vendredi 19 septembre 2008

Sartre Jean-Paul :

Jean-Paul Sartre était un sale connard marxiste culturel, idiot utile, antisémite et raciste, n’a t il pas écrit : « La raison n'est pas noire ».

Néanmoins je dois dire un grand merci à ce feu et poussiéreux de branquignollerie communiste Sartre, qui à fait de moi un cynique, en ayant éructé en 1952 : « Tout anti-communiste est un chien » ! De l’anticommunisme primaire et viscéral à l’éthique cynique d’un chien libertarien devenu sous chien par la grâce d’une petite b….. de merde il n’y a qu’un pas.
Jean-Paul Charles Aymard Sartre est né à Paris, en France le 21 juin 1905 chez sa tante par ce que sa mère n’était pas là, il est crevé cet enculé, toujours à Paris, le 15 avril 1980 ; c’était un intellocrate cocu dit philosophe et écrivaillon marxiste (dramaturge bolcho et nouvelliste stalinien ) ainsi que critique du XXe siècle dont la vie de marxiste culturel drogué et d’abruti alcoolique, idiot utile dit : « d'intellectuel engagé » a suscité pour le moins polémiques et réticences( *). Intransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées marxistes. Sartre est connu aussi comme le compagnon cocu de la pédophile Simone de Beauvoir.
Auteur prolifique, Sartre laisse derrière lui un tas de merde titanesque, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits « philosophiques » ou de biographie. Sa philosophie marxiste a marqué l'après-guerre, et il reste le symbole, l'archétype de l'intellocrate idiot utile dit « engagé ».
Il fut en effet de tous les « combats » avilissants et marxistes puants, mais seulement avec des mots de petit trouillard cocu, lâche et veule pleinement et totalement « engagé » dans son époque, embrassant avec ferveur toutes les « causes » les plus pourries du marxisme criminel qui lui ont semblé « justes ».
Jean Paul Charles Aymard Léon Eugène Sartre est fils unique, il provient d’une famille bourgeoise : son père est polytechnicien, militaire, sa mère descend d’une famille d’intellectuels et de professeurs protestants alsaciens, les Schweitzer. Il est le petit-neveu du célèbre Albert Schweitzer. Le petit Sartre ne connaîtra pas son père : il meurt de la fièvre jaune peu après sa naissance.
L’image du père est pourtant là : c’est son grand-père, Charles Schweitzer, homme à la personnalité imposante, qui l’éduque avant qu’il n’entre à l’école publique à 10 ans. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va donc vivre avec sa mère chez les parents de celle-ci. Il y passe 10 années heureuses. Le petit Poulou va être adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui va sans doute construire chez lui un certain narcissisme. Dans la grande bibliothèque bourgeoise de la maison Schweitzer il découvre très tôt la littérature, et préfère lire plutôt que de fréquenter les autres enfants du petit peuple (enfance évoquée dans son autobiographie Les Mots).
Cette période se termine en 1917 : sa mère se remarie avec un polytechnicien, que Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr, de là sa haine perpétuelle et viscérale des humains. Ils déménagent alors à La Rochelle, où il restera de 12 à 15 ans, et qui seront pour lui des années de calvaire : Sartre passe en effet du paradis narcissique schweitzerien à la réalité des lycéens du peuple violents et cruels, tandis que l'enfant doit partager avec le nouveau mari une mère qui était auparavant sa propriété exclusive.
Vers l’été 1920, malade, Jean-Paul Sartre est rapatrié d’urgence à Paris. Soucieuse de son éducation qui pourrait être « pervertie » par les très populaires garçons du lycée du Havre, sa mère décide de l'y faire rester.
À la surprise de ses admirateurs, qui s'interrogent sur une possible erreur du jury, Sartre échoue en 1928 lamentablement à l’agrégation de philosophie de laquelle Raymond Aron est classé premier . Préparant d'arrache-pied le concours pour la seconde fois, il rencontre dans son groupe de travail Simone de Beauvoir, présentée par un ami commun, André Herbaud, qui la surnommait « castor », par référence à l'anglais beaver (qui signifie « castor » : d'une part, cet animal symbolise le travail et l’énergie ; de l'autre la sonorité du mot beaver est proche de celle du nom « Beauvoir »). Ce surnom sera adopté par Sartre et elle deviendra sa compagne jusqu'à la fin de sa vie. Elle sera son « amour nécessaire » en opposition aux « amours contingentes » qu’ils seront amenés à connaître tous deux. Sartre est reçu premier à l'agrégation à la deuxième tentative, Simone de Beauvoir remportant la seconde place (le classement étant à l’époque séparé entre filles et garçons).
