Le square André Ulmann ce trouve dans le 17e arrondissement de Paris, vous savez ce quartier un peu triste ou le 7 décembre 2008 vers 3h45 dans un bus de nuit, un Noctilien, un voyageur a été sauvagement agressé par quatre « jeunes » chances pour la France et vrais pépites de la nation. Jeté à terre, le jeune homme est roué de coups de pied et de poing aux cris de "fils de pute" et de "sale Français". Les passagers, qui tentent d'intervenir, sont eux aussi molestés.
Ouvert en 1947, ce square de 5900 m2 est planté de massifs fleuris et de rosiers, de platanes, d’ifs et de cerisiers. C’est un endroit charmant qui plaît aux enfants car ils y disposent d’une aire de jeux et d’un bac à sable. Ou de plus, ils peuvent sainement bénéficier des effluves embaumés des pots d’échappement du boulevard périphérique Parisien !
Le site de la Mairie Socialo communiste de Paris nous en dit :
Les enfants ont élu domicile dans ce jardin qui allie les joies de la détente à celles des loisirs.
Ils peuvent ainsi grimper, courir ou glisser sur les multiples jeux pendant que leurs aînés profiteront des rayons du soleil sur les pelouses, ponctuées de jolis massifs fleuris et de rosiers. Des platanes hybrides, des ifs et des cerisiers du Japon aux floraisons fabuleuses dispensent leur ombrage.
Journaliste économique et républicain farouche, André Ulmann (1912-1970) organisa à la fin de la guerre d'Espagne, l'évacuation des Républicains espagnols. Pendant la seconde guerre mondiale, il participa, en tant qu'ancien prisonnier, à la fondation du Mouvement National des Prisonniers de guerre et des déportés et créa un réseau de résistance. Arrêté en 1943, il fut déporté à Mauthausen et organisa la résistance de déportés s'illustrant par son courage et son dévouement exemplaire. Après la Libération, il reprit son métier de journaliste, devenant rédacteur en chef du journal « Les Etoiles », puis de l'hebdomadaire « La tribune des Nations ».
…. Sauf qu’on oublie la suite…. Terrible ! Honteuse ! Crapuleuse ! Ce monsieur Ulmann n’était qu’un judas, un grotesque polichinelle marxiste, une sombre crapule communiste, traître à la France, une nouvelle indignité nationale :
Ullman s'affilie secrètement au Parti Communiste Français en 1946 et est recruté la même année par le NKVD sous le nom de code de 'Durant'. En 1948, il se rapprochera également des services polonais sous le nom de code de 'Louli'.
André Ullmann écrit en 1948 un article sous le faux nom de Sim Thomas, censé être un journaliste américain, affirmant que "J'ai choisi la liberté" de Victor Kravtchenko était un faux et que l'auteur était un ivrogne. Ce texte, repris par Les Lettres françaises (où officiait, entre autre, un certain Aragon), journal proche du Parti Communiste Français, amena un célèbre procès en diffamation. L'origine de ce faux ne sera connue qu'en 1979 avec la publication des mémoires de Claude Morgan, directeur de la revue.
Le perroquet bavard André Ullmann restera un agent soviétique jusqu'à sa mort, mais il semble qu'il ait davantage œuvré comme agent d'influence que comme agent de renseignement.
Son hebdomadaire, La Tribune des nations (ÉCOLE pour le KGB ), envoyé aux ministères et aux principaux décideurs ainsi qu'à de nombreuses ambassades, bénéficia largement des 3 500 000 francs français versés en 24 ans par ses immondes employeurs soviétiques.
Si l'horreur provoquée par la construction du socialisme a pu exister si longtemps et se produire dans tant de pays, c'est à cause du rideau de mensonges constamment organisés par des organisations (pc, associations d'«amitié», groupes actifs et « militants » nidoreux, collectifs pour la « paix », soutiens aux immigrés clandestins illégaux etc.) ce rideau de bas mensonges fut aussi l’ œuvre d’agents payés, Ullman était l’ un d’eux,un des pires, trahir pour des idées …. Peut être…. Mais pour de l’argent ! On reconnaît bien là, la bassesse et l’abjection socialo communiste.
