Depuis l'ouverture des archives américaines et soviétiques dans les années 1990, la culpabilité des communistes et époux Rosenberg ne fait plus de doute.
Et aujourd’hui enfin, faisant suite aux preuves accablantes déclassifiées par le gouvernement américain et russe, Morton Sobell qui a purgé une peine de 19 ans de prison dans l’ affaire Rosenberg, a reconnu en septembre 2008 la culpabilité du couple et la sienne en ce qui concerne l'activité d'espionnage au profit des criminels contre l’humanité soviétiques dans une interview donnée au New York Times, en rapportant la faible efficacité de l'espionnage atomique.
Notre père était bien un espion: pour Robert et Michael Rosenberg, c'est la fin des doutes sur la culpabilité de leurs parents communistes, les camarades Ethel et Julius Rosenberg, justement condamnés à mort et exécutés aux Etats-Unis au début des années 1950 pour espionnage au profit de l'Union soviétique marxiste.
Leurs derniers doutes ont été emportés par les aveux indiscutables, de Morton Sobell, aujourd'hui âgé de 91 ans, qui avait été jugé en même temps que les époux Rosenberg et avait purgé une peine de dix-huit ans de prison: après avoir obstinément nié, Sobell a reconnu, dans une interview au New York Times, qu'il avait bien espionné pour l'URSS.
Dans le même journal, les frères Rosenberg déclarent qu'ils n'ont aucune raison de mettre en doute les déclarations de Morton Sobell.
On savait bien sur tout cela à la lumière des nouveaux documents de l’époque aujourd’hui disponibles, tels les archives du FBI rendues publiques en 1975 et les archives du KGB que des historiens ont pu consulter de 1993 à 1996. D’autres documents sont utilisés comme les archives de la NSA et les livres de mémoires rédigés par plusieurs anciens espions soviétiques.
Notre mouvement attend donc du MRAP qui a été à l'initiative de la création en France du Comité de défense des Rosenberg et dont la complicité avec les criminels contre l’humanité communistes ne fait plus de doutes, un communiqué de demande de pardon pour 50 ans de mensonges et de manipulations. Le siège de l'Association pour le réexamen de l'affaire Rosenberg est encore aujourd'hui situé au MRAP.
De même nous demandons à madame la camarade communiste Catherine Vieu Charier, maire adjointe de Paris chargée des questions de la mémoire et représentant la secrétaire nationale du PCF la camarade Marie George Buffet de tout faire pour que, dans la capitale, la jeunesse d’aujourd’hui soit enfin informée des immondes crimes du communisme, de la désinformation et des mensonges odieux des communistes.
Il est essentiel de condamner officiellement les crimes atroces commis dans les régimes communistes totalitaires afin de pouvoir rétablir la vérité historique. Cette condamnation doit sans condition s'accompagner de l'ouverture des archives et de l'évaluation du nombre de victimes aujourd'hui incertain mais néanmoins jamais inférieur à 100 millions de victimes. ( Le nombre est symbolique puisque seulement en Chine, les victimes atteindraient déjà ce chiffre!) Par devoir de mémoire, les gens doivent prendre conscience de l'ampleur, de la violence et de l'horreur réelles des exterminations et déportations commises par les communistes au cours du vingtième siècle. Des campagnes de sensibilisation sont nécessaires. On doit aussi dénoncer les actuels régimes communistes dans lesquels les droits de l'homme ne sont toujours pas respectés ! Tel la Chine « populaire », Cuba, Vietnam, Laos, Corée du nord, Zimbabwe du sinistre communiste criminel contre l’humanité Mugabe etc. etc.
L’assemblée européenne renvoie à sa Résolution 1096 (1996) sur les mesures de démantèlement de l’héritage des anciens régimes totalitaires communistes.
Voir :
https://wcd.coe.int/ViewDoc.jsp?id=556185&Site=COE&BackColorInternet=DBDCF2&BackColorIntranet=FDC864&BackColorLogged=FDC864
Et voir :
http://www.fonjallaz.net/Communisme/CoE/CoE.html
Nous demandons au camarade Charles Palant, fondateur du Comité français pour la « défense » des Rosenberg, la dissolution immédiate de cette ligue factieuse, faisant l’apologie de complices de crimes contre l’humanité.
Nous appelons madame Renée Le Mignot, coprésidente du MRAP, à voir dans ces événements récents un levier pour le devoir de mémoire d’aujourd’hui et la condamnation des crimes contre l’humanité des régimes communistes d’hier et d’aujourd’hui.
