dimanche 28 septembre 2008

Salvador Allende.

ALLENDE GOSSENS Salvador : ex dictateur marxiste du Chili.
Suite aux encouragements des ricains qui considéraient qu'il faut violenter la démocratie pour la protéger, le général Pinochet a déposé Salvador Allende qui était communiste donc antidémocratique, raciste et antisémite comme son grand copain le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain François Mitterrand.

Voilà, pour illuster mes affirmations sur le sale bonhomme socialiste, la façon avec laquelle s'exprimait l'idole des marxistes et des merdias racistes et antisémites :

"Les Juifs se caractérisent par des formes déterminées de délits: l'escroquerie, la duperie, la calomnie et, surtout, l'usure [...]. Ces faits font soupçonner que la race influe sur la délinquance". "[...] les gitans constituent habituellement des groupements délictueux ou la paresse, la fureur et la vanité prédominent. Parmi eux, les homicides sont plus nombreux". Quant aux "arabes", "il y a quelques tribus honnêtes et laborieuses mais les plus nombreuses sont aventurières, imprévoyantes, oisives et portées aux larcins".
Selon le professeur Victor Farías tous ces propos ont été proférés dans sa jeunesse par l'icône tant admirée de la gauche marxiste à "visage humain": le Dr. Salvador Allende.

Salvador Allende obtient son doctorat en médecine grâce à une thèse au titre évocateur : Hygiène mentale et délinquance. Dès l'introduction, le ton est donné. On y lit :

"Les lois de l'euthanasie et de l'eugénisme ont remplacé la Roche Tarpéienne, et leurs dispositions protégent l'individu, contre lui-même et seulement dans un but social ".

Nous avons déjà cité l'opinion qu'il avait des Juifs, Gitans et Arabes, voici quelques autres extraits non moins édifiants:

"[...] l'individu représente l'unité de la race"[...] "le milieu et le climat influent notablement sur les glandes de sécrétion interne, donnant aux individus qui habitent des régions aux climats semblables des caractéristiques qui les rendent très différents des êtres vivant sur d'autres territoires[...] Ainsi, par exemple, les italiens du sud, en particulier ceux de Sicile, à l'inverse de ceux du nord, et également les espagnols, sont portés aux crimes passionnels, de type barbare et primitif, et sont émotionnellement irresponsables parce que la mer et la chaleur stimulent l'activité thyroïdienne". Quant à l'homosexualité, "elle est un trouble endoctrinosexuel et l'homosexuel organique est un malade qui doit mériter la considération en tant que tel". Enfin, le révolutionnaire "est un individu en apparence normale qui, en réalité, lorsqu'on l'étudie, démontre qu'il appartient à un groupe déterminé de dérangés mentaux". Et la révolution ne serait qu'"un délit collectif pathologique".Le grand ami de Tonton le décoré de la Francisque du Maréchal avait des relents fachos ou nazi très nauséabonds.


Jamais, le socialo communiste Allende ne rétracta ses idées typiquement nazies. Pire : lorsqu´il fut président, Allende protégea et refusa d´extrader le nazi réfugié au Chili Walter Rauff - responsable direct de la mort de plus de 10.000 Juifs et inventeur de l´empoisonnement des Juifs par gaz dans des camions - alors que le célèbre chasseur de nazi Simon Wiesenthal lui en fit la demande.

Victór Farías : Salvador Allende. Antisemitismo y Eutanasia", Editorial Maye, 2005, 115 p.

Victór Farías es autor de «Salvador Allende: contra los judíos, los homosexuales y otros "degenerados"», que Altera publica el viernes 6 de mayo.



Le marxiste Allende qui n’a jamais été élu « démocratiquement » mais nommé à la tête de l’état visait à faire du « socialisme » une doctrine totalitaire semblable au nazisme, l’une étant toujours la face cachée de l’autre, et du prétendu héroïsme révolutionnaire l’expression d’une violence qu’il faudrait bannir de la cité à coups de normalisation des corps et des esprits".


