dimanche 19 octobre 2008

Torture vous avez dit TORTURE ?

Torture : (nom commun, trop commun, féminin, mais ce n'est pas de ma faute.)

Bien plus que le costume trois pièces ou la pince à vélo, c'est la pratique de la torture qui permet de distinguer à coup sûr l'homme de la bête communiste. Voir : http://www.chez.com/archives/

Il fallut attendre l'avènement du marxisme léninisme pour que la pratique de la torture atteigne un degré de raffinement enfin digne de notre civilisation. Aujourd'hui encore, quand on fait l'inventaire des ustensiles de cuisine que les balaises du Staline fan Club n'hésitaient pas à enfoncer sous les ongles des hérétiques, ce n'est pas sans une légitime appréhension qu'on va chez sa manucure.

Il existe une torture pour laquelle ni le MRAP et autres enculés de saloperies rouges, ni la LDH ou la LICRA ne se sont jamais élevés, c’est celle pratiquées encore aujourd’hui dans les dictatures marxistes communistes.

La camarade communiste Annie Kriegel, ancêtre des pourritures rouges antisémites et responsable de l'idéologie de la fédération PCF de Paris en 1953, au sujet du fameux « complot ( antisémite rouge) dit : des blouses blanches » en URSS marxiste parla de "médecins terroristes", complices du "sionisme" et « approuva l’emploi des tortures pour extorquer aux "assassins en blouse blanche » " des aveux fantasmagoriques, prélude à une "solution finale" pogromiste ».

Et ça continue encore et encore……………. Voir : http://hanoi.not.free.fr/index.htm


Hoàng Van Chi décrit cinq tortures pendant la Résistance (1946 - 1954) :

La victime doit s’agenouiller, les deux bras soulevant une caisse lourde de pierres placée sur la tête.

La victime est suspendue aux cous de pieds ou aux poignets par une corde, qui est attachée sur une poutre horizontale. Montée, descente, coups et interrogatoire, de temps en temps chute libre.

Enroulement d'un chiffon imbibé d'huile autour des pouces et allumage.

La victime enfermée dans une cage est immergée dans l'eau pendant quelques minutes, puis remontée, jusqu'à l'aveu final.

La victime a ses doigts entre les mâchoires d'un étau, qui est serré jusqu'à l'aveu terminal.


Bùi Tin :

On enfermait notamment les prisonniers dans des barils métalliques, qu'on battait comme des tambours, jusqu'à ce que le bruit insupportable fasse craquer les suspects et les pousse à avouer n'importe quoi.



Vu Thu Hiên décrit trois tortures au camp de rééducation de la Porte du Ciel (Công Troi) dans la province Hà Giang :

Fermeture des ailes de fée (Khoa canh tiên).

Le prisonnier a les bras étendus tirés vers l'arrière jusqu'à ce que les poignets se touchent, à ce moment là les menottes sont fermées au niveau des coudes. Avec cette fermeture, la cage thoracique du prisonnier est très tendue et très douloureuse. Certains ne supportent que quelques minutes puis perdent connaissance, mais d'autres peuvent supporter des heures.


Descente dans la fosse (Ha huyêt) :

Le prisonnier couché sur une planche fers aux pieds, la planche est descendue dans la fosse, qui est ensuite fermée par un couvercle. Il n'y a pas d'air dans la fosse, le prisonnier doit ouvrir largement sa bouche comme un poisson pour inspirer l'oxygène.


Le plus horrible est la cangue aux cous de pieds (Cùm hôp).

Ce sont deux planches de bois échancrées selon les sections des jambes. Le prisonnier est sûr de mourir, parce que les échancrures sont très petites, quand la planche supérieure est abaissée, le prisonnier pousse un cri, puis perd connaissance immédiatement - fracture comminutive et hématome des extrémités inférieures des tibias et péronés.

Ayant la cangue aux pieds, le prisonnier mourra dans deux jours, au maximum dans une semaine. Mais un prisonnier agonise pendant plus de vingt jours, le Comité des Surveillants doit faire le rapport devant tout le camp : "Le nommé X. après vingt trois jours de discipline a expié son crime !". Dans le langage des công an, expier son crime signifie mourir. Le cadavre est enterré superficiellement dans une fosse, des cochons du camp vont souvent au cimetière le déterrer avec leur groin et croquent délicieusement.

