vendredi 7 janvier 2011

La gauche Française ? Des antisémites !

Première partie.

In limine litis : A ceux qui, staliniens et autres socialistes accuseraient cet article  d'être philosocialistenational, aux hitlériens, qui accuseraient cet article d'être communistophile, aux militants anars ahuris qui m’accuserait de sottisier, aux imams d’Epinal, mollahs allah va comme j’te pousse, ayatollah pédophiles et autres musulmerdeux, curés pédérastes, rabbins, calotins, messies, mais non, Thomistes, Francs maçons, faux témoins qui n’ont pas vu l’accident, j’arrête là, mais la liste est longue, vous ne le croyez pas ? Si ! Il y a des pauvres crétins au QI de mollusque, aveuglés par leur mauvaise foi, leur imbécillité et leurs délires -, je leur adresse le franc salut de Cambronne. Inutile d'envoyer des mails, de faire des commentaires, garder vos excréments chez vous ! Par contre, si vous contester la réalité de faits rapportés avec des preuves, ou que vous jugez une interprétation abusive ou non fondée, les messages critiques constructifs sont les bienvenus et il leur sera répondu.

Avant propos: C'est nous les gars de la marine !






Marine Lepen aurait comparé l’islam à une invasion de l’Europe, elle n’est pas la seule :

Plus de 40 %des Français l'approuve !!!  Et 54% des électeurs de l'UMP.



Rassurez vous Madame Le Pen, Victor Hugo a écrit « Lorsque son temps est venu, une idée est plus forte qu'une armée d'invasion ! »


Madame Marine Le Pen, candidate à la présidence du Front National aurait ; aux dires de la « presse » nauséabonde islamo marxiste d’ultra gauche, fait un prétendu lien entre "les prières " (que moi, je qualifie de crétineries coraniques), de musulmans dans les rues de la république et l'occupation de la France par l'Allemagne Socialiste Nationale (Que des nostalgiques de la période, disent, s’appeler en argot Berlinois : « Nazie » !) Pendant la Seconde guerre mondiale.

Des propos dénoncés par la fameuse « classe » politique de la bande des quatre malfaiteurs (Avec des nuances toutefois) et par une « presse » tel le Post.fr émanation du Monde, à la botte des nazislamistes antisémites !

Le comité central du Parti Communiste Français, son bureau politique et son secrétaire général le camarade Pierre Laurent (*1) veulent la « condamnation » de Madame Le Pen.

Au PCF, on s'habitue à sentir de la bouche mais le plus difficile c'est d’habituer les autres aux odeurs d’égouts et de résidus de bidets, de raciste anti blanc et antisémites qui sortent de leurs museaux baveurs. 

Puisse cet article réveillez un peu la France de son état de servilité au marxisme culturel pernicieux et nazislamiste qui la mène à la ruine et au malheur !


Dés 1850, le publiciste Alfred Sudre écrivait que : « le communisme  fait de l’homme une bête sensuelle, gourmande et lubrique, traînant son ventre appesanti par des sales voluptés »


Dans un communiqué non signé, le Parti communiste français (PCF) dans son ensemble donc (Y compris Madame la camarade marxiste Aline Parmentier du bureau national du PCF faisant partie des fameux 12 de Mulhouse, mise en examen pour incitation à la haine raciale antisémite ! Jugement en Février 2011) ; écrit :
En comparant les « prières de rue » des musulmans à l’occupation pendant la seconde guerre mondiale, Marine Le Pen, déplace les frontières de l’ignoble. Ces déclarations soulèvent le cœur.


Le Pen père et fille sont prêts à toutes les provocations, surtout les plus répugnantes pour assouvir leur soif de pouvoir. Ils ont pour seul mot d’ordre la haine de l’autre, ce qui n’est jamais que la haine de l’Homme.
Le PCF demande la condamnation de ces propos injurieux et racistes. Le Front national est une formation politique xénophobe dont le discours fascisant, raciste et négationniste a été de nombreuses fois condamné par la justice. Le service public audiovisuel ne doit pas se déshonorer en faisant la promotion d’un discours raciste et xénophobe qui fait honte à notre pays.
Parti communiste français,
Paris, le 11 décembre 2010.


