lundi 15 janvier 2018

What is Cultural Marxism ? (4)

Le marxisme culturel par Alain de Bornay chapitre 4
Désirs.




Vous savez ce que j’aimerais ? C’est qu’une de ces vieilles crevures marxistes culturelles des merdias par exemple nous fasse son mea culpa et qu’enfin il dise : «Je vais crever et je l’avoue je me suis planté toute ma vie. J’ai soutenu Staline, Mao, Pol Pot, Chavez, Mugabe, Mandela et Mengistu. Dès qu’un régime de merde, sanglant, raciste, corrompu et exotique brandissait le drapeau rouge, j’ai fait des claquettes avec ma langue de bois. J’ai lu le Monde et Libération et même écrit dans le Figaro, cru à l’ Afrique du Sud de Mandela  au Zimbabwe de comrade Bob et au Kampuchea Démocratique, j’ai gueulé des conneries plus grosses que moi avec Krivine, Kohn Bendit, Besancenot et Mélanchon, j’ai été abonné au Inrocks et à Médiapart, j’ai défendu Carlos et Boudarel et les pires saletés marxistes culturelles des deux dernières générations , j’ai voté Mitterrand et j’ai milité à Sos Racisme avec mes potes Dray et Désir , je suis parti à Marrakech sur les traces de Frédéric et j’ai bandé pour DSK, j’ai cru à la société multiculturelle, j’ai chié sur le Pape parce que c’était pas dangereux et j’ai écrasé ma grande gueule sur les autres religions, j’ai branlé du rabbin, pompé du mollah, astiqué de l’imam parce que je suis un lâche et un gros naze, j’ai affirmé qu’il n’ y avait aucun lien entre le sentiment d’une insécurité qui n’existe pas et une immigration pas plus importante que dans les années trente. Oui, j’ai tout faux depuis tout p’tit, c’est ma nature. Je hais les pauvres, les riches et les classes moyennes, les blancs, les français de souche, mes parents, les gens de ma tribu, et si je suis de gauche, à fond à fond c’est parce que j’ai honte de mes origines et que j’aurais voulu être une femme noire naine et lesbienne. Je n’ai rien vu venir, ni la crise économique, ni la décadence morale, intellectuelle, sécuritaire, sanitaire, ni l’implosion du Pays, rien. Je suis bouché les oreilles et ouvert le trou du cul pour me faire mettre à sec avec du sable, j’étais con comme une valise du FLN, je suis de tous les combats foireux, de toutes les vastes gourances, de toutes les hypocrisies, je suis un concentré de toute la mauvaise foi du monde , de l’indignation à géométrie variable, du mensonge sélectif, de la répression des opinions qui me déplaisent, j’ai été un chantre des assassinats collectifs et des totalitarismes déments surtouts des marxistes au 150 millions de victimes . Et je n’ai rien appris : trouvez-moi une utopie à la con et je recommence , non je ne veux rien savoir , je vous ai mis dans la merde jusqu'au cou , mais parce que je suis de gôôôôôche je ne peux pas me renier même si vous en crevez …». Oui bon, faut pas rêver comme disait Brassens quand on est con on est con !
Et voilà comment on revient à Youri Aleksandrovitch Bezmenov aussi connu sous le nom de Tomas David Schuman né en 1939 à Moscou, fils d’un officier de haut rang de l’armée soviétique, passé à l’Ouest en 1970, au péril de sa vie, après avoir été totalement dégouté du système soviétique communiste qui a vendu la mèche lors d'une interview en 1985 qui est dans le lien présentée pour la première fois sous-titrée en français, cette interview, bien que datant de 1985, est d’une rare actualité. Yuri Bezmenov, ex-agent du KGB y dévoile par le menu les arcanes du marxisme culturel et ses techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi comment le bloc socialo-communiste a sciemment mis en œuvre une politique globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial. Comment il a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de l’activité du KGB. Comment le KGB a systématiquement recruté tous les «intellectuels» faiseurs d’opinion à l’ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste comme avec la tragédie de Katyn. Depuis les années 1920 au contraire du marxisme économique en situation d’échec permanent ne permettant pas un soulèvement des «masses» ou du prolétariat, les communistes y ont substitué le «marxisme culturel» par la subversion des «intellectuels». Le marxisme culturel consiste à mentir, manipuler, désinformer, user d'arguments de mauvaise foi, autrement dit avancer des arguments auxquels on ne croit pas soi-même, dans le but de saborder les sociétés occidentales. Le KGB et ses sbires avec l’aide des membres de la section MC du Komintern dirigée par Münzenberg et Otto Katz puis par les membres de l’école de Francfort ont conditionné et «démoralisé» (perte des valeurs traditionnelles occidentales) des pans entiers de la société, ces intellectuels, journalistes, hommes politiques de tous bord, écrivains, cinéastes sont devenus les «idiots utiles» du socialisme. Cet entretien permet bien de comprendre pourquoi, en 2017, nous devons encore composer avec une gauche lunaire dite en Marche, une «droite» inexistante, un Président et un gouvernement nettement marxiste culturel et pourquoi autant d’intellocrates, de journalopes médiacrasseux, de profs formatés continuent de saper des générations d’écoliers, collégiens, étudiants etc… et pourquoi la lutte contre le socialisme marxiste et le marxisme culturel, bien que voué à l’échec et malgré toutes les preuves de sa nocivité, est toujours à l’ordre du jour ne serais ce que pour ne pas mourir idiot.
