Nicolas Sarkozy a d’abord demandé la grâce de la tueuse de policier Marina Petrella dans une lettre à Silvio Berlusconi. De plus la belle-soeur du président français, l'actrice Valeria Bruni Tedeschi, s'inquiétait de la santé de cette ancienne criminelle membre des Brigades rouge. Tout un symbole puisque la famille Turinoise Bruni Tedeschi s'est installée en France en 1973 pour fuir la furie criminelle communiste qui se déchaînait en Italie contre les symboles du capital. Dans une interview accordée au Corriere della Sera, Valeria Bruni Tedeschi affirme avoir rencontré Marina Petrella, sans préciser la date de cette entrevue.
Le 12 octobre 2008, Nicolas Sarkozy annonce que la France renonce à l'extrader vers l'Italie et de ne pas appliquer le décret autorisant son extradition pour des sois disant "raisons humanitaires". Les interventions de l'épouse du président Sarkozy et de sa sœur Valeria Bruni-Tedeschi dans cette affaire ont été critiquées notamment du fait que c'est Carla Bruni-Sarkozy qui aurait annoncé à l'ex-brigadiste qu'elle ne serait pas extradée quatre jours avant l'annonce officielle. De nombreux intellectuels italiens, tel Claudio Magris , ont critiqué cette décision comme étant indigne d'un état de droit. La décision du président a aussi été perçue en Italie comme un signe de l'arrogance française et elle illustre la différence de perception de l'affaire dans les deux pays, la fille d'un syndicaliste abattu dénonçant l'image de héros romantiques dont les Brigades rouges bénéficieraient.
Les criminels communistes refusent comme d’habitude d’assumer les immondes crimes de sang de leur idéologie de haine, et la gauche marxiste bien pensante et moralisatrice montre à nouveau son visage hypocrite,
Mais les véritables raisons de la lâcheté Française ne ce situe pas là.
Depuis la sois disant fin du communisme on nous serine continuellement : « Du passé de gauche, faisons table rase ! » Bien plus: les despotismes communistes toujours actifs et inventifs, aujourd'hui même, dans l'art de peupler les cimetières progressistes et les camps de rééducation par le travail sont passés sous silence. La Chine, où se pratiquent par milliers chaque jour impunément des tortures qui ne sont pas au passé, le Vietnam, la Corée du Nord et, cela va de soi, Fidel Castro, dont on connaît l'angélique douceur, si grande qu'il est devenu le Notre-dame de Lourdes de tous les pèlerins démocratiques ou ecclésiastiques.
Et c’est faire peu de cas de la renaissance constante de ces « mouvements terroristes » d’extrême gauche marxistes. Le marxisme est une infection au même titre que le sida et malgré la réalité des malheurs qu'il a provoqué, son culte et son existence persiste.
Ainsi, les Brigades rouges ou la camarade criminelle tueuse de flics Petrella c’est distinguée avaient notamment enlevé et assassiné, en 1978, le leader démocrate chrétien italien Aldo Moro. Mais les Brigades rouges sont malheureusement toujours actives. Le dernier assassinat (celui du professeur « proche de la droite » Marco Biagi) remonte à 2002. Ils sont aussi responsables de l’assassinat du conseiller ministériel Massimo D' Antona en 1999 .Le gouvernement français avait organisé une rencontre, à Paris, en 2002, entre les ministres de la Justice italien Roberto Castelli et français Dominique Perben. C’était l’époque de l’extradition de Paolo Persichetti, le camarade complice de Petrella condamné à 22 ans de prison, pour complicité dans l’assassinat du général Ligio.
Et pas plus tard que l’année dernière, le 31 juillet 2007, les appartements de sept terroristes rouges ont été perquisitionnés à Berlin et à Leipzig. Dans ce contexte, les terroristes Andrej H., Florian L., Axel H. et Oliver R. ont été arrêtés. Motif : ils ont tenté d’incendier des véhicules de l’armée dans le Land allemand de Brandenburg. Après avoir été entendus à Karlsruhe, par la Cour constitutionnelle allemande, ils ont été incarcérés à Berlin. Motif : appartenance à une organisation terroriste.