 In limine litis ; Entre 1939 et 1942 les dirigeants communistes Français et les « militants » de gauche d’alors, sont tous membres du fameux komintern bolchevique. Parti communiste qui est farci d’antisémites, comme le traître et assassin Jacques Duclos qui dénonçait pour complaire à l’occupant allié de circonstance de son immonde parti, le ”juif Mandel”, ministre de l’Intérieur sous Paul Reynaud. Ces déclarations des communistes de l’époque me soulèvent le cœur.
M. Albert Sarraut le socialiste, ministre de l’Intérieur, (et pas du Maréchal) s’écriait même en séance du Sénat, le 19 mars 1940 :
“La propagande communiste et hitlérienne - elles ne font qu’une - la propagande ennemie. J’ai eu l’occasion de m’en expliquer devant votre commission de législation criminelle et civile. Le chef de cette propagande est le chancelier Hitler, dont le bolchevik est le “lieutenant” s’il était besoin de faire la preuve de cette affirmation, il suffirait d’indiquer avec le fait que ce sont les avions allemands qui éparpillent les tracts communistes, cet autre fait que les postes de radio et de propagande communiste, “La Voix de la Paix”, “Radio Humanité” qui sont répétées, lancent leurs émissions du territoire allemand.” (Journal Officiel du 20 mars 1940, page 266).
En écho au fameux "Travail, Famille, patrie" du Maréchal Pétain, le Comité confédéral national de la CGT proclamait, le 20 juillet 1940 : "La CGT se donne pour but de défendre les droits sacrés du travail, d'accroître le niveau de vie des travailleurs, de protéger la famille de ces derniers et de collaborer à la prospérité nationale" (Source :La collaboration... à gauche aussi. Rémi Handourtzel et Cyril Buffet. Ed Perrin, Paris 1989, p 104)
Les libertaires, anarchistes et libres-penseurs n’ont été simplement que des « pacifistes », et n'ont vu la bête immonde socialiste nationale qu'après qu'elle ait été terrassée.
Après la signature du pacte germano-soviétique, les communistes se désolidarisent de leurs alliés de gauche et prêchent la paix avec l'Allemagne. Mais ils ont du mal à convaincre de leur bonne volonté de collaborer, d'autant plus que les Allemands n'en veulent pas.


Le député communiste François Billoux demande à être entendu comme témoin à charge contre Blum et Daladier (président du Conseil socialiste) au procès de Riom qui devait juger les responsables de la guerre et de la défaite française. François Billoux présente les communistes comme les ennemis de l'impérialisme britannique et les seuls précurseurs du pétainisme. (*2)

Aujourd’hui c’est depuis la Guerre des Six Jours de juin 1967, au cours de laquelle Israël triomphe de ses voisins arabes, alliés politiques de l'Union soviétique, ressentie comme un échec cuisant qui explique l’antisémitisme forcené des communistes. En août 1967, une campagne de propagande dénonçant le sionisme et Israël est lancée dans les médias soviétiques.

Aucune distinction n'est faite entre les sionistes et les juifs. Pour discréditer la politique d'Israël, des stéréotypes antisémites vieux de plusieurs siècles réapparaissent dans les caricatures politiques, des livres et des émissions de télévision.
 Des accusations antisémites de « conspiration juive mondiale » refont leur apparition dans des expressions comme « le réseau sioniste international », qui s'efforce « en coulisse » de « contrôler le monde », avec l'aide des « requins de la politique et de la finance ». Dès octobre 1966, à une séance des Nations Unies, l'Union soviétique lance un thème particulièrement venimeux : « sionisme = nazisme ». Cet assaut de propagande trouve un auditoire, car la population n'a jamais été informée du sort des juifs sous l'occupation Socialiste Nationale Allemande.

Avant la révolution d’octobre, les communistes pensaient qu’il suffirait que le communisme s’installe dans un pays pour qu’immédiatement les «travailleurs» du reste du monde ouvrent les «yeux» et deviennent adeptes de leur idéologie. D’un autre côté, avant la première guerre mondiale, ils pensaient aussi, qu’une telle guerre affaiblirait suffisamment les régimes «bourgeois» pour libérer les forces révolutionnaires. Enfin, en dépit de campagnes de propagande virulentes et incessantes, ils n’arrivaient pas à augmenter significativement le nombre de leurs adeptes. Au lieu d’en conclure que les gens ne voulaient pas du communisme, car cette idéologie ne leur paraissait pas crédible à juste raison, ils en ont conclu que les gens rejetaient le communisme car leur identité culturelle était fondamentalement hostile au communisme.