Yuri Bezmenov est certainement l’un des plus grands experts mondiaux, en matière de propagande marxiste culturelle, de désinformation et de manipulation. Madame Bella V. Dodd rejoignait l'analyse de  Bezmenov dans les années 1960 aux USA, accusant le parti communiste de prôner la confusion, le chaos, la dépravation, la perversion, la guerre de tous contre tous: hommes contre femmes, parents contre enfants, noirs contre blancs etc. etc.,
Yuri Bezmenov issu des meilleures écoles de l’élite du système communiste soviétique est devenu un expert de la culture et des langues de l’Inde puis il a fait une carrière exceptionnelle au sein de Novosti, qui était, l’agence de presse du régime soviétique et servait de paravent pour le KGB.
La totalité de l’interview de Bezmenov de 1985 est retranscrite traduite en Français ci-après : «La subversion idéologique, c’est un processus qui n’a rien d’illégal ou de caché. C’est une action menée au grand jour. Il suffit de s’en rendre compte, de se déboucher les oreilles, d’ouvrir les yeux, et cela devient évident (L’autre évidence c’est que s’écroulent les thèses absurdes de théorie du complot d’extrême droite d’un Jérome Jamin ou des trotskistes de la LCR) Il n’y aucun mystère. Cela n’a rien à voir avec l’espionnage. Je sais que travailler dans le renseignement, cela fait plus romantique, c’est plus vendeur auprès du public. C’est sûrement pour ça que les producteurs d’Hollywood aiment tant les films du genre James Bond. Mais en réalité, l’action principale du KGB n’est pas du tout de faire du renseignement. Selon moi, et selon l’avis de beaucoup de transfuges qui ont le même profil que moi, seuls 15% du temps, de l’argent et des effectifs sont consacrés à l’espionnage en tant que tel. Les 85% restants sont consacrés à un à processus très lent, que l’on appelle soit « subversion idéologique » ou manipulation de l’opinion, – «xxxxxxxxxx» dans le langage du KGB – ou «guerre psychologique». Cela signifie essentiellement: changer la perception de la réalité de tous les américains, au point que malgré la profusion d’information, plus personne n’est plus capable de tenir un raisonnement correct afin de défendre ses propres intérêts, ceux de sa famille, de sa communauté, ou de son pays. (C’est bien sûr valable pour tout l’occident). C’est un processus de lavage de cerveau généralisé, qui va très lentement, et qui comprend quatre phases. La première phase est celle de la «démoralisation» (Il faut entendre par dé-moralisation la perte de la morale, des valeurs fondatrices de la civilisation occidentale grecquo-latino-judéo- chrétienne). Cela prend entre 15 et 20 ans pour «démoraliser» un pays (si l’on considère que Münzenberg a mis en place  le processus marxiste culturel de lavage de cerveau généralisé dans les années 1920, c’était chose faite pour la France dès la fin de la guerre en 1945). Pourquoi tant d’années ? Parce que c’est le nombre d’années minimum requis pour éduquer une génération d’étudiants du pays visé, pour l’exposer à l’idéologie adverse. En d’autres termes, l’idéologie marxiste-léniniste est actuellement injectée dans les esprits malléables d’au moins trois générations de jeunes américains, sans rencontrer de résistance, sans être contrebalancée par les valeurs de base de l’Amérique ou par un patriotisme américain (En France le marxisme culturel, une création marxiste-léniniste est injectée depuis plus de trois générations et est au pouvoir). L’essentiel de l’activité du département était de compiler d’énormes quantités d’informations sur des personnes qui étaient ensuite instrumentalisées pour influencer l’opinion publique, éditeurs, écrivains, journalistes, acteurs, éducateurs, professeurs de sciences politiques, députés, hommes d’affaires… (Je sais, je sais, maintenant vous vous dites ; ça y est Labet de Bornay le vieux réac «d'extrême droite», (les réacs (avec le bras tendu et le verre de bière allah main) sont toujours d’extrême droite, même si vous êtes libertarien, notion politique inconnue au bataillon des universités Françaises et des marxistes culturels ou intellectuels de pissotières), ce fafounesquelibertaré ( quel joli nom !) et monomaniaque ( Les deux mon général) va encore nous faire la leçon et enfoncer bien profond les clous de son anticommunisme primaire et viscéral (ne jamais oublier viscéral, ça pose le progressiste) et nous regonfler avec son marxisme culturel inhérent à la république Française. Mais alors là, non de D…, non de non ! Il faut être clair, nom d’un petit bonhomme, mon combat n’est pas un combat «contre» le communisme. Ce qu'il faut combattre n'est pas le communisme en soit, mais la traduction politique de cette idéologie mortifère. Par exemple, il ne m'intéresse pas de savoir si le communisme est plus «vrai» que le capitalisme. Ce débat est aussi stérile que l'étaient autrefois les «disputations» et controverses entre théologiens juifs, musulmans et catholiques, savoir si Érasme avait raison avec son «de libero arbitrio» au dépend de Luther avec «de prédestinatio». Personne n'a jamais convaincu l'autre. Le communisme est un idéal. Que les communistes s'organisent dans leurs communes et phalanstères, qu'ils affichent leur bonheur d'y vivre, et ils seront en principe rejoints par des milliers de gens. Mais bon, rien n’est moins sûr, pensez aux monastères vides, aux kibboutz tout aussi vides et a toutes les «expériences» collectivistes qui ne furent toujours que des échecs. Willi Münzenberg chef du Komintern et de la section propagande du KGB grand architecte de la désinformation sous Lénine puis Staline, convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s’implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n’était au préalable radicalement transformée, avait défini l’objectif et donné le mode d’emploi du marxisme culturel: «Organiser les intellectuels et se servir d’eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu’à ce qu’elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat»).
Yuri Bezmenov continue : «La plupart de ces gens étaient divisés en deux groupes:
• Ceux qui soutenaient la politique du régime soviétique étaient promus à des postes de pouvoir grâce à la manipulation de l’opinion et des médias.
