un combat «contre» le communisme. Ce qu'il faut
combattre n'est pas le communisme en soit, mais la traduction politique de
cette idéologie mortifère. Par exemple, il ne m'intéresse pas de savoir si le
communisme est plus «vrai» que le
capitalisme. Ce débat est aussi stérile que l'étaient autrefois les «disputations» et controverses entre
théologiens juifs, musulmans et catholiques, savoir si Érasme avait raison avec
son «de libero arbitrio» au dépend de
Luther avec «de prédestinatio».
Personne n'a jamais convaincu l'autre. Le communisme est un idéal. Que les
communistes s'organisent dans leurs communes et phalanstères, qu'ils affichent
leur bonheur d'y vivre, et ils seront en principe rejoints par des milliers de
gens. Mais bon, rien n’est moins sûr, pensez aux monastères vides, aux kibboutz
tout aussi vides et a toutes les «expériences»
collectivistes qui ne furent toujours que des échecs. Willi Münzenberg chef
du Komintern et de la section propagande du KGB grand architecte de la
désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne
pourrait jamais s’implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n’était
au préalable radicalement transformée, avait défini l’objectif et donné le mode
d’emploi du marxisme
culturel: «Organiser les
intellectuels et se servir d’eux pour pourrir la Civilisation Occidentale
jusqu’à ce qu’elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent
été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre
Dictature du Prolétariat»).
Yuri Bezmenov continue : «La plupart de ces gens étaient divisés en deux groupes:
•
Ceux qui soutenaient la politique du régime soviétique étaient promus à des
postes de pouvoir grâce à la manipulation de l’opinion et des médias.
•
Ceux qui refusaient l’influence du communisme dans leur pays, leur réputation
était ruinée ou ils étaient exécutés. Physiquement. Révolution oblige.
Ainsi,
dans une petite ville du Sud-Vietnam, plusieurs milliers de Vietnamiens ont été
exécutés en une seule nuit, après que la ville ait été prise par les Viêt-Cong,
au bout de seulement deux jours. Et la C.I.A n’a jamais compris comment les
communistes avaient pu aller si vite, pour repérer chacun d’entre eux,
connaître leurs domiciles, là où les trouver, les arrêter, tout cela en une
seule nuit, en à peine quelques heures, avant le lever du jour, et les
embarquer dans des camions, les conduire hors de la ville et les exécuter. La
réponse est très simple: bien avant que les communistes occupent la ville, il
existait un réseau complet d’informateurs, des vietnamiens habitant la région,
qui savaient absolument tous des personnes en mesure d’influencer l’opinion
publique, jusqu’aux simples barbiers ou aux chauffeurs de taxi. Tous ceux qui
étaient favorables aux Etats-Unis ont été exécutés. Même chose à Hanoï
[Vietnam], pilotée par l’ambassade soviétique. Et je faisais la même chose à
New-Dehli. A ma grande horreur, j’ai découvert, dans les dossiers des personnes
qui allaient être exécutées, le nom de journalistes prosoviétiques qui étaient
mes amis personnels.
- Prosoviétiques !...?...
Oui,
absolument ! Ils défendaient un idéal communiste, ils avaient fait plusieurs
voyages en URSS, et pourtant le KGB avait décidé que, révolution oblige, pour
mener à bien les changements politiques drastiques de l’Inde, qu’il fallait les
éliminer.
- Pourquoi cela ?...
Parce
qu’ils en savaient trop. Simplement parce que les idiots utiles, les gens de
gauche qui sont idéalistes, qui croient en la beauté du système soviétique,
communiste, socialiste … quand ils ouvrent les yeux sur la réalité, ils
deviennent les pires ennemis du système. C’est pourquoi mes instructeurs, au
KGB, insistaient tout particulièrement sur ce point : «Ne vous préoccupez
jamais des gauchistes», «Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut». Telles
étaient mes instructions. Essayez de pénétrer les médias conservateurs bien
établis, essayez d’atteindre les producteurs de films riches à millions, les
intellectuels, les milieux soi-disant académiques, entrez en contact avec les
cyniques, les égocentriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous
regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter: ceux qui
n’avaient plus aucuns principes moraux, les gens avides de pouvoir, ceux qui se
prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants. Voilà les profils
que le KGB cherchait à «recruter».
– Mais pour éliminer les autres, ne sont-ils pas
utiles?
«Non,
ils ne sont utiles que dans la phase de déstabilisation du pays. Par exemple,
tous les gens de gauche ici, tous ces professeurs et ces magnifiques défenseurs
des droits à l’égalité, sont instrumentalisés dans ce processus de subversion,
et ce uniquement pour déstabiliser le pays. Quand cette étape sera achevée, ils
ne seront plus nécessaires. Ils en savent trop. Quand leurs illusions
tomberont, une fois un pouvoir marxiste en place, ils seront bien évidemment
scandalisés, car ils s’imaginent que ce sont eux qui vont prendre le pouvoir.
Cela n’arrivera jamais bien sûr. Ils seront alignés contre un mur et exécutés.
Ils seraient les adversaires les plus acharnés d’un régime marxiste-léniniste.
