vendredi 6 juin 2014

Les dessous nauséabonds du socialisme à Marseille.



Source lundi 16 août 2010 Blog de Michel Alain Labet de Bornay.


Article de fond concernant l’affaire Sylvie Andrieux.

A Marseille, derrière le rideau de propagande mensongère surgit la réalité de l'horreur de la construction du socialisme provoquant misère et terreur pour la très grande majorité du peuple au profit d'une nouvelle bourgeoisie de truands et de gangsters qui, sans états d'âmes, se servent dans les poches des honnêtes citoyens pour des raisons bassement électoralistes et clientélistes, allant à Marseille jusqu'à subventionner le terrorisme musulman salafiste.


Madame le député du Parti Socialiste des Bouches-du-Rhône, Sylvie Andrieux, a été mise en examen, jeudi 8 juillet 2010 à Marseille, dans le cadre d’une affaire de détournement « présumé » (Lol) de fonds de la région Provence Alpes Côte d’Azur (PACA),dans laquelle 23 honnêtes socialistes étaient déjà mises en cause.


Mariée et mère d'une fille, Madame le député socialiste Andrieux- Paquet appartient à l'une des dynasties du socialisme defferriste. Elle est entrée en socialisme à 15 ans dans le sillage de son père, le sénateur du Parti Socialiste Antoine Andrieux (mort en 1983), et de sa marraine Irma Rapuzzi, également sénateur socialiste, deux proches de l'ancien maire socialiste de Marseille Gaston Defferre.


Madame le député socialiste Sylvie Andrieux demandait à être entendue depuis plusieurs mois dans le cadre de cette affaire. Elle affirmerait pouvoir démontrer la “fausseté des accusations” et qualifie sa mise en examen de diversion, Me François-Noël Bernardi, lui aussi élu socialiste, un des avocats avec Me Gaetan Di Marino de madame le député (Je dis Madame «  le député » ; je dirai « La députée » lorsque l’on dira une sapeuse-pompière !) a déclaré à Libération Marseille : « Elle est politiquement sanctionnable, mais pas pénalement, à mes yeux. » Encore une responsable mais pas coupable ; décidément au parti socialiste c’est d’un commun !

Le journal le Point avait l’an dernier consacré un grand article signé André Gattegno à ce qu’il analyse comme l’achat du vote des cités.


L’enquête a déjà donné lieu à la mise en examen de vingt-deux personnes, parmi lesquelles Franck Dumontel, l’ancien directeur socialiste de cabinet de Michel Vauzelle, Jules Nyssen, l’ex-directeur général des services, Guillaume Lalange, l’ex-directeur de l’aménagement du territoire et Roland Balalas. Ce système rodé de clientélisme et de corruption concernerait également le conseil général présidé par Jean-Noël Guérini, ( Un Corse né comme Mémé Guérini à Calenzana) par ailleurs puissant président, un poste non statutaire créé sur mesure en février dernier, de la Fédération socialiste des Bouches-du-Rhône.
Ce dernier n’a pas besoin de cette nouvelle affaire. Il est déjà éclaboussé par une autre, celle de fraudes et de corruption dans des marchés d’ordures ménagères, pour laquelle, son frère, Alexandre, patron de décharges, est directement visé. Une autre révélation pourrait s’avérer gênante pour Jean-Noël Guérini : récemment, à l’occasion du coup de filet contre une dizaine de caïds marseillais à Golfe Juan, la police a ramené dans ses filets une certaine Carole-Evelyne Serrano, compagne de Bernard Barresi, un truand en cavale depuis des années et gérante de la société de sécurité Alba Sécurité, qui travaille pour le très socialiste conseil général…

Roland Balalas, assistant de Sylvie Andrieux et homme-clé de ce dossier, aurait ainsi déclaré au juge : "« Le fait d’aider abondamment les associations est le résultat d’une stratégie politique ; les vannes sont ouvertes en grand dans un but que l’on peut qualifier d’électoraliste et de clientéliste ... Mme Andrieux utilise sans discernement les fonds publics sans se soucier de ce qu’il y a derrière, juste pour sauvegarder ses intérêts électoraux et politiques. C’est-à-dire qu’elle se fout complètement de savoir si ce que l’on finance est bon ou pas, dans la mesure où ça augmente sa popularité dans les quartiers. »


Rolland Balalas avait la réputation d’un homme qui ouvre les portes. En livrant ses secrets à la justice, il en a peut-être ouvert une de trop : celle qui conduit au scandale. Secrétaire général du groupe socialiste au conseil régional Provence Alpes Côte d’Azur, ce militant actif et volubile, aux cheveux longs et à la barbe christique, était le pivot des attributions d’aides publiques aux associations dans les quartiers Nord de Marseille. Il était en outre l’assistant de la députée Sylvie Andrieux, figure du socialisme local dont ces cités grises et soit disant déshéritées sont la terre d’élection. Pour son plus grand malheur, Balalas est aussi, à présent, le principal témoin à charge des pratiques malhonnêtes et occultes du PS phocéen.