En 1970, Allende était candidat de l’Unité Populaire, une coalition de six partis de gauche - dont le Parti Socialiste qui affirmait texto : “La violence révolutionnaire est inévitable et légitime. Elle est le résultat nécessaire du caractère violent et répressif de l’Etat classe. Elle constitue l’unique chemin qui mène à la prise du pouvoir politique et économique et à sa défense”.


Voir : http://www.elmundo.es/sup[...]498/1114898404.html

Salvador Allende, obtint seulement 36,30% des voix, face aux candidats Jorge Alessandri, du Parti National ( 34,98%) et Radomiro Tomic, de la Démocratie Chrétienne ( 27,84%). La gauche ne représentait donc qu´un tiers de la population. Si la constitution avait prévu un second tour, jamais Allende ne serait parvenu à la présidence. Allende fut désigné - et non pas élu - à la présidence par la chambre des députés, comme le prévoyait la constitution dans un tel cas, avec l´appui des idiots utiles démocrates chrétiens qui avaient fait signer à Allende un pacte de respect de la constitution chilienne. Ce pacte ne fut jamais respecté. Allende lui-même déclara à Régis Debray que " le pacte de respect de la constitution n´était qu´une concession tactique"! Typique attitude marxiste de menteur pathologique.


Pour réaliser son programme révolutionnaire marxiste, faussement appelé de " transition démocratique vers le socialisme", contre la volonté de la majorité de la population chilienne, le sois disant démocrate auto proclamé Allende employa plusieurs méthodes elles aussi nauséabondes :


- Pour réquisitionner les entreprises privées, il mit en oeuvre l ´Opération asphyxie. Elle consistait à provoquer des conflits sociaux grâce aux cellules du syndicat terroriste du Mouvement de la Gauche Révolutionnaire, coupable de plusieurs centaines d´odieux assassinats, complaisamment couverts par Allende. Il accusait ensuite ces entreprises de ne pouvoir maintenir la production, ce qui lui permettait d´appliquer ainsi le décret-loi 520 de 1932 qui autorisait l´intervention du pouvoir central dans toutes les industries productrices d´articles de première nécessité.


- Il s´empara également du système bancaire chilien par l´achat massif d´actions des banques privées, payées en monnaie de singe. Dans certaines occasions, la simple menace suffisait pour semer la panique chez les actionnaires et faire chuter la valeur des actions.


- Tortionnaire, la sombre crapule rouge Allende musela la presse et supprima la liberté d´expression : attaques contre les journaux Mercurio, Tribuna, Mañana ; nationalisation de la maison d´édition Zig-Zag ; tortures et harcèlements pacifiques et démocrates de journalistes (Exemple : Maximiano Errázuriz, directeur de publications) ; tracasseries multiples contre la chaîne de télévision Canal 13 ; etc.


Le gouvernement marxiste d´Allende révéla, comme tous les régimes socialistes, une grande incompétence en matière économique. D´octobre 1970 à septembre 1973, les salaires réels, calculés au moyen des chiffres officiels de variation des prix, avaient baissé de 18,5%! En réalité, ils avaient baissé de beaucoup plus si l´on tient compte du fait que certains produits de première nécessité étaient devenus introuvables, où ne pouvaient s´acheter qu´au marché noir à des prix beaucoup plus élevés que les statistiques officielles. L´utilisation inconsidérée de la planche à billets conduisit à une inflation galopante, qui atteignit le chiffre fabuleux de 500% en 1973!

Il faut imaginer la détresse de la ménagère lorsque son mari ramène à la maison une paye qui va perdre la moitié de sa valeur en quelques semaines.