Après son service militaire, le jeune agrégé (il a alors 26 ans) demande à être muté au Japon, qui l’a toujours intéressé. Rêve brisé, puisqu'il est envoyé au lycée du Havre, aujourd'hui lycée François Ier, à compter de mars 1931. C’est une épreuve pour Sartre, lui qui a tellement craint les vies rangées et qui a tellement critiqué dans ses écrits la vie ennuyeuse de professeur de province.
Entre-temps il prend la succession de Raymond Aron à l’Institut français de Berlin en 1933 et 1934, où il complète son initiation à la phénoménologie de Husserl.
La gloire, il pensait l’obtenir depuis qu’il était tout petit, ces années au Havre la remettent en cause puisque ses écrits sont refusés par les éditeurs. Elle arrivera pourtant cette gloire, et commence avec son premier livre publié en 1938 chez Gallimard, La Nausée, roman de merde illisible (« phénoménologique ») et quelque peu autobiographique, racontant la vie de con d'un professeur de province. Il est entre-temps muté dans la prestigieuse École normale d'instituteurs de Laon en Picardie, d'où sont notamment issus Alexandre Dumas et, plus tard, Christian Nique, conseiller à l'Éducation du Président François Mitterrand.
Deuxième bonne nouvelle : il est muté en octobre 1937 au lycée Pasteur de Neuilly. Commence alors pour lui une brève phase de notoriété, avec son roman pourri La Nausée qui ratera le prix Goncourt et la publication d'un recueil de nouvelles, Le Mur. Cette phase va être brusquement stoppée par la Seconde Guerre mondiale, où il est mobilisé à Nancy.
Avant la guerre, Sartre n’a pas de conscience politique. Pacifiste mais sans militer pour la paix, l’antimilitariste unilatéral Sartre assume la guerre sans hésiter. L’expérience de la guerre et de la vie en communauté va le transformer du tout au tout. Pendant la drôle de guerre , il est engagé comme planqué soldat météorologiste. Sa « fonction » lui laisse beaucoup de temps libre, qu'il utilise pour écrire énormément (en moyenne douze heures par jour pendant neuf mois, soit 2000 pages, dont une petite partie sera publiée sous le titre de Carnets de la drôle de guerre qu’il n’a pas connue, ni faite). Il écrit d'abord pour éviter le contact avec ses compagnons populaire car il supporte en effet assez mal les relations sérieuses avec des pauvres souvent illettrés et celle hiérarchiques avec des sous officiers qu’il dit abrutis, qui tel l’adjudant de la chanson de Boris Vian, sortent leur revolver lorsqu’ils entendent le mot culture et qui serait à ces dires celles de l’armée en général.
La drôle de guerre prend fin en mai 1940, et le faux conflit devient bien réel. Le 21 juin, Sartre est fait prisonnier à Padoux dans les Vosges, et est transféré dans un camp de détention en Allemagne de 25 000 détenus. Son expérience de prisonnier le marque profondément : elle lui enseigne la solidarité avec les hommes ; loin de se sentir brimé, il participe dans l’allégresse à la vie communautaire des camps de prisonniers Allemands : il raconte des histoires à ses copains de chambrée le soir, participe à des matchs de boxe, enfin écrit et met en scène une pièce pour la veillée de Noël.
Cette vie dans le camp de prisonniers est importante, car elle est le tournant de sa vie : dorénavant, il n’est plus l’individualiste des années 1930, mais une personne consciente d'un devoir dans la communauté.
En mars 1941, Sartre est libéré grâce à un faux certificat médical (déjà le faux entre dans la vie de l’agité du bocal).
La guerre le transforme donc en « écrivain engagé ». Engagé comment ? Il crée au printemps 1941 un groupe « clandestin » « Socialisme et liberté » avec Beauvoir, Merleau-Ponty, Jean Toussaint et Dominique Desanti, Jean Kanapa, des étudiants de droite de l’École normale… À l’époque, les communistes sont alliés de l’occupant nazi et diffusent des tracts anti sémites jusqu’en Juin 1941 à la rupture du pacte germano-soviétique, qu’Hitler rompt à cette date.
Le groupe « Socialisme et liberté » tient ses réunions dans des chambres d’hôtels ou à La Closerie des Lilas. En juin 1941, il regroupe une cinquantaine de personnes.
Certains véritables historiens et philosophes authentiques, tels que Vladimir Jankélévitch, qui lui reprochera son manque d'engagement, voit ce mouvement comme celui de « philosophes » pantouflard et amateurs face au professionnalisme de la résistance communiste et gaulliste.
En août, Sartre et Beauvoir vont chercher le soutien de deux André : le pédéraste André Gide à Grasse et Malraux au Cap d’Ail, près de Saint-Jean-Cap-Ferrat. Mais Gide est indécis et Malraux pas encore prêt. La déception et le découragement sont-ils trop grands ? « Socialisme et liberté » disparaît rapidement.