« Le fait d’aider abondamment les associations est le résultat d’une stratégie politique ; les vannes sont ouvertes en grand dans un but que l’on peut qualifier d’électoraliste et de clientéliste », a-t-il déclaré au juge Franck Landou, qui l’a mis en examen en juin 2008 pour « complicité de détournements de fonds publics ». Suivait cette accusation, tranchante comme un poignard : « Mme Andrieux utilise sans discernement les fonds publics sans se soucier de ce qu’il y a derrière, juste pour sauvegarder ses intérêts électoraux et politiques. C’est-à-dire qu’elle se fout complètement de savoir si ce que l’on finance est bon ou pas, dans la mesure où ça augmente sa popularité dans les quartiers. »


Depuis, l’écho de ces déclarations pourtant jamais publiées à ce jour s’est propagé jusqu’au coeur du système politique marseillais, suscitant embarras et inquiétudes. Sylvie Andrieux a vite proclamé que les subventions étaient attribuées « par les services administratifs de la région » . Et quand, au début de cette année, la brigade financière a interpellé plusieurs dirigeants associatifs et perquisitionné à l’hôtel de région, le président (PS) du conseil régional, Michel Vauzelle, s’est empressé d’annoncer que la collectivité se constituait partie civile dans l’instruction du juge Landou. Sans savoir que celui-ci avait pris de l’avance.

Voilà bientôt deux ans, en effet, que ce magistrat discret et méthodique reconstitue un stupéfiant puzzle : une galaxie d’associations gigognes aux noms passe-partout et aux buts incertains qui ont reçu des millions d’euros de subventions dont l’essentiel a été distrait de leur finalité sociale. Créées par un petit groupe d’individus influents dans les cités, toutes ont été subventionnées par la région au titre de la « politique de la ville » sans que jamais personne ne vérifie l’usage des fonds. Résultat : loin d’avoir servi à des actions d’insertion, ces sommes ont été détournées et leur trace se perd dans un labyrinthe de retraits d’espèces, de fausses factures et de dépenses personnelles des ordinateurs jusqu’aux voitures de luxe.

« Aucune de ces associations n’a jamais effectué la moindre action conforme à ses statuts », a ainsi avoué l’un des piliers de ce réseau, Cédric Doco, commercial baratineur qui utilisait l’argent alloué pour acheter des machines (une pompe à carrelage et une pompe à béton, pour plus de 100 000 euros) pour sa propre SARL de construction. 

« Tiroir-caisse »
 
Boumedienne Benamar et Benyoub Same devaient convaincre les habitants des quartiers nord de voter en faveur de Sylvie Andrieux.
L’un a acheté des réfrigérateurs et des cuisinières pour le snack-bar familial. Avec les subventions, certains ont aussi acheté des Mercedes ! Sur les formulaires de demande, parents, voisins et copains de boîte de nuit étaient désignés comme autant de présidents et trésoriers fictifs. « Les gens que je démarchais ne voyaient qu’une chose, a confié Cédric Doco (*1) : le gain final grâce à l’argent du conseil régional. »


Animateur de plusieurs associations fantômes, Benyoub Same a précisé les termes de l’échange : « En contrepartie des subventions, je m’étais engagé auprès de Rolland [Balalas] à être disponible lors des élections sur le secteur : cela signifiait amener des gens aux meetings de Sylvie [Andrieux], faire de la propagande pour elle, ce genre de trucs. » Président d’une radio communautaire appréciée dans ces quartiers, Same aurait été recruté par Balalas pour soutenir l’élue socialiste après avoir fait campagne... pour la droite. « C’est quelqu’un qui avait foutu le bordel contre elle en 2001 dans son quartier de Font-Vert Picon, a expliqué ce dernier ; Sylvie Andrieux préférait l’avoir avec plutôt que contre. La contrepartie de ce retournement était de lui verser les subventions qu’il demandait par le biais des associations. »


