dimanche 19 octobre 2008

Pierre Mutz


Le préfet de Paris Pierre Mutz déjà surnommé le préfet de la honte ! Devient le préfet de l’intolérable !

Voir : http://www.tranvanba.org/
Vingt-quatre ans après l'exécution, à Hanoï, de Tran Van Ba, figure de la lutte anticommuniste au Vietnam, seuls ses fidèles auraient cette année encore honoré son souvenir.
Dans la lutte antitotalitaire (antinazisme et anticommunisme), ils étaient tous égaux, c’est bien connu, mais certains étaient moins égaux que d’autres ! En voici un nouvel exemple, révélateur de l’emprise qu’exerce toujours le monstrueux communisme sur notre monde malade de sa dialectique et de sa désinformation. Le camarade préfet Pierre Mutz le comparse bolcho a interdit, par un arrêté digne du poliburo soviétique en date du 16 septembre, la pose (prévue le 27 septembre) d’une petite stèle, dans un modeste square du 13e arrondissement, à la mémoire d’une figure de la lutte anticommuniste au Vietnam : Tran Van Ba. Motif : « Le projet dans les termes du texte envisagé pour être apposé sur le monument commémoratif porte atteinte à la neutralité qui sied à ce lieu et est susceptible de heurter, créant ainsi un risque de trouble à l’ordre public. »
Le camarade Pierre MUTZ a déjà été surnommé ; le préfet de la honte !
Le 28 Octobre 2006 à 15 heures, devait se dérouler à Paris, Place du Châtelet un rassemblement pour rendre hommage aux insurgés hongrois de 1956, dont la révolte a été écrasée dans le sang sous les ordres des communistes et par les chars soviétiques en novembre 1956.
A l appel de l association Europae Gentes et de plusieurs autres groupes, ce rassemblement statique devait se caractériser par des prises de parole, un hommage au peuple Hongrois, une minute de silence et une action particulièrement violente : le jet de quelques roses blanches dans la fontaine de la place du Châtelet pour que le souvenir des gosses de Hongrie assassinés par les troupes communistes ne s’efface jamais !
« Héléna avait 15 ans, elle a pris un fusil, Isvan n’avait que 12 ans et il est mort aussi Gloire aux enfants de Budapest » Jean-Pax Méfret
Malheureusement, 200 mètres plus loin, place du Châtelet, 200 à 300 CRS, la milice du « Préfet » Mutz, gendarmes mobiles, policiers en civils, policiers municipaux lourdement équipés, interdisaient la place et embarquaient les dangereux militants anticommunistes présents.
Le rassemblement avait en effet été interdit par le bolcho Pierre Mutz quelques heures seulement avant..
Ainsi, quelques factieux de 40 ou 50 ans ont été embarqués pour contrôle d’identité.
Cette interdiction a eu un mérite : elle a permis de savoir que le prétexte pour interdire des manifestations pacifique anticommuniste en fait, c’est la haine, la haine socialiste, toute entière dirigée contre les Français, contre les Européens, contre les petits blancs sous chiens, contre les anticommunistes, contre les Hongrois. Bref, la haine de tout ce qui touche à notre culture à notre nation. Une haine terrible, implacable...
Honte à vous, Monsieur le Préfet qui avez fait votre cette haine.
Le camarade Préfet, ce couvre de ridicule de nouveau, en ayant interdit en plein hiver 2007 une distribution de repas chauds à des sans abris en danger de mourir de froid.
De ces décisions antidémocratiques dignes d’un nidoreux bolchevique, il vaut mieux en rire, pour ne pas en pleurer, quand on sait la neutralité qui règne en la matière dans la capitale. L’apparatchik Mutz devrait être plus attentif maintenant à ce qui heurte certaines sensibilités et faire d’urgence débaptiser les places, rues et autres lieux qui porte le nom odieux des plus grands et monstrueux criminels contre l’humanité qui soit.

Pour le Square Lénine 75016 Paris par exemple nous proposons de le nommer Square de l'Océan des atrocités.

Pour la station de métro Stalingrad (*) du métro de Paris nous proposons de la renommer : Station du fleuve de sang infernal.