Comme dans tous les régimes communistes économiquement incompétents, on instaura un contrôle policier pour " combattre l´inflation". On fixa démocratiquement les prix, ce qui conduisit inéluctablement à l´effondrement de l´offre et à la pénurie. Celle-ci servit de prétexte au gouvernement pour imposer un système de rationnement (chose jamais vue dans toute l´histoire du Chili), et pour octroyer à des " Juntes d´approvisionnement", naturellement contrôlées par les marxistes, des pouvoirs considérables pour contrôler démocratiquement la vie quotidienne des citoyens. Dans le même temps, en maintenant bas, par décret, les salaires des travailleurs qualifiés et des professions libérales, alors que se déchaînait l´inflation, le gouvernement affaiblissait la classe moyenne. L´objectif était la concentration de tous les pouvoirs entre les mains des partis marxistes.

Les dirigeants des industries nationalisées ayant été remplacés par des commissaires politiques incapables, mais marxistes et démocrates, la production chuta de 10% chaque année. Les commerces étaient démocratiquement désapprovisionnés et la majorité des biens de première nécessité ne pouvaient se trouver qu´au marché noir. Le 7 septembre 1973, le gouvernement marxiste annonçait que les réserves de farine ne pouvaient couvrir que quatre jours !

Cette catastrophe économique mit le peuple au bord de la révolte. Mais les marxistes étaient prêts à briser cette révolte dans le sang. Avec la connivence du gouvernement Allende, ils introduisent de grands stocks d´armes (principalement tchécoslovaques) dans le pays. Avec ces armes, le Mouvement de la Gauche Révolutionnaire (MIR) développait une stratégie de " pouvoir dual" parallèle au gouvernement, avec des milices pacifiques entraînées par 2.000 "moniteurs", essentiellement castristes, nord-coréens, et tchèques. L´objectif était de faciliter la transition au « socialisme » par le biais d´occupations illégales mais démocratiques de terres et d´entreprises, ainsi que l´assassinat démocratique et pacifique d´opposants : le plus marquant fut l'assassinat de Pérez Zujovic, démocrate-chrétien, ancien vice-président et ministre du gouvernement Frei, prédécesseur de celui de Allende.

Les marxistes se préparaient également à une guerre civile contre les forces armées, de plus en plus irritées de voir leur rôle usurpé par une milice révolutionnaire, et de plus en plus inquiètes de voir le pays mené à la ruine. Or le Chili était le seul pays latino-américain où l´armée n´était plus intervenue politiquement depuis plus d´un demi-siècle.


Le parlement, c´est à dire l´assemblée du peuple, majoritairement hostile au gouvernement Allende dès 1972, ne pouvait démettre le président, qui la bafouait chaque fois qu´un de ses ministres était renversé par une motion de censure, en le gardant dans son gouvernement, mais avec un autre portefeuille.


Le 26 mai 1973, la Cour Suprême adressa une énième protestation contre les violations sans cesse répétées par l´exécutif des décisions de justice des tribunaux. Le criminel dictateur rouge Allende y répondit en déclarant qu´en période de révolution, c´était au pouvoir politique de décider de l´opportunité de l´application des décisions judiciaires.


Le 23 août 1973, dans une résolution approuvée par 81 voix contre 47, qui rappelait d´abord les innombrables violations de la constitution et des lois opérées par le gouvernement marxiste d’ Allende, le parlement a demandé aux autorités et aux forces armées de mettre fin immédiatement à ces situations de fait.


C´est ainsi que le 11 septembre 1973, l´armée chilienne, sous le commandement du général Pinochet, assiégea le Palais de la Moneda où s´était réfugié Allende, qui plutôt que de se rendre et partir en exil, préféra se suicider. La plupart des Chiliens n´ont pas versé de larmes. Ce qui fait un point commun entre Allende et Hitler :
ils se sont tous les deux suicidés plutôt que de se rendre.