Nous informons bien sur messieurs Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des Droits de l’Homme, Georges Séguy, président d’honneur de l’Institut d’histoire sociale de la CGT, Henri Alleg, qui a évoqué il fut un temps, la formidable mobilisation populaire qui, dans l’Algérie encore « française », franchit pour cette manipulation honteuse et communiste toutes les frontières religieuses et ethniques. A ce propos notre association tiens en réserve certains documents, mettant en cause les sus dit dans d’autres affaires de manipulations et de mensonges notoires.
Je ne me fait aucune néanmoins aucune illusion, on a aujourd’hui ce que l’on a bien connu de la part de nos bouffeurs de patrons, une indulgence coupable. Le Ténia Sartre et la pédophile Simone avec les abrutiles ou idiots utiles tel Aragon, Maurice Druon, Jean Effel, Fernand Léger, Yves Montand, Picasso, Simone Signoret, Hervé Bazin, Jean Pierre Bloch, ne se sont jamais sentis morveux, ne se sont jamais excusés, alors qu’ils connaissaient tout au moins en partie la réalité. Le silence (forcément assourdissant car il n’existe plus de silence silencieux) de la « gauche » et de la « droite » d’aujourd’hui montre que les vieux réflexes fonctionnent toujours et que le grand frère, même s’il a tué + de gens que le nazisme, reste le grand frère respecté.
Rappel des faits :
Julius Rosenberg (ingénieur électricien, né le 12 mai 1918 à New York) et son épouse Ethel Rosenberg (née le 28 septembre 1915 à New York) sont un couple de traîtres à leur patrie, new-yorkais et communistes arrêté en juillet 1950 par le FBI et accusé d’avoir espionné au profit de l’URSS. Julius fut arrêté le 17 juillet 1950 et Ethel le 11 août. Ils furent jugés coupables le 5 avril 1951 et exécutés sur la chaise électrique le 19 juin 1953 dans la prison de Sing Sing.
La publication des archives Venona, accablantes pour les traîtres communistes Rosenberg, a mis un terme à la controverse qui a longtemps fait débat. D'autres sources, notamment des mémoires, sont venues dans le même sens. L'historien Ronald Radosh qui a enquêté sur l'affaire conclu à la culpabilité indiscutable des traîtres communistes.
Dans ses mémoires parues en français en 1999 sous le titre Confessions d’un agent soviétique et aux États-Unis en 2001, Alexandre Feklissov écrit que « ce fut grâce à Klaus Flauch, à Theodore Hall, au couple Cohen, et à quelques agents non identifiés à ce jour que l’URSS parvint à créer sa bombe atomique. Un autre réseau de moindre importance, mais qui travaillait dans le domaine de l’électronique, de l’aviation et de l’armement, était celui de Julius Rosenberg. Il se trouve que j’ai dirigé, de 1943 à 1946, le groupe clandestin de Rosenberg. »
Dans le livre qu’il a co-écrit avec Sergei Kostin et publié aux États-Unis en 2001 sous le titre The Man Behind the Rosenbergs, l’agent secret soviétique Alexandre Feklissov détaille comment Julius Rosenberg était au service de l’Union soviétique et avait transmis des documents secrets. Selon cet ancien formateur du KGB, Julius Rosenberg est recruté à l’occasion de la fête du travail de 1942, par l’ancien espion en chef du KGB Semyon Semenov. Quand Semenov est rappelé à Moscou en 1944, Feklissov prend sa suite. Julius, animé par ses convictions idéalistes et désintéressées, prend l’initiative d’inclure dans le réseau plusieurs de ses amis, il fournit à Feklissov à chaque rencontre de 600 à 1 000 pages de documents. Pour Feklisov, Rosenberg n’est pas qu’une source en elle-même de grande valeur, c’est encore la cheville ouvrière d’un réseau qui monte en importance de mois en mois. Rosenberg et ses amis travaillent à la production de nouveaux avions, pièces d’artillerie, balles, radar et calculateurs électroniques. Feklisov fournit un appareil photo à Julius de façon à constituer des microfilms. Pour que Julius n’attire pas l’attention, il lui demande de cesser de participer à des rallies de soutien à l’Armée rouge, de moins fréquenter ses amis communistes Julius lui parle de David Greenglass lors d’un dîner, qui travaille sur un projet ultrasecret (la bombe atomique) et pousse à la décision de son recrutement, qu’il prend en charge. Le recrutement de Greenglass ne permettra cependant pas d’obtenir de bons documents secrets et aura des conséquences catastrophiques pour le réseau puisqu’il permettra son démantèlement.