Dans sa dernière audition par le juge, le 13 février, Balalas (*2) s’est montré encore plus explicite : « Same était très introduit auprès de Sylvie Andrieux. C’était quelqu’un qui, par ses réseaux, était capable de convaincre des gens de voter pour elle. Au moment des élections, elle le voyait presque tous les jours. Il s’est beaucoup investi pour la dernière campagne des législatives, en 2007, et aussi pour la présidentielle. Tous ces gens-là font les campagnes à chaque grand moment politique où il faut faire venir du monde. »
Pour attirer de nouveaux sympathisants, Same, Doco et leurs homologues faisaient miroiter emplois et faveurs diverses du conseil régional, voire l’assurance de pouvoir disposer un jour de sa propre association... « J’ai tellement promis de trucs pendant la campagne que je ne me souviens plus à qui j’ai dit ça », a lâché, cynique, l’un de ces « rabatteurs ». 


Le pire est que, de toute évidence, l’existence de ces « réseaux d’influence » (l’expression est de Balalas) alimentés sur fonds publics relevait du secret de Polichinelle. Durant la campagne municipale de 2007, Philippe Sanmarco, ancien député socialiste rallié à Jean-Claude Gaudin, avait dénoncé à voix haute ces pratiques, qui transformaient selon lui la collectivité régionale en « tiroir-caisse » et résumaient l’engagement politique à une « distribution de prébendes ».
Placé en garde à vue le 19 février, le directeur de l’aménagement au conseil régional, Guillaume Lalange, l’a confirmé : « Les subventions octroyées aux associations des quartiers Nord font partie d’un système électoraliste. » Le haut fonctionnaire a ajouté avoir « remué ciel et terre » pour imposer des critères précis aux attributions de subventions, mais en vain. « Ma hiérarchie m’a expliqué que la situation existante convenait à Mme Andrieux, a-t-il précisé. Elle voulait que cette ligne n’ait pas de critères pour faire passer les dossiers de sa circonscription. Tout le monde le savait. »
Ce flou entretenu favorisait tous les abus. Certains élus marseillais rappellent l’émotion que causa, naguère, l’aide allouée par la région à un mouvement lié aux fondamentalistes musulmans du Tabligh. Personne, apparemment, n’avait cherché à savoir comment serait utilisé l’argent... Les enquêteurs s’interrogent, eux, sur le rôle joué dans les réseaux de Balalas par les membres d’une famille liée au banditisme marseillais. La rumeur policière (non étayée à ce jour par l’instruction) évoque même des achats d’armes... Et plusieurs témoins font état du comportement menaçant d’un gros bras à la réputation sulfureuse reconverti en animateur d’associations dans les cités ; ayant appris, à l’automne 2007, que la subvention attendue était suspendue à des vérifications en cours, l’homme avait surgi à l’hôtel de région et pris à partie Balalas en ces termes : « Tu veux faire le mariole ? Je vais m’occuper de ton cas, tu vas morfler ! »

A la même époque, la découverte de falsifications dans des dossiers de demande présentés au conseil régional resta pourtant sans effet. Une fonctionnaire avait pointé par écrit ces « anomalies ». Elle a raconté s’être fait rabrouer par Sylvie Andrieux : « Comment avez-vous pu écrire cette note ? lui aurait demandé l’élue. Vous n’y connaissez rien, vous n’êtes pas sur le terrain ! Moi j’y suis et je les connais. » La même a évoqué devant les policiers les « pressions » exercées sur les services administratifs par le « groupe PS ».

