samedi 20 septembre 2008

Marchais un raciste communiste.



Marchais Georges : Communiste et raciste, collaborateur avec l’Allemagne nazi, il deviendra le secrétaire général de l’immonde parti communiste Français.

Né dans une famille catholique, Georges Marchais devient mécanicien ajusteur dans l’industrie aéronautique (Snecma) juste avant l'invasion allemande de mai 1940.

Il part travailler en Allemagne en décembre 1940, chez Messerschmitt à Augsbourg. En 1970, son ami et camarade du parti, Charles Tillon, l’ accusera de s'être porté volontaire, les premières réquisitions allemandes de main d'œuvre n'ayant débuté qu'en 1942.

Le camarade Marchais travailleur volontaire pour l’Allemagne du chancelier du Reich Adolf Hitler ne revint en France qu'à la chute des Nazis, parmi des milliers de Français anonymes.

En 1946, il est secrétaire du syndicat des métaux d’Issy-les-Moulineaux. Secrétaire du centre intersyndical CGT dans la même commune en 1951, secrétaire de l'Union des syndicats de travailleurs de la métallurgie de la Seine de 1953 à 1956.

Membre du Parti communiste français (PCF) depuis 1947, Georges Marchais commence dès cette époque une carrière qui le propulse assez vite et durablement vers les sommets du parti, sans jamais avoir eu l'occasion de participer ni de s'exposer lors des évènements fondateurs de la geste communiste antérieure à 1945.

Une lettre du camarade raciste travailleur volontaire chez les nazis Georges Marchais, alors secrétaire général du Parti communiste Français, reproduite dans « L’Humanité » du 6 janvier 1981.Cette lettre est très révélatrice de l’état d’esprit raciste des communistes Français. Elle est adressée au recteur de la mosquée de Paris, qui venait de s’indigner contre la destruction au bulldozer (le 24 décembre 1980, veille de Noël !) d’un foyer de 300 travailleurs maliens par le maire communiste de Vitry, Paul Mercieca.

Extraits :
- « Je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. (…) Plus généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés ».

- En raison de la « la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. »

- « La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. »

- « Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. »

- « Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration ».

- « Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficiles leurs relations avec les Français. »

- « Quand la concentration devient très importante (…), la crise du logement s’aggrave ; les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder.


Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrées plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes ».

Le camarade collaborateur Marchais était déjà victime de le "lepénisation des esprits dès 1980/81 ...c'était avant le cagoulard médaillé du Maréchal Mitterrand, la rose et surtout les épines, Chirac et la "facture"et non la "fracture" sociale, les troupes du parti et les substantiels subsides reçus de Moscou en ce temps là, ne rendaient pas l'appel aux troupes "indigènes " primordial !

En résumé Georges Marchais était……….une ordure, oui une ordure rouge et c’est pas moi qui le dit, c’est le pédophile allemand Cohn Bendit . Pour voir la vidéo, c’est ici :

http://www.editoweb.eu/nicolas_maury/Georges-Marchais-3-mai-1968-De-faux-revolutionnaires-a-demasquer-editorial-dans-L-Humanite_a1794.html

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