Ce qui s’est passé au Nicaragua, vous vous souvenez quand la plupart des
anciens communistes ont été jetés en prison, ou quand l’un d’entre eux a changé
de camp pour s’opposer aux sandinistes. C’est aussi arrivé à Grenade, quand
Maurice Bishop, du parti marxiste, a été exécuté par un autre, «plus marxiste»
que lui. Même chose en Afghanistan quand Taraki a été assassiné par Amin,
lui-même assassiné par Karmal avec l’aide du KGB. Même chose au Bangladesh,
avec Mujibur Rahman, un leader de gauche très prosoviétique, assassiné par ses
propres amis communistes de l’armée.
Le mécanisme se répète
chaque fois à l’identique. Une fois qu’ils ont servi, les idiots utiles sont
soit exécutés jusqu’au dernier – je parle des idéalistes marxistes – ou exilés,
ou jetés en prison, comme à Cuba ou beaucoup d’anciens marxistes sont en
prison. Fondamentalement, l’Amérique est coincée par cette «démoralisation». Si
vous commenciez maintenant, à la minute même, à former une nouvelle génération
d’américains, cela prendra quand même de 15 à 20 ans pour inverser la tendance,
pour inverser cette perception idéologique de la réalité, et revenir à la
normale et aux idées patriotiques. Le résultat? Vous pouvez observer le
résultat. La plupart de ceux qui ont fait leurs études dans les années 60, de
ceux qui ont quitté l’école et la plupart des pseudo-intellectuels, occupent à
l’heure actuelle des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration,
dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif (En
France c’est exactement pareil). Vous
êtes coincés avec eux. Vous ne pouvez plus vous en débarrasser. Ils sont
contaminés. Ils sont programmés pour penser et réagir à certains stimuli d’une
façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous
leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que
blanc c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur
perception de base et leur logique de comportement. En d’autres termes, chez
ces gens, le processus de «démoralisation» est total et irréversible leur
conversion à la religion séculière marxiste culturelle est irréversible. Pour
débarrasser la société de ces personnes, il faut de nouveau attendre 15 à 20
ans, pour éduquer une nouvelle génération d’étudiants, leur inculquer des
idéaux patriotiques et en faire des gens de bon sens, qui agissent dans
l’intérêt de la société américaine (ou Française et Européenne).
– Et ces personnes qui ont été «programmées» et qui sont en place, favorables aux idéaux
communistes, ce sont ces mêmes personnes qui seraient vouées à être massacrées
dans un tel système.
«La
plupart d’entre eux, oui. Simplement parce que, avec le choc psychologique
qu’ils éprouveraient en découvrant ce qu’est VRAIMENT leur magnifique société
«d’égalité et de justice», (Note: dire humaniste, démocratique,
pacifiste et tolérante) se révolteraient,
c’est bien évident. Ils seraient extrêmement mécontents, frustrés. Et un régime
marxiste-léniniste ne peut tolérer ce genre de personnes, ils rejoindraient à
coup sûr le camp des dissidents et des opposants. Et à la différence des Etats-Unis
actuels, il n’y a pas de place pour les dissidents dans un régime
marxiste-léniniste. Ici, vous pouvez devenir très célèbre, comme Daniel
Ellsberg, ou démesurément riche comme Jane Fonda, en répandant des opinions
«dissidentes» ou en critiquant la politique du Pentagone. (Note :
Ainsi, le lavage de cerveaux des marxistes culturels commencé avant la guerre a
pris de l’ampleur dès les années 50. Les théories marxistes culturelles ont été
injectées depuis 1945 dans les esprits malléables sans rencontrer de
résistance, sans être contrebalancée par les fondamentaux de la république
démocratique française. Ajoutez à cela la défection dans les années qui ont
suivi des parents absents qui ne remplissent plus leur rôle éducatif, la mode
des familles éclatées qui peinent à remplir leur rôle éducatif, et les enfants
n'ont plus comme référence que l'enseignement tendancieux qu'ils reçoivent à
l'"école de la république".... Et c’est la catastrophe ! L’école
publique a décervelé pas moins de 3 générations. Aujourd’hui, les plus vieux
des intoxiqués ont aujourd’hui entre 55 et 65 ans (comme Macron, Hollande et
d'autres... au centre et même à droite si ce n’est à l’extrême droite !)… Et
les plus jeunes sont nos enfants ! Nos chères têtes blondes seront
définitivement contaminées si nous laissons les profs gauchistes
leur enseigner l’Histoire réécrite «à la
mode Filippetti», si nous laissons ces enseignants leur interdire tout
esprit critique et dénigrer le patriotisme.