« Nous n’étions qu’une chambre d’enregistrement », a-t-elle résumé. Questionné par la brigade financière, l’un des collaborateurs de Balalas auprès des élus socialistes a lui-même fait part de son malaise : « L’ensemble de l’équipe du groupe PS est parfois écoeuré par la dilapidation de l’argent public », a-t-il soufflé. Face aux protestations internes, « Mme Andrieux avait répondu qu’en période électorale on ne pouvait pas être regardant », a-t-il ajouté. Sollicitée par Le Point , la députée n’a pas voulu réagir à ces dépositions.
Jusqu’où l’argent détourné est-il allé ? D’après le Point, peut-être jusqu’aux réseaux du grand banditisme, et même jusqu’à un mouvement lié aux terroristes musulmans salafistes :
En savoir plus sur les salafistes des quartiers nord de Marseille : http://videos.tf1.fr/harry-roselmack-en-immersion/avec-les-fondamentalistes-musulmans-5803867.html
On sent une très grande incompréhension chez ces jeunes musulmans fondamentalistes salafistes des territoires perdus de la république qui se sentent très largement rejetés et stigmatisés par la société française « nos barbes font peur aux gens », « on n’est pas des terroristes » (Ce qui reste à démontrer). Ils ont eu envie de montrer à Harry Roselmack la sois disant sincérité et la pureté de leur engagement islamiste. Seulement voilà ; la fameuse scène du mouton sorti vivant de l’abattoir, alors que cela est strictement interdit par la loi(il doit être tué sur place pour des raisons d’hygiène), et qui avait valu à Roselmack les foudres de l’adjointe UMP à la Mairie Martine Vassal, qui l’avait accusé de « monter de fausses images », de « travestir les faits » accrédite bien la thèse que chez ces gens là, en s’assoie sur les lois de la république. D’ailleurs, « Martine » a été zappée au montage par TF1, ils ont laissé en revanche Samia Ghali, (*5) la populiste socialiste dégoulinante sénateur et maire du 15/16 à Marseille s’exprimer sur le sujet « on se croirait dans le tiers monde » dénonce t-elle en parlant de ces abattoirs mis en place par la ville. Sans doute un petit cadeau de Harry à Martine, si elle l’a regardé a dû en casser sa télécommande de rage.

« Fausses factures »
Plusieurs témoignages attestent cependant que ces alertes avaient provoqué son inquiétude. Informée en 2007 par Balalas de l’existence de fausses pièces dans les dossiers présentés par Benyoub Same, l’élue aurait alors donné à son collaborateur les instructions suivantes : « Tu le vois, tu lui dis ce qui se passe, qu’apparemment les gens se sont aperçus qu’il faisait des faux et qu’à un moment ça pouvait me mettre en danger et tu lui demandes de "reparamétrer" ses dossiers. » « Elle m’a dit qu’il était fou de faire ce genre de choses, qu’il fallait que ça s’arrête. Mais ça ne l’a pas empêchée de continuer à les financer », a ajouté Balalas. Avec cette conclusion : « Le système des "dossiers signalés" continue comme avant. »
Comme avant ? C’est à voir. En 2002, l’ancien responsable du service chargé de la politique de la ville au conseil régional, Christian de Leusse, (*3)dénonçant ces pratiques dans une note interne, redoutait que « l’institution et particulièrement son président s’expose à travers ces dossiers signalés ». Sept ans plus tard, sa sombre prédiction est en passe de se réaliser. Car l’enquête du juge Landou ne met pas seulement en cause Sylvie Andrieux. Plusieurs protagonistes assurent que le pouvoir d’attribuer les subventions relevait du cabinet de Michel Vauzelle.
« Toutes les listes [de demandes] sont avalisées par le directeur de cabinet du président », a certifié aux policiers le responsable de l’aménagement, citant le nom de (*4) et précisant : « Les négociations pour les dossiers se déroulaient entre Sylvie Andrieux et lui. » Ce dernier a quitté le conseil régional il y a quelques mois pour occuper le même poste à la communauté urbaine de Marseille, également dirigée par les socialistes. A la ville, il est aussi l’époux de Samia Ghali, ancienne élue régionale devenue sénatrice des Bouches-du-Rhône et figure de proue de la nouvelle vague du PS phocéen. De cette dernière Balalas a simplement dit, au détour d’un interrogatoire : « Elle a son propre circuit. » A la lecture de cette confidence, le juge Landou a sans doute pensé que la réputation de celui par qui le scandale est arrivé n’était pas usurpée : il n’a pas fini d’ouvrir des portes...Le patron de cette bande de malfaiteurs le frère Michel Vauzelle (*5) ne perd rien pour attendre. Une affaire à suivre donc…. !

Michel Alain Labet de Bornay . . .

(*1) Source: Cédric Doco : Travaux de maçonnerie (sic) Adresse : 28 chemin de Gibbes Code postal : 13014 Ville : Marseille. Tel : 04 91 58 00 97

(*2) Dans la famille Balalas, la politique tient lien de sacerdoce.
Le père, Théo, ancien de l’OAS qui a connu le mitard pour ses activités pro Algérie Française, fondateur et candidat du Front National lors des législatives de 1974 à Marseille, a montré la voie et trône désormais à la tête de la commission des adhésions de la fédération du Parti Socialiste des Bouches-du-Rhône, en compagnie d’Alexandre Guérini, le frère de Jean-Noël, patron du Conseil Général et vrai boss de la rose qui pue locale.
Le fils, Roland, fonctionnaire territorial à la région depuis 1992, est depuis secrétaire général du groupe socialiste à l’Hôtel de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur

(*3) Christian de Leusse : «Les élections, un enjeu pour les gays» Le gay socialo

(*4) Franck Dumontel, directeur de cabinet de MPM (Marseille Provence Métropole), occupait les fonctions de directeur de cabinet de Michel Vauzelle, et Jules Nyssen, aujourd’hui directeur général des services de la ville de Montpellier, la ville qui érige des statues à Lénine, celles de directeur général des services.