Les « crevettes communistes »

mò tôm "pêche aux crevettes". En Cochinchine, le Viêt-Minh traitaient les partisans de l'autre camp de la manière suivante : ils les attachaient les uns aux autres comme des troncs d'arbres et les jetaient dans le Mékong, où ils se noyaient lentement en dérivant jusqu'à la mer. Ce procédé était dénommé la "pêche aux crevettes". Mais le mythe du "bon vieil oncle Hô" était si bien établi qu'il a pu survivre jusqu'à aujourd'hui sans contestation. Fall B., Les deux Viêt-Nam, Payot Paris 1967, p. 123-124.


Autres variantes du mò tôm (chercher à tâtons des crevettes) des communistes : la victime est attachée à un bloc de pierre ou enfermée dans un sac en lin (pour contenir le riz) comme fut le cas de l'écrivain Trân Khanh Giu Khai Hung ou dans une cage en bambou (pour transporter les chiens et les porcs) comme fut le sort de l'écrivain Lan Khai et jetée dans une rivière (Phan Van Hùm), un fleuve ou à la mer.

Et ça continue……….. Paris Match octobre 1998 :


Ðoàn Viêt Hoat : ...Mais tout cela aurait été supportable, s'il n'y avait eu les tortures.

Moi: Les communistes ont toujours affirmé que la torture n'existait pas au Viêt Nam..


Lui : Elle était généralement réservée aux plus jeunes : bastonnades, coups de poing, coups de pied, coups de crosse. Mais les fers aux pieds, les poignets liés en travers du dos au niveau de l'omoplate droite, les lampes chauffant la tête jusqu'à l'évanouissement pour soutirer des aveux étaient pour tout le monde. Par trois fois, j'ai eu droit aux fers. Mes chevilles étaient prises dans des sortes de fer à cheval (quyên), qui reliés par une tige les maintenaient solidement au sol. Un système diabolique, qui m'empêchait de me tenir debout et de me retourner, quand j'étais couché. Pas de pantalon, pour que la ferraille entre bien dans la chair. Mes chevilles ruisselaient de sang. J'en garde encore les traces....Mon ami le docteur Nguyên Ðan Quê cancérologue, qui a partagé longtemps ma cellule et qui figurait derrière moi sur la liste des 14 prisonniers politiques, dont on demandait l'élargissement, a subi le quyên pendant 6 mois d'affilée. Un autre moyen de torture consistait à vous attacher les deux bras derrière le dos, l'un passant au-dessus de l'épaule opposée, position qui risquait de provoquer au bout de quelque mois une déformation irréversible de la colonne vertébrale. Il arrivait aussi que l'on nous avilisse en nous faisant vivre dans la fange. Puni, le docteur Quê s'est vu ainsi contraint pendant plusieurs années de dormir sur une natte posée juste à côté du trou, où les détenus de sa cellule tous dysentériques et incontinents faisaient la queue pour se soulager. Je suis passé aussi par là.


Moi : Avez vous craint un jour d'être assassiné ?

Lui : J'y ai souvent pensé. On empoisonne vos aliments, et on dit ensuite que vous avez été victime d'un accident. je me méfiais particulièrement du poisson. Quand par hasard on en donnait, je préférais m'en priver malgré la faim. Mais à la mort violente, les can bô préféraient la mort à petit feu par inanition ou maladie non soignée. La Révolution ne tue pas. Elle invite la mort à venir vous prendre. En 1976 dans la grande majorité les prisonniers étaient relativement jeunes et solides. Et pourtant la mortalité était élevée. A la prison de Xuân Phuoc, par exemple, un cimetière situé à côté contenait quelque 200 tombes de prisonniers de conscience. Et c'était seulement les morts, dont les familles n'étaient pas venues réclamer les corps. Des exécutions sommaires avaient quand même lieu de temps en temps. On emmenait les suppliciés dans un terrain vague, on leur bandait les yeux, et on leur tirait une balle dans la tête. Une fois j'ai vu 200 détenus, des gens de l'ancien régime, disparaître comme ça. On est venu les prendre en pleine nuit. Vingt autres, des opposants au régime communiste, ont été condamnés et exécutés dans des prisons, où j'ai vécu. Leurs familles n'ont certainement jamais su comment ils étaient morts.