Les détenus étaient suspectés depuis septembre 2006. Andrej H., arrêté le 31 juillet, « sociologue », âgé de 36 ans, est la tête pensante du Militanten Gruppe (MG), un groupe terroriste allemand proche des brigades rouges. Il travaillait comme « chercheur » à l’institut de sociologie de l’université Humboldt. Monika Harms, procureur à la Cour constitutionnelle allemande basée, à Karlsruhe, a établi qu’Andrej H. est membre de la Militanten Gruppe, une organisation terroriste qui se propose d’éliminer les structures actuelles par des actions en faveur d’un ordre mondial communiste. La Militanten Gruppe marxiste est responsable d’une vingtaine d’incendies criminels. La police berlinoise la traque depuis 2001.
Les incendies perpétrés par les terroristes communistes et racistes de la Militanten Gruppe ont frappé les bureaux des impôts, de la justice et de l’emploi ; une association patronale turque, ( on attend avec impatience le communiqué du Mrap horrifié par la propagation de ces actes racistes inacceptables ) ce qui rendit service, en passant, aux terroristes islamistes ; un supermarché ; une chambre de commerce ; ainsi que des voitures de police, des télécoms et d’un institut de recherche économique. Depuis 2006, les soupçons des policiers se sont confirmés à propos d’Andrej H., grâce aux enquêtes menées dans le cadre des lois antiterroristes en vigueur en Allemagne.
L’étude comparée des travaux de « chercheur en sociologie » écrits par Andrej H. et des manifestes publiés par la Militanten Gruppe coïncident étonnamment. En outre, à deux reprises, Andrej H. a rencontré trois autres activistes de la Militanten Gruppe ayant participé à l’incendie criminel, fin juillet, dans le Brandenbourg, de camions de l’armée allemande.
L’Allemagne possédant des preuves de l’activisme toujours d’actualité de la camarade Petrella elle aussi « travailleuse » sociale, le 21 août 2007, cette terroriste italienne d’extrême gauche résidant en France, est arrêtée. Le ministère français de la Justice sous les demandes pressantes du ministère de l’intérieur a fait arrêter, cette membre des Brigades rouges, condamnée dans son pays pour des ignobles crimes de sang, la communiste Marina Petrella avait été condamnée le 6 mars 1992 par la Cour d’assises de Rome, à la réclusion à perpétuité pour, notamment, homicide sur agent de la force publique, tentative de séquestration et d’homicide, séquestration d’un magistrat, vol avec arme et attentats.
Et depuis, des menaces d’attentats terroristes on eu lieu en Savoie au nom des Brigades rouges !
La section anti-terroriste du parquet de Paris s'est saisie de l’enquête sur des alertes à la bombe contre le réseau ferroviaire des Alpes françaises, revendiquées en italien au nom des Brigades rouges, a-t-on appris de source judiciaire. Les pompiers et la rédaction du Dauphiné libéré ont ainsi reçu des appels affirmant que des bombes avaient été placées dans des trains et le long de la ligne Chambéry-Aix-les-Bains.
C’est la découverte d’une lettre en italien signée « en souvenir des Brigades Rouges » exigeant la libération de Battisti le criminel assassin, dirigeant le groupuscule criminel marxiste des Prolétaires Armés pour le Communisme ( PAC) réfugié à Copacabana qui devait comme la terroriste Petrella être extradé en Italie pour y purger sa peine, il avait bénéficié en France des réseaux terroristes rouges toujours en activité pour exfiltrer ce malfrat communiste vers le Brésil. C’est qui a motivé le dessaisissement du parquet de Chambéry. Ces menaces interviennent une semaine après la signature du décret d'extradition de la brigadiste italienne criminelle Marina Petrella. Rappelons que celle-ci a été condamnée par contumace en 1992 par la Cour d’assises de Rome à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre d’un carabinier, des attentats à la bombe et la séquestration d’un juge et plusieurs tentatives d’homicide ou d’enlèvement.