Cette réaction communiste peut paraître surprenante de prime abord car on pourrait penser qu’ils auraient dû tirer la conclusion que leur idéologie n’était pas valable, mais il n’en est rien, car demander à un communiste d’être honnête, c’est comme de demander à un fanatique catholique de cracher sur la croix.  La pensée communiste est définie par deux caractéristiques principales, d’une part, la conviction de représenter le Bien absolu et d’autre part, la certitude qu’un complot est organisé de manière permanente contre les «opprimés» afin de les empêcher de se révolter contre le système. En fait c’est une caractéristique de l’éthique judéo chrétienne classique : la lutte du bien contre les forces obscures du mal. C’est pourquoi les néo communistes d’Attac, de la LCR, du Mrap et autres groupuscules parasites sociaux et terroristes ont besoin d’opprimés en permanence, pour justifier de leur existence même. Chez nous, des damnés de la terre, ils n’y en à plus depuis longtemps, mais des populations d’immigrés les ont remplacé à la grande joie des néo cocos, mais cette fois si ; ça ne fonctionne toujours pas, car ces fameux sous prolétaires sont en majorité des Musulmans et pour convertir un musulman à une autre idéologie, il faut ce lever de bonne heure et le grand soir de la révolution va ce perdre dans les matins radieux de l’appel des muezins.

Les pays de l'Europe de l'Est et la Russie ont connu des changements radicaux depuis l'effondrement du système communiste à parti unique. Pour la première fois depuis des générations règne la liberté d'expression : la presse n'est plus censurée et sert de tribune à de libres débats. Un grand nombre de nouveaux journaux et revues, reflétant les opinions politiques les plus diverses, apparaissent dans les rues. Mais cette nouvelle liberté d'expression a son revers : des publications antisémites et racistes font elles aussi leur apparition, souvent diffusées par des organisations nationalistes extrémistes rouges.


On pourrait penser que la pensée politiquement correcte des communiste est juste une mode apparue spontanément en occident lors de la libération des mœurs des années 60 et 70. Or, il n’en est rien et ne nous y trompons pas. Le politiquement correct est une arme de guerre idéologique dirigée contre la culture occidentale qui a une très longue histoire remontant aux années 20 et qui s’appelle le marxisme culturel véritable terrorisme insidieux.
Il faut pour comprendre le problème,réaliser que sous l’ancien régime, les deux composantes du pouvoir, la monarchie et l’église, ont constamment dispensé une propagande visant à légitimer le régime et ont instauré un système d’«éducation» des masses visant à maintenir leur emprise sur le peuple. Ce système et cette éthique judéo chrétienne a d’ailleurs eu des effets dévastateurs en Europe puisqu’il est largement responsable de la folie idéologique qui s’en est emparée depuis la Révolution française. On oublie souvent qu’Hitler est né en Autriche, pays catholique de contre-réforme.

La contre-réforme est une idéologie développée conjointement par la monarchie et l’Église espagnole qui visait à s’opposer à la propagation du protestantisme en formant des esprits rigides, dogmatiques, intolérants, fermés au débat, dénués d’esprit critique, manichéens et remplis de certitudes. Cette idéologie favorise le développement d’un extrémisme et d’une radicalité qui ne demandent qu’à s’exprimer dès lors que les individus ne sont plus encadrés. C’est ce qui s’est produit pendant la Révolution française et lorsque la « démocratie capitaliste » a détruit l’autoritarisme ancien.

En passant, le contre réformisme est responsable du fait que les innovations ayant menées au monde moderne soient apparues dans le monde protestant en particulier anglo saxon ce qui a entraîné le long déclin de l’Europe du Sud, restée catholique, qui jusque là, dominait culturellement et économiquement une Europe du Nord pauvre.

Malheureusement, le fait d’avoir très partiellement et momentanément raison a empêché les marxistes de prendre conscience que leur idéologie était aussi rejetée car erronée. Elle les a surtout empêché de réaliser que le meilleur outil de lutte contre cet obscurantisme n’était pas le marxisme mais le libertarianisme anarcho capitaliste. Au contraire, ils en ont tiré la conclusion qu’il convenait de détruire la culture occidentale pour la remplacer par des valeurs «marxistes». Ils ont baptisé cette «doctrine» marxisme culturel et elle a été théorisée notamment par l’italien Gramsci et les allemands de l’école de Francfort. L’objectif du marxisme culturel, substitut et relais du marxisme économique en échec, est donc de à créer un camp de rééducation géant visant à remplacer l’homo occidentalus par l’homo socialistus. En clair, le marxisme culturel vise, comme la contre-réforme, à établir un totalitarisme idéologique.
Pour réaliser leur projet, les marxistes culturels ont mis en œuvre les solutions préconisées par Gramsci: infiltrer les lieux dans lesquels sont dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’école, l’église, la justice, les médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs».