• Ceux qui refusaient l’influence du communisme dans leur pays, leur réputation était ruinée ou ils étaient exécutés. Physiquement. Révolution oblige.
Ainsi, dans une petite ville du Sud-Vietnam, plusieurs milliers de Vietnamiens ont été exécutés en une seule nuit, après que la ville ait été prise par les Viêt-Cong, au bout de seulement deux jours. Et la C.I.A n’a jamais compris comment les communistes avaient pu aller si vite, pour repérer chacun d’entre eux, connaître leurs domiciles, là où les trouver, les arrêter, tout cela en une seule nuit, en à peine quelques heures, avant le lever du jour, et les embarquer dans des camions, les conduire hors de la ville et les exécuter. La réponse est très simple: bien avant que les communistes occupent la ville, il existait un réseau complet d’informateurs, des vietnamiens habitant la région, qui savaient absolument tous des personnes en mesure d’influencer l’opinion publique, jusqu’aux simples barbiers ou aux chauffeurs de taxi. Tous ceux qui étaient favorables aux Etats-Unis ont été exécutés. Même chose à Hanoï [Vietnam], pilotée par l’ambassade soviétique. Et je faisais la même chose à New-Dehli. A ma grande horreur, j’ai découvert, dans les dossiers des personnes qui allaient être exécutées, le nom de journalistes prosoviétiques qui étaient mes amis personnels.
- Prosoviétiques !...?...
Oui, absolument ! Ils défendaient un idéal communiste, ils avaient fait plusieurs voyages en URSS, et pourtant le KGB avait décidé que, révolution oblige, pour mener à bien les changements politiques drastiques de l’Inde, qu’il fallait les éliminer.
- Pourquoi cela ?...
Parce qu’ils en savaient trop. Simplement parce que les idiots utiles, les gens de gauche qui sont idéalistes, qui croient en la beauté du système soviétique, communiste, socialiste … quand ils ouvrent les yeux sur la réalité, ils deviennent les pires ennemis du système. C’est pourquoi mes instructeurs, au KGB, insistaient tout particulièrement sur ce point : «Ne vous préoccupez jamais des gauchistes», «Oubliez ces prostitués politiques. Visez plus haut».                                    Telles étaient mes instructions. Essayez de pénétrer les médias conservateurs bien établis, essayez d’atteindre les producteurs de films riches à millions, les intellectuels, les milieux soi-disant académiques, entrez en contact avec les cyniques, les égocentriques qui peuvent vous mentir d’un air angélique en vous regardant droit dans les yeux. Voilà les gens qu’il fallait recruter: ceux qui n’avaient plus aucuns principes moraux, les gens avides de pouvoir, ceux qui se prennent pour quelqu’un, ou qui se croient très importants. Voilà les profils que le KGB cherchait à «recruter».
– Mais pour éliminer les autres, ne sont-ils pas utiles?
«Non, ils ne sont utiles que dans la phase de déstabilisation du pays. Par exemple, tous les gens de gauche ici, tous ces professeurs et ces magnifiques défenseurs des droits à l’égalité, sont instrumentalisés dans ce processus de subversion, et ce uniquement pour déstabiliser le pays. Quand cette étape sera achevée, ils ne seront plus nécessaires. Ils en savent trop. Quand leurs illusions tomberont, une fois un pouvoir marxiste en place, ils seront bien évidemment scandalisés, car ils s’imaginent que ce sont eux qui vont prendre le pouvoir. Cela n’arrivera jamais bien sûr. Ils seront alignés contre un mur et exécutés. Ils seraient les adversaires les plus acharnés d’un régime marxiste-léniniste. Ce qui s’est passé au Nicaragua, vous vous souvenez quand la plupart des anciens communistes ont été jetés en prison, ou quand l’un d’entre eux a changé de camp pour s’opposer aux sandinistes. C’est aussi arrivé à Grenade, quand Maurice Bishop, du parti marxiste, a été exécuté par un autre, «plus marxiste» que lui. Même chose en Afghanistan quand Taraki a été assassiné par Amin, lui-même assassiné par Karmal avec l’aide du KGB. Même chose au Bangladesh, avec Mujibur Rahman, un leader de gauche très prosoviétique, assassiné par ses propres amis communistes de l’armée.                                                                Le mécanisme se répète chaque fois à l’identique. Une fois qu’ils ont servi, les idiots utiles sont soit exécutés jusqu’au dernier – je parle des idéalistes marxistes – ou exilés, ou jetés en prison, comme à Cuba ou beaucoup d’anciens marxistes sont en prison. Fondamentalement, l’Amérique est coincée par cette «démoralisation». Si vous commenciez maintenant, à la minute même, à former une nouvelle génération d’américains, cela prendra quand même de 15 à 20 ans pour inverser la tendance, pour inverser cette perception idéologique de la réalité, et revenir à la normale et aux idées patriotiques. Le résultat? Vous pouvez observer le résultat. La plupart de ceux qui ont fait leurs études dans les années 60, de ceux qui ont quitté l’école et la plupart des pseudo-intellectuels, occupent à l’heure actuelle des postes de pouvoir au gouvernement, dans l’administration, dans les affaires, les médias, ou dans le système éducatif (En France c’est exactement pareil). Vous êtes coincés avec eux. Vous ne pouvez plus vous en débarrasser. Ils sont contaminés. Ils sont programmés pour penser et réagir à certains stimuli d’une façon déterminée. Vous ne pouvez pas changer leur façon de voir, même si vous leur présentez des informations véridiques. Même si vous leur démontrez que blanc c’est blanc, et noir c’est noir, vous ne pouvez pas modifier leur perception de base et leur logique de comportement. En d’autres termes, chez ces gens, le processus de «démoralisation» est total et irréversible leur conversion à la religion séculière marxiste culturelle est irréversible. Pour débarrasser la société de ces personnes, il faut de nouveau attendre 15 à 20 ans, pour éduquer une nouvelle génération d’étudiants, leur inculquer des idéaux patriotiques et en faire des gens de bon sens, qui agissent dans l’intérêt de la société américaine (ou Française et Européenne).