Entre ces deux générations, toute une palanquée de responsables de gauche, profs, journalistes, éditeurs, écrivains, acteurs, chanteurs, éducateurs, enseignants, profs de sciences politiques, de l’ENA (avec cette promo Voltaire qui tient la France en otage), responsables associatifs, hommes et femmes d’affaires… parfois même, prêtres !...L'étalonnage du degré d'intoxication sur les journalistes est parfait. Presque tous de gauche en complète contradiction avec leur charte déontologique! En juin 1984, la France d’ordinaire invisible et silencieuse descend massivement dans la rue pour défendre l’école libre menacée d’intégrer le «grand service public unifié et laïc de l'éducation nationale», ce creuset gauchiste voulu par Mitterrand. Grâce à la détermination de millions de Français, les écoles privées demeurent un des derniers remparts contre la dilapidation de notre civilisation. Outre la qualité de leur enseignement, elles préservent une ébauche de civisme, de patriotisme, de discipline et de respect mutuel, ainsi que les religions chrétiennes et juives qui inculquent des valeurs universelles). Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement « pfft », écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un choc terrible pour eux. Aux Etats-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances: la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès. Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxiste] n’a plus aucune importance. Une personne «démoralisée» n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus. (Note : Par personne démoralisée comprendre une personne convertie à la religion séculière marxiste culturelle) Même si je la bombardais de photos authentiques, de documents, d’informations, de preuves, même si je l’emmenai de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’elle reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra, qu’alors elle comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation. L’étape suivante est la déstabilisation. Dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus. Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux: économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans les domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite. L’étape suivante est l’insurrection. Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement. (1985) Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce qu’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment. La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré: «Maintenant la situation en Tchécoslovaquie est normalisée». Et c’est ce qui arrivera aux Etats-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le «paradis sur Terre», si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement «Big-Brother» à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que vous voulez, peu importe que ces promesses soient tenues ou non. Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes. Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation. Mais la situation n’est pas sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle. La plupart des politiciens américains, la plupart des médias et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix. C’est faux! Les Etats-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sûr, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse – ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur… Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet. A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre – à moins que l’Amérique ne se réveille – avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier, à moins d’aller en Antarctique avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.
Entre ces deux générations, toute une palanquée de responsables de gauche, profs, journalistes, éditeurs, écrivains, acteurs, chanteurs, éducateurs, enseignants, profs de sciences politiques, de l’ENA (avec cette promo Voltaire qui tient la France en otage), responsables associatifs, hommes et femmes d’affaires… parfois même, prêtres !...L'étalonnage du degré d'intoxication sur les journalistes est parfait. Presque tous de gauche en complète contradiction avec leur charte déontologique! En juin 1984, la France d’ordinaire invisible et silencieuse descend massivement dans la rue pour défendre l’école libre menacée d’intégrer le «grand service public unifié et laïc de l'éducation nationale», ce creuset gauchiste voulu par Mitterrand. Grâce à la détermination de millions de Français, les écoles privées demeurent un des derniers remparts contre la dilapidation de notre civilisation. Outre la qualité de leur enseignement, elles préservent une ébauche de civisme, de patriotisme, de discipline et de respect mutuel, ainsi que les religions chrétiennes et juives qui inculquent des valeurs universelles). Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement « pfft », écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un choc terrible pour eux. Aux Etats-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances: la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès. Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxiste] n’a plus aucune importance. Une personne «démoralisée» n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus. (Note : Par personne démoralisée comprendre une personne convertie à la religion séculière marxiste culturelle) Même si je la bombardais de photos authentiques, de documents, d’informations, de preuves, même si je l’emmenai de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’elle reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra, qu’alors elle comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation. L’étape suivante est la déstabilisation. Dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus. Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux: économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans les domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite. L’étape suivante est l’insurrection. Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement. (1985) Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce qu’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment. La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré: «Maintenant la situation en Tchécoslovaquie est normalisée». Et c’est ce qui arrivera aux Etats-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le «paradis sur Terre», si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement «Big-Brother» à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que vous voulez, peu importe que ces promesses soient tenues ou non. Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes. Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation. Mais la situation n’est pas sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle. La plupart des politiciens américains, la plupart des médias et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix. C’est faux! Les Etats-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sûr, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse – ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur… Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet. A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre – à moins que l’Amérique ne se réveille – avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier, à moins d’aller en Antarctique avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.
– Et que faire alors? Que recommandez-vous aux
Américains?
La
première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il faut un effort national de
grande ampleur pour éduquer les gens dans le sens des valeurs patriotiques, et
ensuite, expliquer le réel danger du système socialiste, communiste, quel que
soit son nom.
Le danger de l’ «Etat
providence», du système «Big-Brother».
(Note : comprendre marxisme culturel)
Si
les gens ne réussissent pas à saisir l’imminence de ce danger et de cette
évolution, rien n’aidera les Etats-Unis. Vous pouvez dire au revoir à vos
libertés, à la liberté des homosexuels, aux droits des détenus etc…
Toutes
vos libertés disparaîtront, elles seront carbonisées en quelques secondes, et
vos précieuses vies avec.
Deuxièmement, au moins une partie de la population est convaincue que le
danger est réel. Ils doivent forcer le gouvernement – et je ne parle pas
d’envoyer des lettres, des pétitions ou d’autres nobles et belles activités de
ce genre – Je parle bien de forcer le gouvernement à arrêter d’aider le
communisme.
Mais encore une fois
je vais enfoncer le clou car de très nombreuses personnes n’ont pas encore
compris comment c’est établi le règne du marxisme culturel.
Le marxisme culturel souvent appelé le Politiquement Correct ou pensée unique n'est le produit ni d'une évolution, ni celui d'une mode, ni de quelques miasmes que véhiculerait l'air du temps. Il est la mise en application d'un plan très élaboré qui remonte à Lénine et à Willi Münzenberg, (voir en cliquant ici mon livre: Note 9). Note 9 est entre autre chose une biographie de Wilhelm dit Willi Münzenberg personnage clé de l’histoire de l’édification du marxisme culturel qui a pleinement réussi dans nos sociétés occidentales et qu’ayant compris le phénomène, vous ne fassiez plus la confusion entre le «politiquement correct», le «système» qui ne sont que des facettes du marxisme culturel.