(*5) Grande amie de Sylvie Andrieux, sa soeur de loge maçonne du Droit Humain, Samia GHALI est l’épouse de Franck Dumontel, à quand la case jugement ? Elle aurait aussi acheté le vote des quartiers nord avec de l’argent public, aidée en cela par sa moitié, Monsieur Frank, mis en examen dans cette même affaire.
Ce qui est étrange, c’est qu’on a pu voir ce monsieur prévaricateur socialiste, siéger à la Mairie du 15° dans une très officielle réunion avec plusieurs responsables de la Police. Pour preuve, la photo prise et publiée dans La Provence au sujet de l’ouverture de ce nouveau service.
Comment peut-on être mis en examen et pourtant siéger dans une réunion publique avec les huiles policières? Bénéficie t’il encore des contacts protecteurs d’ Elisabeth Guigou, épouse de l'ancien conseiller technique de Michel Rocard, Jean-Louis Guigou franc maçon de la loge Intersection du Grand Orient, coprésidente avec Abderahmane Hadj Nacer du comité de pilotage politique d’Ipemed qui se consacre à la coopération euro méditerranéenne du temps où il était son petit secrétaire privé, juste sorti des pelouses du foot ?
GIGOLO et CRAPULES: elle est pas belle la moralité des socialopards de Marseille?

(*5) Le franc-maçon socialiste du Grand Orient de France Michel Vauzelle "fier d'être le président d'une grande région musulmane"

Mai 2010. Le frangin du GO ( Lui aussi) Michel Vauzelle, président socialiste de la Région P.A.C.A. depuis 1998, a participé vendredi avec environ 500 personnes, des responsables musulmans et des élus de gauche, à "un rassemblement de solidarité devant la mosquée mitraillée d'Istres". Devant la façade trouée par les impacts de la trentaine de balles tirées dans la nuit de samedi à dimanche par des inconnus sur la mosquée Arrahma (Miséricorde), le sous-préfet d'Istres Roger Reuter a assuré la foule "de la solidarité du gouvernement".
"La République condamne fermement cet acte barbare comme elle condamne ceux qui l'ont perpétré", qui "devront en répondre devant la société", a-t-il dit.
Outre le président Parti Socialiste de la Région le vénérable Michel Vauzelle, applaudi lorsqu'il s'est dit "fier d'être le président d'une grande région musulmane", plusieurs élus de gauche participaient à la cérémonie, dont le vice-président du conseil régional Patrick Mennucci, le maire d'Istres François Bernardini ou les députés PS Henri Jibrayel et Parti Communiste Français Michel Vaxès.
Tous ces frères et sœurs du Grand orient et du « Droit » Humain devraient bien ce méfier !
Dans un message daté du 11 mai 2008, un membre du forum DjibNet rappelle une Fatwa concernant l'appartenance au mouvement franc-maçon et leurs sectes.

Parmi les points qui soulèvent la critique : la prétendue fraternité, l'adhésion par intérêt personnel, les objectifs politiques de l'organisation, sa volonté de destruction des religions (pour détruire l'islam dans l'esprit des musulmans en particulier). Le message indique aussi : Cette organisation dans son origine, sa structure, et sa direction générale mondiale est contrôlée par les juifs et a des activités sionistes. Il évoque également la relation entre la franc-maçonnerie et le sionisme.

Cette fatwa aurait été adopté par une Assemblée de jurisprudence qui se serait tenue à La Mecque le 15 juillet 1978 (selon le calendrier occidental soit 10/8/1398 selon le calendrier musulman).

Le message se conclut ainsi : Sur la base de tout ce qui a été dit et sur d’autres faits concernant les activités de la franc-maçonnerie, son grand danger et ses objectifs vicieux, l’Assemblée de jurisprudence a déterminé que la franc-maçonnerie fait partie des organisations les plus dangereuses et les plus destructrices pour l’islam et les musulmans. D’autre part, celui
qui adhère à cette organisation tout en connaissant sa réalité et ses objectifs, est considéré comme mécréant, et non pas comme musulman.

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