En effet l'accusation des Rosenberg reposait sur un témoignage, celui du frère d'Ethel, David Greenglass, arrêté le 15 juin 1950 et de son épouse Ruth.
Celui-ci avait travaillé de 1944 à 1946 comme mécanicien dans l'un des ateliers de Los Alamos, où se fabriquait la bombe A.
D'après sa déposition, lui, qui n'avait aucune formation scientifique, aurait dessiné de mémoire "une coupe de la bombe atomique" et "rédigé un texte de douze pages pour en expliquer le fonctionnement".
Le tout aurait été remis aux Rosenberg et Ethel aurait tapé le texte à la machine. Le 5 décembre 2001, David Greenglass a finalement "avoué" au cours d’une émission de 60 minutes sur la chaîne de télévision CBS qu'il avait produit un faux témoignage contre sa soeur Ethel après avoir passé un accord avec l'assistant du Procureur.
"Je ne pouvais pas imaginer qu'ils les condamneraient à mort ", a-t-il affirmé.
Il reconnaît néanmoins avoir transmis des renseignements sur les recherches nucléaires et les détonateurs de bombe A.
Le cas d’Ethel Rosenberg est différent. Une incertitude subsiste. Elle connaissait certainement les activités de son mari et y participait. Venona nous apprend que ses avis sur les nouvelles recrues du réseau de son mari étaient pris en compte.
Les archives soviétiques montrent qu’au moins une fois elle a participé activement à une rencontre entre son mari et son agent traitant Feklissov. Dans le sens de la loi américaine, elle avait bien conspiré pour commettre des actes d’espionnage. Seul le degré de son implication reste flou.
Faisant suite aux preuves accablantes déclassifiées par le gouvernement américain entre temps, Morton Sobell qui a purgé une peine de 19 ans de prison dans la même affaire, a reconnu en septembre 2008 la culpabilité du couple et la sienne en ce qui concerne l'activité d'espionnage dans une interview donnée au New York Times, en rapportant la faible efficacité de l'espionnage atomique.
L’espionnage des Rosenberg serait encore attesté par les mémoires de Nikita Khrouchtchev, qui leur attribue une grande importance.
L'espionnage atomique des traîtres communistes Rosenberg fut cependant assez peut efficace mais ils transmirent aux soviétiques une grande quantité de documents secrets importants tels que, selon l'historien Ronald Radosh, des informations relatives au design des premiers avions MIG, les dernières informations sur le radar et le sonar, ou encore les "proximity fuse" qui permirent d'abattre le U-2 de Gary Powers faisant d’eux des complices notoires des criminels contre l’humanité communistes.
La dénonciation d’un procès sois disant injuste et de la sois disant erreur judiciaire a commencé après le procès et fut lancée en 1952. L’ Union soviétique communiste comme d’habitude entretient et exploite l’affaire ; elle accuse les États-Unis de fascisme et d’antisémitisme, alors qu’au même moment le criminel contre l’humanité antisémite Staline monte le complot antisémite des blouses blanches. Le sort des époux Rosenberg suite au battage médiatique communiste émeut alors l’opinion mondiale (Amérique, Europe, Algérie, Israël, Japon, etc.) .
Les manifestations en faveur du couple Rosenberg étaient très influencées par l’activisme communiste.
Le comité de défense des Rosenberg en France Dès 1952 s’est créé un comité de défense en France des communistes Rosenberg comprenant notamment des communistes notoire et une foultitude d’idiots utiles.
L’histoire ne s’arrête pas là car une association émanation du Marp lui-même émanation communiste : http://rosenberg.asso.fr/ est toujours en activité aujourd’hui. Et le 5 avril 2008 cette « association » rend : « Hommage aux Rosenberg » !
En conclusion :
En ces temps de révisionnisme et de négationnisme renouvelés où, face cette fois à la nouvelle menace du totalitarisme islamiste, les anti-américains font feu de tout bois pour alimenter leur hystérie, petit retour sur un grand succès de la désinformation soviétique du début de la Guerre froide: l’Affaire des époux Rosenberg.
Cinquante ans après et contre toute évidence, Julius et Ethel Rosenberg restent en effet, avec cet autre duo de victimes fétiches que furent pour les années 20 les anarchistes Sacco et Vanzetti, les innocentes victimes du racisme et de l’hystérie anticommuniste américains pour une majorité de Français (le MRAP doit encore avoir dans ses cartons une campagne pour la révision du procès signée par les plus grands noms de la politique et de la science comme Emmanuelli ou Bourdieu! *). La suite ici :
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