Après le rejet par les peuples d’Europe des stupides criminelles et prétendues «révolutions» communistes marxistes et bolcheviques de 1917-1919, l'Hongroise de Bela Cohen dit Kuhn, l'Allemande de Różalia Luksemburg dite Rosa Luxemburg (juive polonaise convertie à la religion séculière marxiste), et même la Russe de Lénine qui, à l'image de la Convention, ne survit que par la Terreur, Lénine est bien obligé de constater la «trahison» des peuples qui ne veulent en aucune façon «disposer d’eux même» c’est-à-dire devenir les esclaves des communistes. Octave Garnier ami de Viktor Lvovitch Kibaltchitch dit Victor Serge un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» (Jules Bonnot : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: «tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA : Nouveau Parti Antisémite ou au PC-(F)) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela».
Le marxisme culturel souvent appelé le Politiquement Correct ou pensée unique n'est le produit ni d'une évolution, ni celui d'une mode, ni de quelques miasmes que véhiculerait l'air du temps. Il est la mise en application d'un plan très élaboré qui remonte à Lénine et à Willi Münzenberg, (voir en cliquant ici mon livre: Note 9). Note 9 est entre autre chose une biographie de Wilhelm dit Willi Münzenberg personnage clé de l’histoire de l’édification du marxisme culturel qui a pleinement réussi dans nos sociétés occidentales et qu’ayant compris le phénomène, vous ne fassiez plus la confusion entre le «politiquement correct», le «système» qui ne sont que des facettes du marxisme culturel.
Après le rejet par les peuples d’Europe des stupides criminelles et prétendues «révolutions» communistes marxistes et bolcheviques de 1917-1919, l'Hongroise de Bela Cohen dit Kuhn, l'Allemande de Różalia Luksemburg dite Rosa Luxemburg (juive polonaise convertie à la religion séculière marxiste), et même la Russe de Lénine qui, à l'image de la Convention, ne survit que par la Terreur, Lénine est bien obligé de constater la «trahison» des peuples qui ne veulent en aucune façon «disposer d’eux même» c’est-à-dire devenir les esclaves des communistes. Octave Garnier ami de Viktor Lvovitch Kibaltchitch dit Victor Serge un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» (Jules Bonnot : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: «tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA : Nouveau Parti Antisémite ou au PC-(F)) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela».
Lénine en bon
communiste ordonne alors sur les conseils avisés de Münzenberg et de Lukàcs
(tous les deux juifs Erev Rav convertis à la religion séculière marxiste; oui
c’est bien de la religion séculière
marxiste dont je parle. C’est à Raymond
Claude Ferdinand Aron juif issu
d’une famille de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle qui
fut l’un des plus grands intellectuels français du XXe siècle que l’on doit de
savoir que le marxisme, est bien effectivement une religion séculière. Aron
définira d’abord l’«intellectuel Français»
comme étant «écrivain ou artiste, (…)
l’homme des idées, savant ou ingénieur,
l’homme de science» et dira que les intellectuels français, que j’appelle
des intellocrates abrutiles, en fait les fameux compagnons de route du communisme, sont des «révolutionnaires» qui détestent une société qui leur donne un
niveau de vie très confortable de petits bourgeois et ne nuit pas à leurs
libertés. Leur antiaméricanisme extrêmement virulent leur fait trahir leur
mission : un intellectuel devrait apaiser les passions. Au lieu de cela, ces
personnes l’excitent, comme en témoigne des articles de Sartre, aux limites de
l’antisémitisme, sur les Etats-Unis lors de l’affaire Rosenberg. Cette
intelligentsia de gauche vomit l’Amérique, aime la haïr, mais elle se montre
très indulgente avec l’URSS…En France, où l’enjeu est le communisme, ils
prétendent dira Aron être les porte-parole de l’humanité entière et, de ce
fait, tendent à aggraver les problèmes plutôt qu’à les résoudre. Le marxisme
est là par Aron comparé à une religion. Et c’est pourquoi, parodiant la phrase
de Marx «La religion est l’opium du
peuple», Aron a intitulé son essai L’Opium
des intellectuels. Il observe en effet qu’un rapprochement est plus que possible
entre socialisme et religion. Le marxisme professe la victoire d’une classe
élue, le fameux «prolétariat» qui
sauvera l’humanité. Ce prophétisme condamne ce qui existe et dit ce qui sera.
Il est une «religion séculière». CQFD.)
La création de cette religion séculière ne s’est pas
faite en un jour.