En plus de l’entrisme, les marxistes ont utilisé leur arme préférée: la démagogie. Dans toutes les sociétés, il y a des motifs de mécontentement. Les subversifs marxistes les exploitent par la propagande en les amplifiant de façon à attirer de nouveaux fidèles. Le marxisme économique s’était spécialisé dans l’exploitation de la misère ouvrière pour accroître son cheptel. Le marxisme culturel a aussi utilisé la démagogie pour se trouver de nouveaux adeptes. Ils ont essayé et essaye toujours d’exploiter le ressentiment des noirs américains, l’ostracisme qui frappe les homosexuels, le statut de la femme, les problèmes d’environnement et ils ont partiellement réussi avec les immigrés, mais le vent tourne et il semble bien avoir forgé un gros bâton pour ce faire battre, ayant comme toujours choisi le mauvais combat …

Dans tous les cas, l’objectif est et reste de se poser en défenseur des opprimés, vrais ou faux (ils ne reculent pas devant l’idée de fabriquer de faux opprimés, par exemple, en France avec les immigrés) pour se donner une image sympathique et en profiter pour détruire les valeurs honnies, par exemple la famille, et les remplacer par d’autres. Les marxistes culturels sont donc des manipulateurs qui exploitent le ressentiment d’autrui pour atteindre leurs objectifs. Pourtant derrière chacune des actions des marxistes culturels se trouve un ou plusieurs objectifs très précis visant à leur permettre d’instaurer leur règne.

La lutte excessive pour les «droits» des homosexuels ou des femmes contre leur mari leur permet de détruire l’institution familiale, cercle important de la transmission des valeurs et aussi de favoriser l’hyper féminisation de la société afin de réduire son potentiel de défense face à l’agression.

La lutte pour l’ «antiracisme» et le «métissage» et la promotion du «multiculturalisme» leur permet de détruire l’identité nationale donc la nation, c'est-à-dire un lieu majeur de transmission des valeurs. L’immigrationnisme a le même objectif, remplacer un peuple rétif mais instruit par un peuple importé peu éduqué donc manipulable. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les gauchistes ne tiennent pas à voir arriver des migrants éduqués donc non manipulables. De plus, les gauchistes et autres néos communistes ne souhaitent pas voir arriver des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne permettrait pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi.

La lutte contre les «pollueurs» vise à ruiner la productivité du capitalisme en le soumettant à des normes coûteuses et à paralyser son développement en déconsidérant le progrès économique. Elle vise aussi à promouvoir le collectivisme, puisqu’au nom de la lutte contre la pollution, on vise à supprimer le transport individuel au profit du transport collectif.

La lutte contre les exactions vraies ou supposées de la police et de la justice, ainsi que contre les forces d’«ordre», vise à détruire les résistances de la société face à une prise de pouvoir violente et aussi à essayer de démontrer que la démocratie est inefficace pour régler les problèmes.

La lutte pour la «paix» mâtinée d’antimilitarisme vise aussi à détruire une force d’ordre et surtout à inhiber les défenses de l’occident contre les agressions extérieures.



La lutte contre l’«impérialisme américain» vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler. Ce qui provient aussi de leur incapacité à combattre le marxisme culturel. Le modèle français et son corollaire, le nationalisme économique, est probablement un concept «marketé» par les marxistes français pour séduire les imbéciles les fameux « idiots utiles » comme la fameuse bande des quatre , les attirer sur leurs positions anti-occidentales et mettre à profit l’étatisme qu’ils partagent avec les communistes. Cette fusion entre élites françaises et marxistes politiques est réellement fascinante car elle a atteint un point où les deux partagent les mêmes analyses que ce soit sur la politique étrangère, sur le rejet du libre débat et de la démocratie libérale, au profit d’un post-féodalisme vaguement démocratisé.

La lutte pour les «droits de l’homme» vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le droit.

La liste de ces «luttes» n’est pas exhaustive et mériterait d’être étudiée plus en détail mais elles visent toutes les mêmes objectifs:
• Détruire les valeurs honnies,
• Affaiblir le « capitalisme »,
• Affaiblir la démocratie libérale,
• Affaiblir les résistances de la société face aux agressions afin de faciliter la prise de pouvoir,
• Diviser la société en attisant les haines internes afin de faciliter la prise du pouvoir ce qu’ils ne pourraient pas faire par les élections,
• Détruire l’individualisme qui permet la résistance, instaurer le pessimisme afin de faire prévaloir la résignation,
• Essayer de dominer en culpabilisant,
• Détruire l’esprit critique.