Que dire du square Salvatore Allende (antisémite notoire : voir : http://anticommuniste.blogspot.com/2008/09/salvador-allende.html ) en passant par le square Dulcie September… Sans parler des plaques ou des stèles apposées pratiquement chaque année par le khmer rose de Paris, à la mémoire notamment de divers noyades dans la Seine, dont les motifs ne sont pas particulièrement héroïques ou patriotiques… Mais qui est donc celui qui risquerait ainsi de « troubler l’ordre public » à titre posthume ?
Qui est donc ce dangereux perturbateur ? Tran Van Ba, né le 14 mai 1945, semble surtout payer le prix de son appartenance à une lignée familiale au destin lié à l'histoire politique du Vietnam et à la lutte contre les saloperies communistes criminelles. Son grand-oncle, Bui Quang Chieu, fondateur du Parti constitutionnaliste du Vietnam en 1919, a été assassiné, en 1945, avec ses quatre fils et sa fille par les communistes.

Son père, Tran Van Nan, a été ministre d'Etat chargé de l'économie dans le premier gouvernement indépendant du Vietnam alors dirigé par l'empereur Bao Daï. Il passe ensuite de longues années dans l'opposition. Le 7 décembre 1966, après s'être déclaré candidat à l'élection présidentielle, il est, à son tour, tué à Saïgon.
Tran Van Ba est exfiltré en France par ses proches un mois après la mort de son père. A partir de la prise de Saïgon, le 30 avril 1975, par les communistes, il ne cessera plus de lutter contre ce régime et contre cette idéologie mortifère. Président des étudiants vietnamiens de Paris de 1972 à 1980, il dénonce "les exécutions sommaires", les "camps de concentration et de rééducation", (http://www.anapi.asso.fr/) , la « Torture »,( http://anticommuniste.blogspot.com/2008/10/torture-vous-avez-dit-torture.html) "l'expansionnisme militaire au Cambodge et au Laos et l'exode des boat people".
Rentré au Vietnam en juin 1980, il y est exécuté le 8 janvier 1985 malgré les protestations internationales dont celles de Valéry Giscard d'Estaing, Simone Veil ou Laurent Fabius. Bernard Kouchner assiste à la cérémonie mortuaire à Paris.
Depuis, chaque année, ses proches célèbrent à Paris son souvenir. "Nous voulions juste ériger une stèle avec une courte inscription rappelant son engagement, souligne son frère, Tran Van Tong, la Belgique et les Etats-Unis ont déjà honoré sa mémoire en donnant son nom à divers lieux, la France a cédé à l'ingérence du Vietnam.

Car c’est là le point le plus scandaleux et honteux de cette affaire : cet aplatissement de la France devant le régime communiste criminel et nidoreux de Hanoi pour une histoire de stèle, cette contagion dans la bassesse ! Le député socialiste de Paris, Jean-Marie Le Guen, et le maire socialiste du 13e arrondissement, Jérôme Coumet, ils avaient pourtant même déjà envoyé les invitations ! « Mais le Vietnam communiste a protesté auprès du ministère des Affaires étrangère de Kouchner [le même qui avait assisté à l’hommage mortuaire de 1985 !], et de la Mairie de Paris, le gouvernement a cédé à ces pressions, c’est ridicule », commente Le Guen.

(*) Staline : « Ce n’est pas des torrents de sang que ce criminel contre l’humanité a versé, mais des fleuves du sang de l’honnête peuple russe et autres colonisés. La Pravda (vérité) ne doit pas être déguisée par les menteurs et crapules perverses du Parti communiste Français, militants parasites et menteurs du Mrap et autres reptiles antiracistes vicieux dégénérés et autres putrides saloperies rouges complices de ces monstruosités ; aucun tyran, aucun despote de l’histoire, pas même Pol Pot, Napoléon Bonaparte ou Hitler n’ont massacré et persécuté un aussi grand nombre de leurs compatriotes. L’immonde Staline est crevé en 1953, mais ces méthodes n’ont malheureusement pas été abandonnées. Le véritable devoir de mémoire est de ne jamais oublier les exactions qu’il a commises. L’humanité ne pourra jamais être fière de cet être abject et criminel. »

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