Pour créer les conditions futures d’une révolution en
répandant le marxisme et la subversion en Occident Lénine en 1922 convoque à
l'Institut Marx-Engels de Moscow une réunion du Komintern dans le but
d'explorer une autre voie, celle de la Révolution Marxiste Culturelle, telle
que défendue par Lukács et Münzenberg, afin d'en clarifier le concept et d'en
définir le mode d'emploi. Outre le patron Lénine, étaient présents Dzerjinski
(créateur de la Tcheka, pendant la prise de pouvoir des bolcheviques, qui a
causé plus de 10 millions de victimes, selon les calculs (qui incluent aussi
dans ce chiffre les victimes des famines provoquées artificiellement), cet
homme abominable est considéré comme l'un des artisans du système répressif
désigné sous le nom de Terreur rouge. Sous la direction de Dzerjinski, et dans
un contexte de répression généralisée de l'opposition, la Tchéka pratique à
grande échelle la torture, les exécutions, les arrestations arbitraires et les
déportations massives) et György Bernát Löwinger dit Georges Lukacs,
fils d'un banquier juif hongrois, converti à la religion séculière marxiste qui
proposait dans son ouvrage Eros and Civilisation
que l'instinct sexuel soit utilisé comme arme de destruction massive. Il y
avait aussi David Borisovich Goldendakh dit David Riazanov proche collaborateur
politique de Léon Davidovitch Bronstein dit Trotsky fondateur l'Institut Marx-Engels, dont il est nommé
directeur en 1920. Défendant l'autonomie des syndicats
(contre l'avis du parti), il est écarté en 1921 de toute responsabilité
politique. En 1930, il est envoyé en camp de travail par la police politique stalinienne. Plus tard
libéré, il sera fusillé sur ordre de Staline le 25 janvier 1938. On doit à Goldendakh dit Riazanov de nombreuses annotations et commentaires
sur l'œuvre de Marx et Engels. Par ailleurs, la publication par David Riazanov
des manuscrits originaux de Marx a montré qu'Engels avait modifié les textes de
ce dernier avant de les publier, en en altérant le sens. Quant
à Münzenberg (Biographie à commander ici
à la FNAC), le grand organisateur de la propagande bolchevique
et du marxisme culturel dans le monde, il est convaincu que le Communisme ne
pourrait jamais s'implanter si la nature-même des peuples n'était au préalable
radicalement transformée.
Il fallait, disait-il: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs aient été corrompues et la vie rendue impossible, pourrons-nous imposer la Dictature du Prolétariat».
Il fallait, disait-il: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs aient été corrompues et la vie rendue impossible, pourrons-nous imposer la Dictature du Prolétariat».
En 1924 Lukacs sur ordre de Lénine s'établit lui aussi en
Allemagne. Poursuivant l'exploration de la voie ouverte en 1922 à l'initiative
de Lénine, il réunit autour de lui un groupe d'universitaires cosmopolites (la
plupart sont des juifs Erev Rav convertis à la religion séculière marxiste)
afin de définir la mise en œuvre du marxisme culturel par des méthodes
subversives qui permettront de changer en douceur la nature des peuples
d’Occident en vue de leur soumission totale.
Ce think tank (le mot anglais de think tank, en français un groupe de réflexion ou laboratoire d'idées qui est généralement une structure en principe de droit privé, indépendante de l'État ou de toute autre puissance, aussi en principe à but non lucratif, regroupant des «experts» et dont l'activité principale est généralement de produire des études et d'élaborer des propositions, le plus souvent dans le domaine des politiques publiques et de l'économie est le mot le plus juste pour qualifier les marxistes réunis par Lukacs sur une base non professionnelle pour réfléchir aux méthodes à mettre en œuvre pour pourrir la société occidentale) ce groupe se réunissait dans les années 20 à l’Institut für Sozialforschung qui sera plus tard connu sous le nom d'École de Francfort groupe fondateur des bases du marxisme culturel. Ces «intellectuels» communistes s’appellent Lukacs, Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Benjamin, Postone, Fromm, Pollock, Neumann, Jay, Wiggersrhaus, Marcuse, Habermas. Les théories de Freud, transposées de l'individu à la société, ont également contribué à ce qui fut aussi appelé le Freudo-Marxisme.
La stratégie marxiste culturelle consiste à gangrener les sociétés d'Occident suivant le scenario imaginé par Lénine avec Münzenberg, Gramsci, Lukacs, etc. scenario maintenant imposé par la Dictature du Politiquement Correct ou pensée unique par : L’enseignement du sexe, de l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants.
L’immigration exotique massive afin de détruire l'identité des peuples.
Le dénigrement des nations.
La destruction des églises et de la morale chrétienne.
Un système judiciaire biaisé qui culpabilise les victimes au profit des criminels.
Une dépendance à un état «providence» et à ses allocations publiques.
Le contrôle et l'abêtissement des medias.
Substitution à la famille patriarcale de la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer l'influence néfaste du mâle blanc.
Ce think tank (le mot anglais de think tank, en français un groupe de réflexion ou laboratoire d'idées qui est généralement une structure en principe de droit privé, indépendante de l'État ou de toute autre puissance, aussi en principe à but non lucratif, regroupant des «experts» et dont l'activité principale est généralement de produire des études et d'élaborer des propositions, le plus souvent dans le domaine des politiques publiques et de l'économie est le mot le plus juste pour qualifier les marxistes réunis par Lukacs sur une base non professionnelle pour réfléchir aux méthodes à mettre en œuvre pour pourrir la société occidentale) ce groupe se réunissait dans les années 20 à l’Institut für Sozialforschung qui sera plus tard connu sous le nom d'École de Francfort groupe fondateur des bases du marxisme culturel. Ces «intellectuels» communistes s’appellent Lukacs, Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Benjamin, Postone, Fromm, Pollock, Neumann, Jay, Wiggersrhaus, Marcuse, Habermas. Les théories de Freud, transposées de l'individu à la société, ont également contribué à ce qui fut aussi appelé le Freudo-Marxisme.