– Et ces personnes qui ont été «programmées» et qui sont en place, favorables aux idéaux communistes, ce sont ces mêmes personnes qui seraient vouées à être massacrées dans un tel système.
«La plupart d’entre eux, oui. Simplement parce que, avec le choc psychologique qu’ils éprouveraient en découvrant ce qu’est VRAIMENT leur magnifique société «d’égalité et de justice», (Note: dire humaniste, démocratique, pacifiste et tolérante) se révolteraient, c’est bien évident. Ils seraient extrêmement mécontents, frustrés. Et un régime marxiste-léniniste ne peut tolérer ce genre de personnes, ils rejoindraient à coup sûr le camp des dissidents et des opposants. Et à la différence des Etats-Unis actuels, il n’y a pas de place pour les dissidents dans un régime marxiste-léniniste. Ici, vous pouvez devenir très célèbre, comme Daniel Ellsberg, ou démesurément riche comme Jane Fonda, en répandant des opinions «dissidentes» ou en critiquant la politique du Pentagone.                                     (Note : Ainsi, le lavage de cerveaux des marxistes culturels commencé avant la guerre a pris de l’ampleur dès les années 50. Les théories marxistes culturelles ont été injectées depuis 1945 dans les esprits malléables sans rencontrer de résistance, sans être contrebalancée par les fondamentaux de la république démocratique française. Ajoutez à cela la défection dans les années qui ont suivi des parents absents qui ne remplissent plus leur rôle éducatif, la mode des familles éclatées qui peinent à remplir leur rôle éducatif, et les enfants n'ont plus comme référence que l'enseignement tendancieux qu'ils reçoivent à l'"école de la république".... Et c’est la catastrophe ! L’école publique a décervelé pas moins de 3 générations. Aujourd’hui, les plus vieux des intoxiqués ont aujourd’hui entre 55 et 65 ans (comme Macron, Hollande et d'autres... au centre et même à droite si ce n’est à l’extrême droite !)… Et les plus jeunes sont nos enfants ! Nos chères têtes blondes seront définitivement contaminées  si nous laissons les profs  gauchistes leur enseigner l’Histoire réécrite «à la mode Filippetti», si nous laissons ces enseignants leur interdire tout esprit critique et dénigrer le patriotisme.
Entre ces deux générations, toute une palanquée  de responsables de gauche, profs, journalistes, éditeurs, écrivains,  acteurs, chanteurs, éducateurs, enseignants, profs de sciences politiques, de l’ENA (avec cette promo Voltaire qui tient la France en otage), responsables associatifs, hommes et femmes d’affaires… parfois même, prêtres !...L'étalonnage du degré d'intoxication sur les journalistes est parfait. Presque tous de gauche en complète contradiction avec leur charte déontologique!  En juin 1984, la France d’ordinaire invisible et silencieuse descend massivement dans la rue pour défendre l’école libre  menacée d’intégrer le «grand service public unifié et laïc de l'éducation nationale», ce creuset gauchiste voulu par Mitterrand. Grâce à la détermination de millions de Français, les écoles privées demeurent un des derniers remparts contre la dilapidation de notre civilisation. Outre la qualité de leur enseignement, elles préservent une ébauche de civisme, de patriotisme, de discipline et de respect mutuel, ainsi que les religions chrétiennes et juives qui inculquent des valeurs universelles).                         Dans un système marxiste, ces gens seraient simplement « pfft », écrasés comme des cafards. Ils n’obtiendraient rien en retour de leurs belles et nobles idées d’égalité. Ça, ils ne le comprennent pas. Ce serait un choc terrible pour eux. Aux Etats-Unis, le processus de démoralisation est en fait terminé. Et cela depuis 25 ans. Il dépasse même toutes les espérances: la démoralisation atteint désormais une telle ampleur que même Andropov et tous ses experts n’auraient jamais rêvé d’un tel succès.                                                                     Pour la plupart, elle est maintenant effectuée par les américains eux-mêmes sur d’autres américains, grâce à la disparition des repères moraux. Comme je l’ai dit auparavant, dire la vérité [sur les régimes marxiste] n’a plus aucune importance. Une personne «démoralisée» n’est plus en mesure de prendre en compte la réalité des faits. Les faits, le réel, cela ne l’atteint plus.                   (Note : Par personne démoralisée comprendre une personne convertie à la religion séculière marxiste culturelle)                                                                                Même si je la bombardais de photos authentiques, de documents, d’informations, de preuves, même si je l’emmenai de force en URSS pour lui montrer les camps de concentration, elle refuserait de le croire, jusqu’à ce qu’elle reçoive un bon coup de pied au derrière. C’est seulement quand la botte militaire s’abattra, qu’alors elle comprendra. Mais pas avant. C’est ça le tragique de la démoralisation.                                                               L’étape suivante est la déstabilisation.                                                                      Dans ce cas, les révolutionnaires ne se soucient plus de vos idées ou de votre façon de vivre. Tout ça ne compte plus.                                                                               Cela prend seulement 2 à 5 ans pour déstabiliser un pays, et ce qui compte, ce sont les fondamentaux: économie, relations étrangères, défense. Et l’on peut voir clairement que, dans certains domaines, dans les domaines aussi sensibles que la défense ou l’économie, l’influence des idées marxistes-léninistes est absolument prodigieuse. Je n’en croyais pas mes yeux, il y a 14 ans, quand je suis arrivé ici, je ne pensais pas que le processus irait aussi vite.                                            L’étape suivante est l’insurrection.                                                 