La lâche bourrique à lunettes Sartre se dit alors qu’à défaut de « résister activement », il va écrire. De ce point de vue, l’année 1943 est, fructueuse. Au printemps 1943, sentant le vent tourner il se rapproche de Pierre Kaan, du Comité National de la Résistance, venu à Paris créer des groupes de sabotage, les groupes AGATE. Ces groupes sont démantelés par les allemands en 1943, et les velléités « résistantes » de l’ignoble trou du cul Sartre disparaissent avec eux à la fin de cette année.
Auteur de « théâtre résistant » ? Il le prétend après la guerre : « Le véritable drame, celui que j’ai voulu écrire, c’est celui du terroriste qui, en descendant des Allemands dans la rue, déclenche l’exécution de cinquante otages », écrit-il dans Un théâtre de situations au sujet des Mouches. Sur le coup, si la presse critique ses pièces, personne n’ y voit un message contre l’occupant. Il est vrai que Michel Leiris, écrit (anonymement) la seule critique favorable parue dans Les Lettres françaises sur une pièce jouée pendant l’Occupation : Les Mouches. Pour qui veut le comprendre, cette pièce de merde à la con ou tout le monde se barre avant la fin tellement c’est chiant et à chier, défendrait la liberté de l’individu dans le cadre d’un régime d’oppression et critique le « méaculpisme » du pouvoir de Vichy qui se repend des « fautes » de la fin de la Troisième république. Quant à Huis clos, la pièce est très critiquée, par la presse officielle.
Cependant, une surprise récente n’aide pas à faire de Sartre l’incarnation de l’écrivain engagé en temps de guerre. Pendant le procès de Monsieur Maurice Papon, le communiste Jean Daniel révèle dans un éditorial du Nouvel Observateur en octobre 1997 qu’à la rentrée 1941, Sartre a pris la place au lycée Condorcet d’un professeur révoqué Henri Dreyfus par ce que juif. Ingrid Galster explique dans Les Intellectuels et l’Occupation que Sartre ne devait pas ignorer la raison de l’éviction de son prédécesseur, ce qui ne l’a pas empêché d’accepter ce poste qui lui demandait moins de travail qu’au lycée Pasteur et lui permettait de mieux se consacrer à l’écriture. Elle écrit d’ailleurs « qu'il l'ait voulu ou non voulu : objectivement, il profitait des lois raciales de Vichy »
On constate que les protestations contre les évictions d’enseignants juifs ne furent pas légion, mais il y en eu, Sartre ne fait donc pas tellement exception, mais lorsque l’on se targue de « lutter pour les « droits de l’homme » on agit autrement, si non, on n’est tout simplement qu’un vulgaire antisémite ! Mais, n’en déplaise a Bernard-Henri Lévy, rien n’obligeait Sartre à se faire après la Libération un chantre de l’engagement humaniste en tout temps et en tout lieu. La vogue de l’existentialisme se situe dans l’immédiat après-guerre, période pendant laquelle le souvenir des atrocités vécues par certains permet difficilement aux opinions « non-existentialistes » de s’exprimer. Sartre théorise l’engagement de l’intellectuel dans Les Temps modernes dès la fin 1945, alors que les procès de l’épuration sont lancés… Vladimir Jankélévitch n’est pas loin de la vérité lorsqu’il voit dans la non-résistance active du damné pourri croupion Sartre entre 1941 et 1944 des explications de ses « combats » ultérieurs.
Malgré la dissolution du groupe « Socialisme et liberté », Sartre ne renonce pas pour autant à la plume et la pipe. Il fait jouer, en 1943, une nouvelle pièce de merde chiante à mourir qu’il a composée, Les Mouches, reprenant le mythe d’Électre et que l’on a pu interpréter à posteriori comme un appel à « résister ». C'est lors de la Première qu'il fait la connaissance d’ Albert Camus. En cette période d'occupation, la pièce à la con n'a pas le retentissement escompté : salles vides, représentations interrompues plus tôt que prévu. Pour Jean Amadou, cette représentation est plus ambiguë : « En 1943, dans l'année la plus noire de l'Occupation, il fit jouer à Paris Les Mouches. C'est-à-dire qu'il fit très exactement ce que fit Sacha Guitry, donner ses pièces en représentation devant un parterre d'officiers allemands, à cette différence qu'à la Libération Sacha Guitry fut arrêté alors que la tafiolle Sartre fit partie du Comité d'épuration, qui décidait quel écrivain avait encore le droit de publier et quel autre devait être banni. André Malraux qui, lui, avait risqué sa vie dans la Résistance, ne se crut pas autorisé pour autant à faire partie de ce tribunal marxiste autoproclamé. » Michel Winock estime que « ce fut la rouerie de Sartre de transformer un échec théâtral en bénéfice politique ».