La stratégie marxiste culturelle consiste à gangrener les sociétés d'Occident suivant le scenario imaginé par Lénine avec Münzenberg, Gramsci, Lukacs, etc. scenario maintenant imposé par la Dictature du Politiquement Correct ou pensée unique par : L’enseignement du sexe, de l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants.
L’immigration exotique massive afin de détruire l'identité des peuples.
Le dénigrement des nations.
La destruction des églises et de la morale chrétienne.
Un système judiciaire biaisé qui culpabilise les victimes au profit des criminels.
Une dépendance à un état «providence» et à ses allocations publiques.
Le contrôle et l'abêtissement des medias.
Substitution à la famille patriarcale de la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer l'influence néfaste du mâle blanc.
La création par des marxistes occidentaux (le marxisme
culturel est aussi appelé «marxisme
occidental») aux ordres du Komintern (l’Internationale communiste) de
l’institut des études sociales de Frankfort (Institut für Sozialforschung)
chargé de la subversion de la société capitaliste occidentale dans les années
20 et 30 est nommé aujourd’hui le marxisme culturel qui migrera vers les USA
après l’arrivée au pouvoir d’Adolph Hitler. Ce poison idéologique a alors gagné
les Universités américaines de Berkeley, Columbia, Princeton, et Brandeis. A
partir de ces institutions le poison est passé dans le système d’éducation en
Occident avec une véritable éclosion à partir des années 60 grâce à une
nouvelle ingénierie sociale. Il gagnera aussi Hollywood et la culture
cinématographique. L’idéologie marxiste culturelle de l`École de Frankfort
contamine alors des générations entières grâce aussi aux moyens de
communications modernes. Des idées basées sur les idéologies de Hegel, Marx,
Nietzsche, Freud, and Weber.
Les objectifs de subversions de l’École de Francfort et par conséquent du politiquement correct ou marxisme culturel.
1. La création d’accusations racistes.
2. Un changement continuel afin de créer la confusion.
3. L’enseignement du sexe et de l’homosexualité aux enfants.
4. Saboter l’autorité des écoles et des professeurs.
5. Immigration massive pour détruire les identités nationales.
6. La promotion de l`alcool et de la beuverie.
7. Action de déchristianisation des écoles et des institutions qui a indirectement favorisé la culture de mort marxiste culturelle en créant le vide nécessaire par ses violentes attaques contre l’Église.
8. Un système de justice peu fiable et biaisé contre la victime du crime.
9. La dépendance sur aux contributions sociales de l`état
10. Contrôler les médias et rendre la qualité de l’information médiocre.
11. Encourager la destruction de la cellule familiale
12. Changer la relation traditionnelle entre l`homme et la femme, recherche du plaisir, attaquer l’autorité du père.
La culture de mort marxiste culturelle en Occident est aujourd`hui celle de la libéralisation de la contraception, de l’avortement, de la déchristianisation, du féminisme radical, de la pornographie, de la promotion de l’homosexualité, de la bisexualité, de la polygamie, de la destruction des valeurs de la famille, de la destruction de la nation. N'avez-vous pas l'impression que le film que nous rabâche jours après jours les «associations», les manuels scolaires, la télévision, la presse et la radio (les merdias) est, à la virgule près, en tout point conforme au scenario de Münzenberg «Pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ?».
Après les deux guerres mondiales, après la chute du mur de Berlin et l'ouverture des frontières de l'ancien bloc de l'Est en 1989, il semble que la question du marxisme culturel relève du passé.
Quel que soit le jugement que l'on porte sur l'évolution de la Russie, force est de constater que bien des changements y sont intervenus : les persécutions brutales contre les catholiques ont disparu. Les opposants ne sont plus envoyés dans les goulags. L'empire soviétique a disparu et le système économique collectiviste a été démantelé. La Russie ne semble plus à même de répandre ses erreurs, de provoquer des guerres et des persécutions. La peur a disparu et la paix paraît s'être imposée. L'ultra-libéralisme triomphe en maître.
Mais le système communisme et le marxisme culturel sont des hydres à plusieurs têtes. Au sujet de la religion, il prêche l'athéisme : l'homme ne doit pas s'occuper de D’, qui n'existe pas (Pour certains Dieu est mort : Théorie de la mort de Dieu). Au sujet de la philosophie, il enseigne le marxisme : la pensée vient de la matière et évolue par dialectique contradictoire (thèse, antithèse, synthèse). En histoire, le communisme considère la vie passée des hommes selon la dialectique marxiste. En sociologie et en politique, il prétend à l'abolition de la propriété privée affirmant le totalitarisme où les hommes sont des unités juxtaposées au service de l'État, lequel prend en charge les besoins des individus pour les gérer et les organiser. En économie, le communisme préconise le collectivisme d'État où les hommes sont de simples moyens de production asservis au service de l'État totalitaire.
Le marxisme culturel est le refus total de tout ce qui est spirituel ou conduit à une vie spirituelle. Voici quelques-unes de ses directives.