Le communisme le plus outrancier et criminel n’est pas mort, loin sans faut, des réseaux existent toujours, Sarkozy le sait et c’est la cause première du refus d’extradition de la camarade communiste criminelle Petrella.
"La presse, au delà des Alpes, transforme la Brigadiste Rouge en «activiste»" titrait un article principal du quotidien italien Libero.
La principale association italienne des victimes du terrorisme "regrette" la décision de Paris de ne pas extrader pour l’instant l'ex-terroriste Marina Petrella. Les proches des victimes l'ont jugée "inacceptable" et condamnée. "Les victimes sont contre la vendetta mais nous sommes respectueux de la justice. Il y a eu condamnation et elle doit être exécutée. Que penserait les Français dans une situation inverse ?", s'est interrogé le président de l'association Aiviter, Roberto Della Rocca. Marina Petrella "peut très bien être soignée dans des structures italiennes", fait-il valoir. Il "regrette" que les autorités françaises "ne respectent pas les conventions internationales", alors qu'à sa connaissance "la prescription de l'homicide n'existe pas".
Déjà en 2007 la famille italienne d'une victime des Brigades Rouges avait porté plainte auprès du parquet de Padoue contre l'actrice française ( fameuse idiote utile) Fanny Ardant après ses propos sur le mouvement armé et son fondateur, Renato Curcio. La française avait, qualifié le fondateur des immondes Brigades Rouges communistes de ''héros'' dans l'hebdomadaire féminin italien A (Anna). ''J'ai toujours considéré le phénomène des Brigades rouges comme passionnant et captivant'', avait ajouté l'actrice.
A l’origine de la plainte, l'avocat Piero Mazzola, fils d’une victime de Renato Curcio. Son père avait trouvé la mort au siège de Padoue du MSI, le 17 juin 1974. Un meurtre à l’origine de la condamnation de Renato Curcio à 16 ans de prison, selon le fils de la victime.
Il appartiendra au parquet de décider si les propos de l'actrice constituent un délit, a-t-il précisé.
Le ''pardon'' de l’actrice
Fanny Ardant avait demandé ''pardon'' à ceux que ses propos ont pu blesser, lors d'une prestation télévisuelle sur France 2 et d'une déclaration en italien sur la première chaîne de télévision Rai pendant le journal télévisé
Les excuses de Fanny Ardant arrivaient au moment opportun, l'actrice était en effet attendue à Venise pour la Mostra du cinéma.
''Dire pardon ne lui a rien coûté alors que ma mère a payé le prix fort par beaucoup de douleur. Elle est seule depuis 30 ans'', a déclaré l'avocat, affirmant que son père n'était pas membre du MSI mais ''employé'' par le parti.
La plainte a été déposée au nom de la mère et des quatre enfants de la victime. Renato Curcio est aujourd'hui en liberté.
Une autre association italienne des victimes du terrorisme communiste a annoncé qu'elle irait manifester à Paris contre la décision de Nicolas Sarkozy de ne pas extrader la tueuse Marina Petrella, vers l'Italie.
"Nous n'acceptons pas cette décision et irons devant l'Elysée montrer notre total désaccord", a expliqué le président de cette association, Bruno Berardi, dans le quotidien La Stampa.
Il a ajouté qu'un train serait affrété où prendraient place "les membres des nombreuses familles détruites par la douleur et accablées par le manque d'intérêt à leur encontre".
Le syndicat autonome de la police Française a également critiqué une décision "inacceptable s'agissant notamment d'une terroriste condamnée pour le meurtre d'un policier".
La presse italienne a fait une large place aux réactions majoritairement hostiles dans la Péninsule, après la décision du président français de renoncer pour raisons soit disant "humanitaires" à l'extradition de Marina Petrella.