Cela prend environ 6 semaines pour amener un pays au bord de la crise, comme vous pouvez le voir en Amérique Centrale actuellement. (1985)                                    Après la crise, à la suite des violents changements de régime, de structure et d’économie, arrive ce qu’on appelle la phase de normalisation, qui peut durer indéfiniment.                                                                                  La normalisation est une expression d’un grand cynisme, issue de la propagande soviétique. Quand les chars ont envahi la Tchécoslovaquie en 1968, Brejnev a déclaré: «Maintenant la situation en Tchécoslovaquie est normalisée».                                                                              Et c’est ce qui arrivera aux Etats-Unis si vous laissez tous ces abrutis amener le pays à la crise, si vous les laissez promettre aux gens monts-et-merveilles et le «paradis sur Terre», si vous les laissez déstabiliser votre économie, éliminer l’économie de libre-échange, et mettre un gouvernement «Big-Brother» à Washington, avec des dictateurs bienveillants du genre Walter Mondale qui vous promettront tout ce que vous voulez, peu importe que ces promesses soient tenues ou non.                                                                                             Il ira ensuite à Moscou baiser les pieds de la nouvelle génération de criminels communistes.                                                 Il donnera l’illusion d’avoir les choses bien en main et qu’il contrôle la situation. Mais la situation n’est pas sous contrôle. Elle est même épouvantablement hors de tout contrôle.                                                                                 La plupart des politiciens américains, la plupart des médias et le système éducatif forment une génération de gens qui croient vivre une période de paix.                            C’est faux! Les Etats-Unis sont en guerre. Une guerre non déclarée et totale, contre les principes et les fondements même de ce système. Et l’initiateur de cette guerre, ce n’est pas Andropov, bien sûr, c’est une guerre contre le système communiste mondial, aussi ridicule que cela paraisse – ou contre la conspiration communiste mondiale, que cela fasse peur aux gens, je m’en fiche. Et si vous n’avez pas peur maintenant, rien ne vous fera peur…                                                                          Il ne faut pas devenir paranoïaque à ce sujet.                                    A vrai dire, ce qui se passe actuellement, c’est que contrairement à moi, vous avez encore plusieurs années à vivre – à moins que l’Amérique ne se réveille – avec cette bombe à retardement. Et le désastre approche chaque seconde un peu plus. Et contrairement à moi, vous n’aurez nulle part où vous réfugier, à moins d’aller en Antarctique avec les pingouins. Ici, c’est le dernier pays de libertés, où tout reste possible.
– Et que faire alors? Que recommandez-vous aux Américains?
La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’il faut un effort national de grande ampleur pour éduquer les gens dans le sens des valeurs patriotiques, et ensuite, expliquer le réel danger du système socialiste, communiste, quel que soit son nom.
Le danger de l’ «Etat providence», du système «Big-Brother». (Note : comprendre marxisme culturel)
Si les gens ne réussissent pas à saisir l’imminence de ce danger et de cette évolution, rien n’aidera les Etats-Unis. Vous pouvez dire au revoir à vos libertés, à la liberté des homosexuels, aux droits des détenus etc…
Toutes vos libertés disparaîtront, elles seront carbonisées en quelques secondes, et vos précieuses vies avec.                                                                         Deuxièmement, au moins une partie de la population est convaincue que le danger est réel. Ils doivent forcer le gouvernement – et je ne parle pas d’envoyer des lettres, des pétitions ou d’autres nobles et belles activités de ce genre – Je parle bien de forcer le gouvernement à arrêter d’aider le communisme.
Mais encore une fois je vais enfoncer le clou car de très nombreuses personnes n’ont pas encore compris comment c’est établi le règne du marxisme culturel.
Le marxisme culturel souvent appelé le
Politiquement Correct ou pensée unique n'est le produit ni d'une évolution, ni celui d'une mode, ni de quelques miasmes que véhiculerait l'air du temps. Il est la mise en application d'un plan très élaboré qui remonte à Lénine et à Willi Münzenberg, (voir en cliquant ici mon livre: Note 9). Note 9 est entre autre chose une biographie de Wilhelm dit Willi Münzenberg personnage clé de l’histoire de l’édification du marxisme culturel qui a pleinement réussi dans nos sociétés occidentales et qu’ayant compris le phénomène, vous ne fassiez plus la confusion entre le «politiquement correct», le «système» qui ne sont que des facettes du marxisme culturel.
Après le rejet par les peuples d’Europe des stupides criminelles et prétendues «révolutions» communistes marxistes et bolcheviques de 1917-1919, l'Hongroise de Bela Cohen dit Kuhn, l'Allemande de Różalia Luksemburg dite Rosa Luxemburg (juive polonaise convertie à la religion séculière marxiste), et même la Russe de Lénine qui, à l'image de la Convention, ne survit que par la Terreur, Lénine est bien obligé de constater la «trahison» des peuples qui ne veulent en aucune façon «disposer d’eux même» c’est-à-dire devenir les esclaves des communistes.                                                                    Octave Garnier ami de Viktor Lvovitch Kibaltchitch dit Victor Serge un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» (Jules Bonnot : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: «tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA : Nouveau Parti Antisémite ou au PC-(F)) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela».