«La formation d'une conception scientifique du monde est la tâche idéologique la plus combative qui soit. Sa réussite implique notamment le développement le plus large possible de l'éducation athéiste. Lutter contre la religion, c'est lutter non pas contre les croyants, mais contre l'idéologie religieuse. La propagande athéiste doit être fondée sur la dénonciation du caractère anti-scientifique de l'idéologie religieuse : cette idéologie constitue un danger permanent qui tient aux idées. Notre propagande antireligieuse ne sera réellement efficace que si elle tient compte de tous les aspects de la religion [...] La voie du succès est celle du travail éducatif systématique, intéressant, varié dans ses formes, conçu en tenant compte des particularités des divers groupes de la population, englobant tous les aspects de la vie des hommes. Il ne faut laisser aux ecclésiastiques aucune faille qui leur permette d'atteindre les âmes. Il faut [...] exercer une influence athéiste sur l'homme dès son plus jeune âge [...]» (Rapport du président de la «Commission idéologique près le Comité central du Parti Communiste de l'Union Soviétique», les 25-26 nov. 1963).
Les objectifs de subversions de l’École de Francfort et par conséquent du politiquement correct ou marxisme culturel.
1. La création d’accusations racistes.
2. Un changement continuel afin de créer la confusion.
3. L’enseignement du sexe et de l’homosexualité aux enfants.
4. Saboter l’autorité des écoles et des professeurs.
5. Immigration massive pour détruire les identités nationales.
6. La promotion de l`alcool et de la beuverie.
7. Action de déchristianisation des écoles et des institutions qui a indirectement favorisé la culture de mort marxiste culturelle en créant le vide nécessaire par ses violentes attaques contre l’Église.
8. Un système de justice peu fiable et biaisé contre la victime du crime.
9. La dépendance sur aux contributions sociales de l`état
10. Contrôler les médias et rendre la qualité de l’information médiocre.
11. Encourager la destruction de la cellule familiale
12. Changer la relation traditionnelle entre l`homme et la femme, recherche du plaisir, attaquer l’autorité du père.
La culture de mort marxiste culturelle en Occident est aujourd`hui celle de la libéralisation de la contraception, de l’avortement, de la déchristianisation, du féminisme radical, de la pornographie, de la promotion de l’homosexualité, de la bisexualité, de la polygamie, de la destruction des valeurs de la famille, de la destruction de la nation. N'avez-vous pas l'impression que le film que nous rabâche jours après jours les «associations», les manuels scolaires, la télévision, la presse et la radio (les merdias) est, à la virgule près, en tout point conforme au scenario de Münzenberg «Pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ?».
Après les deux guerres mondiales, après la chute du mur de Berlin et l'ouverture des frontières de l'ancien bloc de l'Est en 1989, il semble que la question du marxisme culturel relève du passé.
Quel que soit le jugement que l'on porte sur l'évolution de la Russie, force est de constater que bien des changements y sont intervenus : les persécutions brutales contre les catholiques ont disparu. Les opposants ne sont plus envoyés dans les goulags. L'empire soviétique a disparu et le système économique collectiviste a été démantelé. La Russie ne semble plus à même de répandre ses erreurs, de provoquer des guerres et des persécutions. La peur a disparu et la paix paraît s'être imposée. L'ultra-libéralisme triomphe en maître.
Mais le système communisme et le marxisme culturel sont des hydres à plusieurs têtes. Au sujet de la religion, il prêche l'athéisme : l'homme ne doit pas s'occuper de D’, qui n'existe pas (Pour certains Dieu est mort : Théorie de la mort de Dieu). Au sujet de la philosophie, il enseigne le marxisme : la pensée vient de la matière et évolue par dialectique contradictoire (thèse, antithèse, synthèse). En histoire, le communisme considère la vie passée des hommes selon la dialectique marxiste. En sociologie et en politique, il prétend à l'abolition de la propriété privée affirmant le totalitarisme où les hommes sont des unités juxtaposées au service de l'État, lequel prend en charge les besoins des individus pour les gérer et les organiser. En économie, le communisme préconise le collectivisme d'État où les hommes sont de simples moyens de production asservis au service de l'État totalitaire.
Le marxisme culturel est le refus total de tout ce qui est spirituel ou conduit à une vie spirituelle. Voici quelques-unes de ses directives.
«La formation d'une conception scientifique du monde est la tâche idéologique la plus combative qui soit. Sa réussite implique notamment le développement le plus large possible de l'éducation athéiste. Lutter contre la religion, c'est lutter non pas contre les croyants, mais contre l'idéologie religieuse. La propagande athéiste doit être fondée sur la dénonciation du caractère anti-scientifique de l'idéologie religieuse : cette idéologie constitue un danger permanent qui tient aux idées. Notre propagande antireligieuse ne sera réellement efficace que si elle tient compte de tous les aspects de la religion [...] La voie du succès est celle du travail éducatif systématique, intéressant, varié dans ses formes, conçu en tenant compte des particularités des divers groupes de la population, englobant tous les aspects de la vie des hommes. Il ne faut laisser aux ecclésiastiques aucune faille qui leur permette d'atteindre les âmes. Il faut [...] exercer une influence athéiste sur l'homme dès son plus jeune âge [...]» (Rapport du président de la «Commission idéologique près le Comité central du Parti Communiste de l'Union Soviétique», les 25-26 nov. 1963).