Sources :
- Serge-Christopher Kolm : La transition socialiste ( Editions du Cerf. 1977)
- Mark Falcoff : " Who killed Latin democracy?". National Post. March 4, 2000
- José Ignacio del Castillo, " El trieno marxista chileno"paru dans la Ilustración liberal : http://www.libertaddigita[...]al/articulo.php/246
- James R. Whelan, dans le Wall Street Journal du 12 septembre 2003
http://www.lyd.com/notici[...]ia/what_really.html
- George Irbe. " Chile under Allende"

Nous sommes en 1967, et le criminel tortionnaire "Che" Guevara (http://anticommuniste.blogspot.com/2008/09/che-guevara-dit-le-bou-che.html) vient de mourir assassiné par ses « amis » en Bolivie, le 9 octobre. Ses sinistres terroristes internationaux bolchos dit « compagnons d’armes » cherchent un refuge, un asile. Episode méconnu, c’est au Chili qu’ils vont le trouver, grâce à l’intervention du leader de la gauche marxiste chilienne Salvator Allende. Il va aller jusqu’à accompagner les guérilleros à Tahiti, où ils seront remis aux autorités françaises, avant d’être renvoyés à Cuba.

Largement oublié, ce chapitre de l’histoire du marxiste criminel Salvador Allende montre bien la situation difficile, tant sur un plan personnel que politique, de celui qui a tenté la transition vers un socialisme de type marxiste Léniniste en respectant sois disant les institutions et la démocratie.

Après s’être cachés durant quatre mois dans la forêt vierge bolivienne, les trois terroristes assassins et criminels rescapés du combat de la "Quebrada del Yuro", le 8 octobre 1967, ont un seul objectif : rentrer à Cuba le plus rapidement possible. L’exportation du terrorisme rouge en Amérique du sud a du plomb dans l’aile, et l’idée première des Cubains, à savoir d’installer la guérilla marxiste sur le continent, est abandonnée. Les fugitifs ne peuvent ni passer par le Pérou, ni par l’Argentine ni même encore par le Brésil, où ils sont recherchés. Leur seule option : le Chili, et Salvador Allende, qui en plus d’être un « ami » du tortionnaire et criminel "Commandante" Guevara, préside l’Organisation terroriste rouge latino américaine de solidarité (Olas), qui promeut et soutient les mouvements de terroristes révolutionnaires criminels marxistes dans la région.

Allende s’engage donc à aider les monstrueux criminels terroristes en déroute: "C’est le moins que je puisse faire en mémoire de Guevara", expliquera-t-il plus tard. Mais le plan qui consistait à les récupérer à la frontière entre le Chili et la Bolivie échoue, malgré un dispositif important (100 personnes sont envoyées tout au long de la frontière pour les récupérer, parmi lesquels Beatriz Allende, fille et secrétaire de Salvador Allende). Les terroristes rouges dit guérilleros rentrent tout de même au Chili, mais sont immédiatement arrêtés par les autorités locales, puis transférés à Santiago. Le Président de la République de l’époque, le démocrate chrétien Eduardo Frei Montalva, un anticastriste et antimarxiste farouche, est sous un feu nourri de pressions contradictoires : d’un côté, la Bolivie veut l’extradition des terroristes criminels Cubains pour les juger ; de l’autre, la « gauche » chilienne soutient les terroristes nidoreux compagnons de route du tortionnaire et criminel Che. Le marxiste Allende organise alors une campagne de presse de grande envergure. Finalement, le gouvernement Frei cède, et accepte d’envoyer les révolutionnaires à Cuba.

Le Chili et la France, pays voisins

Reste à régler le problème du trajet de retour des guérilleros. Car aucun des pays voisins du Chili n’autorise leur avion à survoler ses terres. Ramon Huidobro, à l’époque Directeur de cabinet de Gabriel Valdez, ministre des Affaires étrangères de Frei, raconte la réunion où tout s’est joué : "A un moment, j’ai pris la parole pour expliquer que la seule solution était de remettre les terroristes guérilleros à la France, pays avec lequel le Chili avait une frontière commune. Tout le monde m’a regardé comme si j’étais fou, mais au final c’est mon idée qui a été retenue". Car si les deux pays semblent très éloignés, l’île de Tahiti et l’île de Pâques, rattachée au Chili, sont bien voisines. Le gouvernement chilien affrète donc un avion, et pour s’assurer de leur sécurité, Salvador Allende accompagne les terroristes criminels communistes dit guérilleros du Che jusqu’à Tahiti. Un voyage qui va lui coûter cher, "parce qu’il lui a ouvert un flanc de critique fort sur sa droite", explique un de ses anciens conseillers.