Paris Match octobre 1998

Lettre du citoyen Hoàng Minh Chinh du 27 - 8 - 1993

...Puis ils (les công an) font du vacarme nocturne pour détruire le sommeil, provoquent la diarrhée continue en mettant des mouches dans le potage, en donnant de la nourriture avariée, quand on est malade, ne fournissent pas de médicament....Ils m'empoisonnent par deux fois en donnant de la nourriture contenant un produit chimique toxique, provoquant la perte de conscience, la gastro-entérite, la colique, des frissons (certifié par un médecin comme une intoxication alimentaire). Une fois, des công an costauds se foncent sur moi, plient mes bras en arrière, saisissent mes cheveux, me bâillonnent, m'étranglent jusqu'à la perte de connaissance... Leur objectif unique est de démolir la santé, d'anéantir la volonté de résistance, d'obliger "à baisser la tête, s'agenouiller pour reconnaître la culpabilité"...

http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article10539


Et ça continue encore et encore, mais que fait le MRAP ? La LDH ?

Le traitement des prisonniers politiques en Corée du Nord est inhumain et relève de la notion de crime contre l’humanité, selon une étude publiée lundi par une organisation américaine des droits de l’Homme.

«La répression généralisée et le système des camps de travail pour les prisonniers politiques en Corée du Nord constituent des crimes flagrants contre l’humanité tels qu’ils sont aujourd’hui définis par le droit» international, affirme l’organisation Freedom House.

Le rapport a été rédigé par David Hawk, un ancien enquêteur sur les droits de l’Homme auprès des Nations unies.

Les prisonniers qui enfreignent le règlement du camp en volant de la nourriture ou en tentant de s’évader sont exécutés par pendaison ou devant un peloton d’exécution, selon cette étude.

D’anciens détenus ayant réussi à fuir ou qui ont fait défection après leur élargissement ont raconté que certains captifs étaient obligés de profaner les cadavres, notamment à coup de pierre, pour instiller la peur et «casser» psychologiquement les prisonniers.

Ils ont également mentionné des violences sexuelles à l’égard des femmes de la part des gardiens et la privation de nourriture.

L’organisation estime jusqu’à 200 000 le nombre de personnes détenues sans procès dans ces goulags, dont Pyongyang nie l’existence.

Les prisonniers politiques, régulièrement battus et torturés, sont généralement accusés pour leur opposition présumée au camarade dirigeant communiste nord-coréen Kim Jong-Il ou à son père Kim Il-Sung, le fondateur de la Corée du Nord décédé en 1994.

Créé par Renée Buleuse

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pierre Mutz si il n’est pas exacrement socialiste est un républicain ( c’est pareil) la 5° est une république Sociale dans sa constitution, mais de plus cette immonde crapule est poursuivi en justice
AUDIENCE DU /11/08 DEVANT LE TRIBUNAL D' INSTANCE DE PARIS 11ème:
HCCDA POURSUIT LE PREFET DE POLICE DE PARIS, L' ETAT ET LE COMMISSAIRE DE PARIS 11ème, POUR DES ACTES GRAVES ET REPETES DE CRIMINALITE POLICIERE ET DE CRAPULERIE PUBLIQUE!

BIENTOT LES DETAILS!

CE PROCES EST IMPORTANT, CAR NOUS Y ATTAQUERONS DE FRONT ET NOMMEMENT, TOUTES LES CRAPULES IGNARES ET CRIMINELLES DE LA PREFECTURE DE POLICE DE PARIS, QUI SOURNOISEMENT ET CRIMINELLEMENT, ARRETENT ILLEGALEMENT LES CITOYENS POUR LES ENFERMER DANS UNE PRISON PSYCHIATRIQUE ILLEGALE, INSTAUREE PAR LE CRIMINEL PUBLIC PIERRE MUTZ, EX-PREFET DE POLICE DE PARIS, AUJOURD'HUI PROMU PREFET D 'ILE DE FRANCE!

LES COMMISSAIRES DE POLICE, TRES SOUVENT INCOMPTENTS ET AUX PRATIQUES PROPREMENT MAFIEUSES, EXERCENT LEURS ACTES ILLEGAUX ET CRIMINELS D'ARRESTATION ARBITRAIRE ET SEQUESTRATION, INTERDICTIONS DIVERSES SOUS COUVERT D'UNE PRETENDUE "LEGALITE"!

AINSI, A PARIS, MUTZ A CREE UNE "INFIRMERIE" PSYCHIATRIQUE A LA PREFECTURE DE POLICE!
La suite ici :

http://hccda-parti-politique.50webs.com/