Lénine en bon communiste ordonne alors sur les conseils avisés de Münzenberg et de Lukàcs (tous les deux juifs Erev Rav convertis à la religion séculière marxiste; oui c’est bien de la  religion séculière marxiste dont je parle. C’est à Raymond Claude Ferdinand Aron juif issu d’une famille de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle qui fut l’un des plus grands intellectuels français du XXe siècle que l’on doit de savoir que le marxisme, est bien effectivement une religion séculière. Aron définira d’abord l’«intellectuel Français» comme étant «écrivain ou artiste, (…) l’homme des idées, savant ou ingénieur, l’homme de science» et dira que les intellectuels français, que j’appelle des intellocrates abrutiles, en fait les fameux compagnons de route du communisme, sont des «révolutionnaires» qui détestent une société qui leur donne un niveau de vie très confortable de petits bourgeois et ne nuit pas à leurs libertés. Leur antiaméricanisme extrêmement virulent leur fait trahir leur mission : un intellectuel devrait apaiser les passions. Au lieu de cela, ces personnes l’excitent, comme en témoigne des articles de Sartre, aux limites de l’antisémitisme, sur les Etats-Unis lors de l’affaire Rosenberg. Cette intelligentsia de gauche vomit l’Amérique, aime la haïr, mais elle se montre très indulgente avec l’URSS…En France, où l’enjeu est le communisme, ils prétendent dira Aron être les porte-parole de l’humanité entière et, de ce fait, tendent à aggraver les problèmes plutôt qu’à les résoudre. Le marxisme est là par Aron comparé à une religion. Et c’est pourquoi, parodiant la phrase de Marx «La religion est l’opium du peuple», Aron a intitulé son essai L’Opium des intellectuels. Il observe en effet qu’un rapprochement est plus que possible entre socialisme et religion. Le marxisme professe la victoire d’une classe élue, le fameux «prolétariat» qui sauvera l’humanité. Ce prophétisme condamne ce qui existe et dit ce qui sera. Il est une «religion séculière». CQFD.)
La création de cette religion séculière ne s’est pas faite en un jour.
Pour créer les conditions futures d’une révolution en répandant le marxisme et la subversion en Occident Lénine en 1922 convoque à l'Institut Marx-Engels de Moscow une réunion du Komintern dans le but d'explorer une autre voie, celle de la Révolution Marxiste Culturelle, telle que défendue par Lukács et Münzenberg, afin d'en clarifier le concept et d'en définir le mode d'emploi. Outre le patron Lénine, étaient présents Dzerjinski (créateur de la Tcheka, pendant la prise de pouvoir des bolcheviques, qui a causé plus de 10 millions de victimes, selon les calculs (qui incluent aussi dans ce chiffre les victimes des famines provoquées artificiellement), cet homme abominable est considéré comme l'un des artisans du système répressif désigné sous le nom de Terreur rouge. Sous la direction de Dzerjinski, et dans un contexte de répression généralisée de l'opposition, la Tchéka pratique à grande échelle la torture, les exécutions, les arrestations arbitraires et les déportations massives) et György Bernát Löwinger dit Georges Lukacs, fils d'un banquier juif hongrois, converti à la religion séculière marxiste qui proposait dans son ouvrage Eros and Civilisation que l'instinct sexuel soit utilisé comme arme de destruction massive. Il y avait aussi David Borisovich Goldendakh dit David Riazanov proche collaborateur politique de Léon Davidovitch Bronstein dit Trotsky fondateur l'Institut Marx-Engels, dont il est nommé directeur en 1920. Défendant l'autonomie des syndicats (contre l'avis du parti), il est écarté en 1921 de toute responsabilité politique. En 1930, il est envoyé en camp de travail par la police politique stalinienne. Plus tard libéré, il sera fusillé sur ordre de Staline le 25 janvier 1938. On doit à Goldendakh dit Riazanov de nombreuses annotations et commentaires sur l'œuvre de Marx et Engels. Par ailleurs, la publication par David Riazanov des manuscrits originaux de Marx a montré qu'Engels avait modifié les textes de ce dernier avant de les publier, en en altérant le sens. Quant à Münzenberg (Biographie à commander ici à la FNAC), le grand organisateur de la propagande bolchevique et du marxisme culturel dans le monde, il est convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature-même des peuples n'était au préalable radicalement transformée.
Il fallait, disait-il: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs aient été corrompues et la vie rendue impossible, pourrons-nous imposer la Dictature du Prolétariat».
En 1924 Lukacs sur ordre de Lénine s'établit lui aussi en Allemagne. Poursuivant l'exploration de la voie ouverte en 1922 à l'initiative de Lénine, il réunit autour de lui un groupe d'universitaires cosmopolites (la plupart sont des juifs Erev Rav convertis à la religion séculière marxiste) afin de définir la mise en œuvre du marxisme culturel par des méthodes subversives qui permettront de changer en douceur la nature des peuples d’Occident en vue de leur soumission totale.
Ce think tank (le mot anglais de think tank, en français un groupe de réflexion ou laboratoire d'idées qui est généralement une structure en principe de droit privé, indépendante de l'État ou de toute autre puissance, aussi en principe à but non lucratif, regroupant des «experts» et dont l'activité principale est généralement de produire des études et d'élaborer des propositions, le plus souvent dans le domaine des politiques publiques et de l'économie est le mot le plus juste pour qualifier les marxistes réunis par Lukacs sur une base non professionnelle pour réfléchir aux méthodes à mettre en œuvre pour pourrir la société occidentale) ce groupe se réunissait dans les années 20 à l’Institut für Sozialforschung qui sera plus tard connu sous le nom d'École de Francfort groupe fondateur des bases du marxisme culturel. Ces «intellectuels» communistes s’appellent Lukacs, Horkheimer, Wiesengrund-Adorno, Benjamin, Postone, Fromm, Pollock, Neumann, Jay, Wiggersrhaus, Marcuse, Habermas. Les théories de Freud, transposées de l'individu à la société, ont également contribué à ce qui fut aussi appelé le Freudo-Marxisme.