Nous avons remarqué que le MC était une religion
séculière, un de ses dogmes s’appelle «Laïcité»
en fait une religion d’état. Mais on peut observer que l’utilisation d’une
religion civile pour donner à l'État une assise solide risque fort de se
retourner contre la croyance religieuse elle-même, puisqu’elle débouche sur une
instrumentalisation de la religion à des fins purement politiques. Or cette
instrumentalisation, cette subordination de la religion à la politique, est
nuisible à la liberté de conscience et de religion qui suppose, pour pouvoir
respirer, le refus de toute religion d’État qui serait imposée de l’extérieur
aux citoyens, car imposer une religion civile, c'est violer les droits de la
conscience individuelle à choisir librement sa propre religion. En outre, toute
religion véritable se fonde sur une Révélation ou sur une expérience qui nous
met en contact avec l'absolu, le divin (quelle que soit la forme qu'on donne à
celui-ci), si bien qu'il semble difficile de constituer une religion par un
simple décret, car on ne peut croire à ce qu'on a soi-même institué. Même les
religions antiques, qui sont des religions civiles, prétendent se fonder sur
une Tradition dont l'origine immémoriale échappe à l'institution humaine.
Alors
que la loi de 1905 visait prioritairement à garantir la liberté de conscience
et de religion, et à rendre possible la coexistence pacifique des religions, le
projet émancipateur de la République actuelle, qui rejoint dès lors la critique
que Marx (vous voyez comme on en arrive vite au marxisme) faisait déjà de la
religion dans La Question juive, est désormais
de considérer que les croyances religieuses enferment les individus dans des
particularismes nocifs, qui les empêchent d'accéder pleinement au statut de «citoyen» puisque l'appartenance
confessionnelle maintient une division, à l'intérieur de l'homme, entre le
croyant (dont les croyances, particulières, le sépare des autres hommes) et le
citoyen (dont l'intégration au corps de la nation se trouve du côté de
l'universel et de la raison). En d'autres termes, il ne s'agit plus,
conformément à l'esprit de la loi de 1905, de maintenir une division entre la
sphère publique (celle du citoyen) et la sphère privée (celle où chacun est
libre d'adhérer à telle ou telle confession), mais il s'agit plutôt de
dépouiller l'individu de ses croyances, héritées de sa famille, pour en faire
un citoyen ne reconnaissant plus d'autres valeurs que celles que lui
inculquera, via l'école, la République devenue Marxiste Culturelle. Ainsi sera
mis fin à la division de l'homme privé et du citoyen, que Marx estimait
ruineuse pour l'unité sociale, puisqu'elle empêche l'homme de s'émanciper de
ses particularismes. Le 18 janvier 2015, le président de
l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, qui était l'invité du Grand Jury RTL/LCI/Le
Figaro, affirmait que «la religion
suprême pour chacun d'entre nous, c'est la religion de la République», sans
faire broncher un seul des merdiatocrasseux présents, tandis que François
Hollande affirmait, de son côté, «qu'il
n'y a rien au-dessus de la République». Cette religion séculière MC aura
aussi ses «martyrs», puisqu'au moment
même où se développe un laïcisme virulent à l'égard des religions
traditionnelles et du christianisme en particulier, la République et ses
merdias firent des journalopes de Charlie Hebdo des saints laïcs, pour lesquels
il est blasphématoire d’émettre la moindre critique. À tel point qu'on a même
vu une «journaliste», Nathalie saint
Cricq, déclarer au journal d'Antenne 2 dans un élan de prosélytisme marxiste
culturel digne d'un agent du KGB qu’il fallait «repérer et traiter ceux qui ne sont pas Charlie» ! Comme l'écrit
Alain Ledain (engagé dans l'Eglise Protestante Evangélique de Montreuil où il animait,
lors des cultes, une chronique d'éthique sociale, membre de l'Eglise Baptiste
de Pontault-Combault, professeur de mathématiques) «on admet certes le droit au blasphème, certes oui, mais pas contre
Charlie ! La République est décidément incurablement religieuse». Et la
peur, distillée par les médias à propos du terrorisme, justifie alors «la religion de la République», au nom
de la «cohésion nationale». Encore
une fois CQFD.
Mais dites-vous bien que le marxisme culturel a
vaincu ! Que tout retour est impossible.
Au début je vous donnais mes conclusions :
1) Le progrès technologique et la société devenue
marxiste culturelle et multiculturaliste nous conduit à un désastre
inéluctable;
2) Seul l'effondrement de la civilisation moderne
pourrait empêcher le désastre, mais c’est trop tard, le désastre est à nos
portes ;
3) Le marxisme culturel est la première ligne de
défense de la Société technologique contre l’homme et les lois naturelles;
4) Ce qu'il faudrait, c'est un mouvement par exemple
libertarien, voué à l'éradication de la société technologique, consumériste et
marxiste culturelle qui prendrait des mesures pour tenir à l'écart tous les
marxistes culturels et assimilés (socialistes, communistes, droite molle,
centre etc. etc.) mais encore une fois il est bien trop tard.
A
suivre
Note 9 ? Une perle rare de l’ethnographie politique ! On peut bien sûr
ne pas être d'accord avec cet auteur mais il a le mérite de ne pas faire de
langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers
l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement
marxiste culturel des hommes politiques d’aujourd’hui. Note 9 le livre qui déchire à donf !
Michel Alain Labet de Bornay.
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