Ca me fait penser à ce que disait un criminel lors de son procès : "j'ai serré son cou, mais je ne pensais pas que cela pouvait le tuer" !!!!
Le monstrueux traître André Ulmann, d'après les archives soviétiques, fut un membre "caché" du parti communiste français - ici, il passait pour un "compagnon de route" du parti, pas davantage - et membre des services secrets soviétiques (NKVD - 1e Direction chargée de la désinformation) et de ceux de la Pologne communiste.
A ce titre, il aurait au début agit par conviction mais était devenu un agent rémunéré qui agissait consciemment pour influencer l'opinion des gens de pouvoir, les fameux abrutiles et des intellocrates lobotomisés (Véritable docteur Goebbels, cette saloperie rouge réécrivait l’histoire dans un sens favorables à ceux qu'il servait.) Il continua imperturbablement à officier en ce sens jusqu'à sa mort en 1970.
Inutile de dire qu'il n'était pas le seul. On cite les noms d'une cinquantaine d'autres, dont des hommes politiques proches du pouvoir, de droite comme de gauche, des 4e et 5e Républiques. Je suis en train de vous en trouver d’autres ! Comme par exemple Pierre Charles Pathé, alias Pecherin puis Mason, qui fonde, avec des fonds du KGB, une agence d'informations, le Centre d'information scientifique, économique et politique. Il est arrêté et condamné en 1980 à cinq ans d'emprisonnement. Il sera libéré en 1981.Il est prouvé que l’antenne du KGB à Paris disposait d’agents d’influence dans au moins trois organes de presse, Le Monde, l’hebdomadaire L’Express et l’Agence France-Presse, que de beaux articles en perspective…. !
Savez vous aussi qu'il existe en France un collège Félix Djerzinski, du nom du fondateur de la Tcheka, organisme ensuite rebaptisé KGB. Et comme personne ne semble trouver cela gênant ou anormal, un square Ullmann, hein ? Par contre, imaginez un seul instant un collège "Hermann Goering", vous savez, le fondateur de la Gestapo, véritable jumeau de la Tchéka et pourquoi pas un square Pol Pot ou Adolf Hitler ...
Pantin lui avait même donné une rue,à ce « camarade » criminel car la commune était jumelée avec la ville de Mechanski en Russie, et que cette ville s'appelait avant Djerzinski, la rue Djerzinski a été renommée rue Mechanski quand cette ville a été elle même renommée en Russie.
Et à Bobigny, pour aller à la Cité de l’ennemi du genre humain Karl Marx, il faut prendre la rue du criminel contre l’humanité Lénine, et passer par la Place de l'appel du 10-juillet-1940, appel apocryphe à la pseudo résistance du PCF, vous pourrez même passer dans ce magnifique pays des droits de l’homme un moment dans la rue Staline à Essômes-sur-Marne.
A Paris bientôt : « Pardon monsieur, je cherche le square Ullmann ? » … « Ah oui pas compliqué, vous prenez le boulevard Pol- Poth et arrivé place Léon Davidovitch Bronstein, vous prenez à gauche la rue Mao tzé dong puis la rue Kim Il Soung, le square Ullmann est tout de suite à droite, dans l’ impasse Che Guevara avant la placette Fidel Castro. »
Michel Alain de Bornay
NI BANQUE NI SOVIET. La grande dignité de la philosophie libertarienne kunique, son génie aussi, c’est qu’elle considère qu’il n’y a pas d’homme idéal réalisable, cette philosophie procède d’une intuition complètement différente se basant non plus sur une ou des éthiques surannées, mais sur la raison pure et les lois naturelles le concret et le particulier.
vendredi 18 septembre 2009
Le Square André Ulmann.
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