La stratégie marxiste culturelle consiste à gangrener les sociétés d'Occident suivant le scenario imaginé par Lénine avec Münzenberg, Gramsci, Lukacs, etc. scenario maintenant imposé par la Dictature du Politiquement Correct ou pensée unique par :                                      L’enseignement du sexe, de l'homosexualité et de la transsexualité aux enfants.
L’immigration exotique massive afin de détruire l'identité des peuples.
Le dénigrement des nations.
La destruction des églises et de la morale chrétienne.
Un système judiciaire biaisé qui culpabilise les victimes au profit des criminels.
Une dépendance à un état «providence» et à ses allocations publiques.
Le contrôle et l'abêtissement des medias.
Substitution à la famille patriarcale de la famille monoparentale, voire homoparentale, afin d'éliminer l'influence néfaste du mâle blanc.
La création par des marxistes occidentaux (le marxisme culturel est aussi appelé «marxisme occidental») aux ordres du Komintern (l’Internationale communiste) de l’institut des études sociales de Frankfort (Institut für Sozialforschung) chargé de la subversion de la société capitaliste occidentale dans les années 20 et 30 est nommé aujourd’hui le marxisme culturel qui migrera vers les USA après l’arrivée au pouvoir d’Adolph Hitler. Ce poison idéologique a alors gagné les Universités américaines de Berkeley, Columbia, Princeton, et Brandeis. A partir de ces institutions le poison est passé dans le système d’éducation en Occident avec une véritable éclosion à partir des années 60 grâce à une nouvelle ingénierie sociale. Il gagnera aussi Hollywood et la culture cinématographique. L’idéologie marxiste culturelle de l`École de Frankfort contamine alors des générations entières grâce aussi aux moyens de communications modernes. Des idées basées sur les idéologies de Hegel, Marx, Nietzsche, Freud, and Weber.

Les objectifs de subversions de l’École de Francfort et par conséquent du politiquement correct ou marxisme culturel.
1. La création d’accusations racistes.
2. Un changement continuel afin de créer la confusion.
3. L’enseignement du sexe et de l’homosexualité aux enfants.
4. Saboter l’autorité des écoles et des professeurs.
5. Immigration massive pour détruire les identités nationales.
6. La promotion de l`alcool et de la beuverie.
7. Action de déchristianisation des écoles et des institutions qui a indirectement favorisé la culture de mort marxiste culturelle en créant le vide nécessaire par ses violentes attaques contre l’Église.
8. Un système de justice peu fiable et biaisé contre la victime du crime.
9. La dépendance sur aux contributions sociales de l`état
10. Contrôler les médias et rendre la qualité de l’information médiocre.
11. Encourager la destruction de la cellule familiale
12. Changer la relation traditionnelle entre l`homme et la femme, recherche du plaisir, attaquer l’autorité du père.
La culture de mort marxiste culturelle en Occident est aujourd`hui celle de la libéralisation de la contraception, de l’avortement, de la déchristianisation, du féminisme radical, de la pornographie, de la promotion de l’homosexualité, de la bisexualité, de la polygamie, de la destruction des valeurs de la famille, de la destruction de la nation.                       N'avez-vous pas l'impression que le film que nous rabâche jours après jours les «associations», les manuels scolaires, la télévision, la presse et la radio (les merdias) est, à la virgule près, en tout point conforme au scenario de Münzenberg «Pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue ?».
Après les deux guerres mondiales, après la chute du mur de Berlin et l'ouverture des frontières de l'ancien bloc de l'Est en 1989, il semble que la question du marxisme culturel relève du passé.
Quel que soit le jugement que l'on porte sur l'évolution de la Russie, force est de constater que bien des changements y sont intervenus : les persécutions brutales contre les catholiques ont disparu. Les opposants ne sont plus envoyés dans les goulags. L'empire soviétique a disparu et le système économique collectiviste a été démantelé. La Russie ne semble plus à même de répandre ses erreurs, de provoquer des guerres et des persécutions. La peur a disparu et la paix paraît s'être imposée. L'ultra-libéralisme triomphe en maître.
Mais le système communisme et le marxisme culturel sont des hydres à plusieurs têtes. Au sujet de la religion, il prêche l'athéisme : l'homme ne doit pas s'occuper de D’, qui n'existe pas (Pour certains Dieu est mort :
Théorie de la mort de Dieu). Au sujet de la philosophie, il enseigne le marxisme : la pensée vient de la matière et évolue par dialectique contradictoire (thèse, antithèse, synthèse). En histoire, le communisme considère la vie passée des hommes selon la dialectique marxiste. En sociologie et en politique, il prétend à l'abolition de la propriété privée affirmant le totalitarisme où les hommes sont des unités juxtaposées au service de l'État, lequel prend en charge les besoins des individus pour les gérer et les organiser. En économie, le communisme préconise le collectivisme d'État où les hommes sont de simples moyens de production asservis au service de l'État totalitaire.
Le marxisme culturel est le refus total de tout ce qui est spirituel ou conduit à une vie spirituelle. Voici quelques-unes de ses directives.