Et tout cela est fait en s’abritant derrière des valeurs nobles mais avec pour objectif de supprimer la liberté individuelle et d’instaurer un totalitarisme acceptable car dissimulé derrière un masque de moralité.

Dans le marxisme traditionnel, le pouvoir du socialisme est garanti par la dictature du prolétariat sur les autres classes. Dans le marxisme culturel, une autre classe est chargée de maintenir la dictature sur la société, elle est composée de pseudos intellectuels, de juges, d’enseignants ou « d’experts » auto proclamés, de journalistes, de leaders d’opinion, de « présidents » d’associations, et même de politiciens qui sont chargés de faire appliquer cette ligne du parti et de diffuser l’idéologie bien-pensante. La dictature du prolétariat est devenue la dictature du bien-pensariat.

Ce «bien-pensariat» utilise ses positions d’influence pour faire avancer son agenda consistant à promouvoir leurs «vérités» et le «bien» par le mensonge et la culpabilisation. Ceux qui s’opposent à ces «vérités» ou à ce «bien» sont immédiatement victimes de la version moderne de l’inquisition, c'est-à-dire la vague de dénigrement et de calomnie politico médiatique qui ne permet que trois options: la «repentance», c'est-à-dire la conversion,(On le voit très bien dans tous les procès intentés par les mrapistofurieux, qui si les prévenus supposés fachos, ne se repentent pas faire l’objet d’une vague de qualificatifs haineux de la part de ces néo marxistes ! La «mort», c'est-à-dire, l’ostracisme et la mort par l’oubli ou l’exil. Cette technique est exactement la même que celle qu’employait l’inquisition contre les juifs à qui on laissait trois choix: se convertir, rester et mourir ou partir pour survivre.
La propagande marxiste d'aujourd'hui trouve un terrain encore plus fertile car les pays anciennement communistes n'ont jamais procédé à une évaluation autocritique des actes d'antisémitisme commis au cours de leur histoire. En Russie, par exemple, les programmes scolaires ont toujours passé sous silence la discrimination et la persécution dont la communauté juive russe a fait l'objet. Dans l'étude de la Seconde Guerre mondiale, aucune allusion n'est faite à la déportation systématique des citoyens juifs par les occupants allemands, sans parler du soutien dont ces derniers bénéficièrent parfois de la part de collaborateurs locaux. Les anciens gouvernements communistes contribuaient même à renforcer les préjugés antisémites : pendant des années et encore aujourd’hui dans des journaux et des revues, à la radio et à la télévision, dans des livres et des conférences, un torrent d'idées antisémites se répandent sous couvert d'antisionisme.


L'archéologie de cet antisémitisme marxiste permet de repérer un article datant de 1960, publié dans  Programme communiste, la revue d'une branche de l'extrême gauche marxiste, dite « bordiguiste », du nom d'Amadeo Bordiga, un des fondateurs du Parti communiste italien. Dans cet article, intitulé « Auschwitz, ou le grand alibi », l'avant-garde autoproclamée de la révolution bolchevique que constitue ce groupe ne nie pas la réalité du génocide perpétré contre les juifs. Mais elle explique que celui-ci a été utilisé par les impérialistes vainqueurs des nazis comme un alibi destiné à duper les « prolétaires » en leur faisant croire à une différence, de fait fictive, entre démocraties et régimes fascistes. Pour ces bordiguistes, en effet, la pire conséquence du fascisme est bien cette idéologie antifasciste, produite par le capitalisme.
Mais bien sur il n’y a pas qu’une cloche au PCF ; ainsi le député du Rhône,ancien maire communiste de Vénissieux, André Gerin, estime que Marine Le Pen "parle d'un vrai problème ", même si elle "renoue avec les polémiques du Front National".
"L'indignation de droite à gauche est feinte", observe justement le camarade Gerin. Merci Monsieur Gerin pour cette vérité première.

Fin de la première partie.

A suivre

Troisième partie Notes de 1 à 4

Quatrième partie Note 4 Liste des membres du gouvernement de Vichy

Cinquième et dernière partie Note 5 à 8
Un article par Michel Alain Labet de Bornay



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