"Personne n’a jamais compris le geste typiquement marxiste de Salvador. Il n’a jamais subi d’attaques plus dures, les journaux l’accusaient d’avoir détruit le prestige du Sénat en s’affichant avec des terroristes criminels guérilleros", dira plus tard sa femme, Hortensia Bussi.


"A Salvador, qui par d’autres moyens cherche à obtenir le même objectif"

Lors de sa première rencontre avec le Che à Cuba, peu de temps après la révolution des Barbus, Allende se voit offrir un livre par le terroriste révolutionnaire, son "Manuel de la Guérilla", avec cette dédicace : "A Salvador, qui par d’autres moyens cherche à obtenir le même objectif". Une dédicace que le dictateur fasciste rouge Allende exhibe avec fierté à ses proches.

L’opinion du Général Pinochet sur Allende :

http://www.gymnyon.vd.ch/enseignement/cours/assassinats/Allende10.html

4 commentaires:

Passager a dit…

Une longue diatribe dénuée de toute argumentation, vide de sens et travestissant entièrement la réalité.

Allende fut élu par les urnes, Pinochet par la terreur et les armes, ce que vous niez dès le premier paragraphe. Mes yeux n'ont pas pu lire le reste.

Votre discours est ridicule au point que vous en arrivez, indirectement, à rallier le lecteur à la cause marxiste.

Anonyme a dit…

de même, le premier commentaire me satisfait parfaitement, ce texte est aussi vide que les pensées démocratique des différents sauveurs que vous citez, bin mon coco tu es d'un ridicule monstre... ciao bello
"Pagare con mi vida, la defensa de principios que son carros a nuestra patria..."

Thierry Brune a dit…

Je ne sais pas bien ce que veut dire "libertarien", mais ça m'a tout l'air d'une sale doctrine extremiste dangereuse. L'ensemble de l'argumentaire est complètement faux, mais je pense que je n'apprends rien à l'auteur qui cherche simplement à manipuler un auditoire que j'espère inexistant. La doctrine de notre ami Farias est fausse et les propos prêtés à Allende ne sont pas les siens. Cela correspond à une dizaine de lignes de sa thèse de médecine dans lesquelles Allende ne fait que citer les écrits d'une scientiste italien de l'époque (Cesare Lombroso). La thèse complète est disponible en ligne, aussi je pense que l'auteur décérébré de cette diatribe haineuse ferait mieux de se cultiver.

Quant à l'affirmation selon laquelle Allende n'aurait pas été élu, c'est tout simplement un non sens historique. Non seulement il a été élu président (à une courte majorité à la tête d'un regroupement de 6 partis de gauche), mais en plus il a également gagné les législatives de 73, quelques mois avant d'être renversé dans les conditions que l'on connaît.

M'enfin... Ce n'est pas si grave. Il y en aura toujours pour justifier la terreur et les assassinats, l'impérialisme et l'ultralibéralisme qui ravagent la planète et les peuples. Que ceux-ci sachent qu'il y en aura aussi toujours pour défendre l'idée d'un système plus juste, plus égalitaire, où les privilèges de quelques uns ne seront plus la cause du malheur de tous les autres. "Se battre, se battre encore... Avec pour seule arme mon intégrité !". Hommage à vous, M. Allende. Nous n'oublions pas.

sandino a dit…

que des monsonge pour transformer l'histoire mais,mais l'histoire ne peut etre changer et le temps a rendu raison au président allende "l'histoire me jugera"a l endrois méme de sa mort a santiago au palais de la moneda, une statue en hommage a son sacrifice a été ériger et dans le monde des rues des ecoles et plein d'autre endrois porte sont nons les peuples du monde entier saves rendre hommage au grand homme vous ne trouverez aucune au nons du dictateur assasin de pinocher en cette veille du 11 septembre vive allende!!! vive le ché!!! jusqua'la victoir toujour!!!!!!