«La formation d'une conception scientifique du monde est la tâche idéologique la plus combative qui soit. Sa réussite implique notamment le développement le plus large possible de l'éducation athéiste. Lutter contre la religion, c'est lutter non pas contre les croyants, mais contre l'idéologie religieuse. La propagande athéiste doit être fondée sur la dénonciation du caractère anti-scientifique de l'idéologie religieuse : cette idéologie constitue un danger permanent qui tient aux idées. Notre propagande antireligieuse ne sera réellement efficace que si elle tient compte de tous les aspects de la religion [...] La voie du succès est celle du travail éducatif systématique, intéressant, varié dans ses formes, conçu en tenant compte des particularités des divers groupes de la population, englobant tous les aspects de la vie des hommes. Il ne faut laisser aux ecclésiastiques aucune faille qui leur permette d'atteindre les âmes. Il faut [...] exercer une influence athéiste sur l'homme dès son plus jeune âge [...]» (Rapport du président de la «Commission idéologique près le Comité central du Parti Communiste de l'Union Soviétique», les 25-26 nov. 1963).

Nous avons remarqué que le MC était une religion séculière, un de ses dogmes s’appelle «Laïcité» en fait une religion d’état. Mais on peut observer que l’utilisation d’une religion civile pour donner à l'État une assise solide risque fort de se retourner contre la croyance religieuse elle-même, puisqu’elle débouche sur une instrumentalisation de la religion à des fins purement politiques. Or cette instrumentalisation, cette subordination de la religion à la politique, est nuisible à la liberté de conscience et de religion qui suppose, pour pouvoir respirer, le refus de toute religion d’État qui serait imposée de l’extérieur aux citoyens, car imposer une religion civile, c'est violer les droits de la conscience individuelle à choisir librement sa propre religion. En outre, toute religion véritable se fonde sur une Révélation ou sur une expérience qui nous met en contact avec l'absolu, le divin (quelle que soit la forme qu'on donne à celui-ci), si bien qu'il semble difficile de constituer une religion par un simple décret, car on ne peut croire à ce qu'on a soi-même institué. Même les religions antiques, qui sont des religions civiles, prétendent se fonder sur une Tradition dont l'origine immémoriale échappe à l'institution humaine. Alors que la loi de 1905 visait prioritairement à garantir la liberté de conscience et de religion, et à rendre possible la coexistence pacifique des religions, le projet émancipateur de la République actuelle, qui rejoint dès lors la critique que Marx (vous voyez comme on en arrive vite au marxisme) faisait déjà de la religion dans La Question juive, est désormais de considérer que les croyances religieuses enferment les individus dans des particularismes nocifs, qui les empêchent d'accéder pleinement au statut de «citoyen» puisque l'appartenance confessionnelle maintient une division, à l'intérieur de l'homme, entre le croyant (dont les croyances, particulières, le sépare des autres hommes) et le citoyen (dont l'intégration au corps de la nation se trouve du côté de l'universel et de la raison). En d'autres termes, il ne s'agit plus, conformément à l'esprit de la loi de 1905, de maintenir une division entre la sphère publique (celle du citoyen) et la sphère privée (celle où chacun est libre d'adhérer à telle ou telle confession), mais il s'agit plutôt de dépouiller l'individu de ses croyances, héritées de sa famille, pour en faire un citoyen ne reconnaissant plus d'autres valeurs que celles que lui inculquera, via l'école, la République devenue Marxiste Culturelle. Ainsi sera mis fin à la division de l'homme privé et du citoyen, que Marx estimait ruineuse pour l'unité sociale, puisqu'elle empêche l'homme de s'émanciper de ses particularismes. Le 18 janvier 2015, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, qui était l'invité du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro, affirmait que «la religion suprême pour chacun d'entre nous, c'est la religion de la République», sans faire broncher un seul des merdiatocrasseux présents, tandis que François Hollande affirmait, de son côté, «qu'il n'y a rien au-dessus de la République». Cette religion séculière MC aura aussi ses «martyrs», puisqu'au moment même où se développe un laïcisme virulent à l'égard des religions traditionnelles et du christianisme en particulier, la République et ses merdias firent des journalopes de Charlie Hebdo des saints laïcs, pour lesquels il est blasphématoire d’émettre la moindre critique. À tel point qu'on a même vu une «journaliste», Nathalie saint Cricq, déclarer au journal d'Antenne 2 dans un élan de prosélytisme marxiste culturel digne d'un agent du KGB qu’il fallait «repérer et traiter ceux qui ne sont pas Charlie» ! Comme l'écrit Alain Ledain (engagé dans l'Eglise Protestante Evangélique de Montreuil où il animait, lors des cultes, une chronique d'éthique sociale, membre de l'Eglise Baptiste de Pontault-Combault, professeur de mathématiques) «on admet certes le droit au blasphème, certes oui, mais pas contre Charlie ! La République est décidément incurablement religieuse». Et la peur, distillée par les médias à propos du terrorisme, justifie alors «la religion de la République», au nom de la «cohésion nationale». Encore une fois CQFD.
Mais dites-vous bien que le marxisme culturel a vaincu ! Que tout retour est impossible.
Au début je vous donnais mes conclusions :
1) Le progrès technologique et la société devenue marxiste culturelle et multiculturaliste nous conduit à un désastre inéluctable;
2) Seul l'effondrement de la civilisation moderne pourrait empêcher le désastre, mais c’est trop tard, le désastre est à nos portes ;
3) Le marxisme culturel est la première ligne de défense de la Société technologique contre l’homme et les lois naturelles;
4) Ce qu'il faudrait, c'est un mouvement par exemple libertarien, voué à l'éradication de la société technologique, consumériste et marxiste culturelle qui prendrait des mesures pour tenir à l'écart tous les marxistes culturels et assimilés (socialistes, communistes, droite molle, centre etc. etc.) mais encore une fois il est bien trop tard.
On a vu que L'horloge de la fin du monde nous donne plus que 2,7 minutes avant la fin.
A suivre

Note 9 ? Une perle rare de l’ethnographie politique ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement marxiste culturel des hommes politiques d’aujourd’hui. Note 9 le livre qui déchire à donf !
Michel Alain Labet de Bornay.

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