"Appliquer la clause humanitaire à une terroriste condamnée pour homicide, vol et enlèvement ressemble à une mauvaise plaisanterie", commentait dans La Repubblica Isabella Bertolini du Peuple de la Liberté, le parti de Silvio Berlusconi.
"L'Italie n'a jamais torturé. Je ne comprends pas pourquoi l'extradition est un tel problème. L'état de santé de Marina Petrella pouvait tout à fait être pris en charge par l'Italie. Elle ne doit pas forcément aller en prison. Son extradition était une décision juste", réagit la fille du syndicaliste Guido Rossa, Sabina, dont le père a été abattu le 24 janvier 1979 par un commando des Brigades rouges à Gênes (nord-est). "On ne fermera jamais le chapitre du terrorisme avec de telles décisions", s'insurge-t-elle.
La veuve de Massimo D'Antona, un expert du droit du travail consultant du gouvernement tué par les Brigades rouges le 20 mai 1999 condamne elle aussi la décision de Paris. "Je trouve grave qu'il n'y ait pas entre deux Etats membres de l'Union européenne de respect réciproque. L'Italie est un pays qui respecte les droits de l'Homme et qui lutte pour l'abolition de la peine de mort dans le monde", a souligné Olga D'Antona, député du Parti démocrate (centre-gauche). Rappelant la "doctrine Mitterrand" sur l'extradition vers l'Italie de terroristes italiens réfugiés en France, elle qualifie d'"inacceptable" la décision de Paris.
"Je crois qu'une partie des intellectuels français devrait renoncer au mythe de la Révolution" concernant le terrorisme italien (...) Dans la plupart des cas et dans celui de la camarade Petrella en particulier, les terroristes italiens ont tué des victimes innocentes et sans défense. Ils se sont comportés comme des criminels de droit commun maffieux avec lesquels ils avaient d'ailleurs souvent des contacts (...) Cette décision "rouvre avec douleur les blessures" de cette époque".
Domenico Quirico, de la Stampa titre : « Les membres des brigades rouges et la justice française à deux vitesses » : « Etrange pays que la France. Des magistrats implacables ont gardé en prison pendant des années des personnes innocentes accusées d’être pédophiles, et personne n’a vraiment réagi. La France retrouve le goût de l’indignation quand la ‘victime’ est une ancienne terroriste criminelle les mains tachées de sang. Le devoir d’empêcher son suicide devient sacro-saint. Personne ne porte la moindre attention aux victimes des Brigades rouges, à la douleur de leurs proches ».
Olga D’Antona, veuve de M. D’Antona, assassiné par les Brigades rouges en 1999, se confiant à la Repubblica dit « C’est par respect pour les victimes, que Marina Petrella doit être extradée au plus vite » « Le terrorisme italien des années 70 et 80 a été un drame et il n’a rien à voir avec le mythe de la Révolution française. Les membres des Brigades rouges ne sont pas des héros ».
Pour madame D'Antona, dont le mari magistrat a été assassiné cruellement en 1990 par les Brigades rouges, "tous les accords et conventions judiciaires sont violées" par cette décision, "sans doute prise parce que chez Sarkozy a prévalu la peur de l'impopularité".
C’est gagné Monsieur Sarkozy !
Votre décision concernant Marina Petrella, est ressentie comme une humiliation de l'autre côté des Alpes et a donné l'occasion à l'écrivain Claudio Magris d'écrire une lettre ouverte publiée par le Corriere della Sera du 16 octobre.
Dans ce court texte, l'auteur de Danube (Gallimard, 1990), demande à Silvio Berlusconi d'exiger des "excuses formelles" de la part de M. Sarkozy pour "la gifle et l'offense" faite à l'Italie. "Le président français a proclamé que l'Italie n'est pas un État de droit, écrit-il, mais un pays barbare où les droits humains élémentaires ne sont pas respectés, où les malades ne sont pas soignés, où on torture comme à Guantanamo et juge comme en Arabie saoudite".
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