En 1944 l’occupant parti, Sartre est recruté par Camus pour le « réseau résistant » Combat, il devient reporter dans le journal du même nom, et décrit dans les premières pages, la libération de Paris. Là commence sa renommée mondiale. Cette petite merde antisémite est envoyé en janvier 1945 aux États-Unis pour écrire une série d'articles pour Le Figaro, et y est accueilli comme un héros de la résistance qu’il n’a jamais été autrement qu’avec la plume : « Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande.(sic Nous avions perdu tous nos droits et d’abord celui de parler ; on nous insultait en face chaque jour et il fallait nous taire ; on nous déportait en masse, comme travailleurs, comme Juifs, comme prisonniers politiques ; partout sur les murs, dans les journaux, sur l’écran, nous retrouvions cet immonde visage que nos oppresseurs voulaient nous donner de nous-mêmes : à cause de tout cela nous étions libres… puisqu’une police toute-puissante cherchait à nous contraindre au silence, chaque parole devenait précieuse comme une déclaration de principe ; puisque nous étions traqués, chacun de nos gestes avait le poids d’un engagement. Les circonstances souvent atroces de notre combat nous mettaient enfin à même de vivre, sans fard et sans voile, cette situation déchirée, insoutenable qu’on appelle la condition humaine. L’exil, la captivité, la mort surtout que l’on masque habilement dans les époques heureuses, nous en faisions les objets perpétuels de nos soucis, nous apprenions que ce ne sont pas des accidents évitables, ni même des menaces constantes mais extérieures : il fallait y voir notre lot, notre destin, la source profonde de notre réalité d’homme ; à chaque seconde nous vivions dans sa plénitude le sens de cette petite phrase banale : « Tous les hommes sont mortels. » Et le choix que chacun faisait de lui-même était authentique puisqu’il se faisait en présence de la mort, puisqu’il aurait toujours pu s’exprimer sous la forme « Plutôt la mort que... Jean-Paul Sartre, extrait article paru à origine dans Lettres Françaises en 1944.

Après la libération, le déjà cocu et faux résistant Sartre connaît un succès et une notoriété importante auprès des imbéciles avides de vivre après la guerre ; il va, pendant plus d'une dizaine d’années, régner sur certaines lettres françaises. Prônant l’ »engagement » comme une fin en soi, la diffusion de ses thèses se fera notamment au travers de la revue qu’il a fondée en 1945, Les Temps modernes. Sartre y partage sa plume, avec entre autres, Simone de Beauvoir, Merleau-Ponty et Raymond Aron. Dans le long éditorial du premier numéro, il pose le principe d'une responsabilité de l'intellectuel dans son temps et d'une littérature engagée. Pour lui, l'écrivain est dans le coup « quoi qu'il fasse, marqué, compromis jusque dans sa plus lointaine retraite (…) L'écrivain est en situation dans son époque. » Cette position sartrienne dominera tous les débats intellectuels de la deuxième moitié du XXe siècle. La revue est toujours considérée comme l'une des plus prestigieuses revues françaises au niveau international.
Tout le « beau » monde, aujourd’hui on dit ; les bobos, se veut maintenant « être » existentialiste, « vivre » existentialiste. Saint-Germain-des-Prés, lieu où habite Sartre, devient le quartier de l'existentialisme, en même temps qu'un haut lieu de vie culturelle et nocturne : on y fait la fête dans des caves enfumées, en écoutant du jazz, ou encore en allant au café-théâtre. Phénomène rare dans l'histoire de la pensée française, une pensée pseudo « philosophique » technique et austère trouve pourtant, dans un très large public, un écho inhabituel. On peut expliquer cela par deux facteurs : tout d'abord l’œuvre de Sartre est multiforme et permet à chacun de trouver son niveau de lecture, ensuite l'existentialisme, qui clame la liberté totale, ainsi que la responsabilité totale des actes de l'homme devant les autres et devant soi-même, se prête parfaitement à ce climat étrange d'après-guerre où se mêlent fête et mémoire des atrocités. L'existentialisme devient donc un véritable phénomène de mode, plus ou moins fidèle aux idées sartriennes, et par l'ampleur de laquelle l'auteur semble un peu dépassé.

Pendant ce temps, le ténia Sartre va affirmer son engagement politique en éclairant sa position, au travers de ses articles dans Les Temps modernes : Sartre épouse, comme beaucoup d'intellocrates de son époque, la cause infecte de la révolution marxiste, mais sans pour autant donner ses faveurs au Parti communiste, aux ordres d'une URSS qui ne peut satisfaire l'exigence de liberté. Simone de Beauvoir, Sartre et ses amis continuent donc à chercher une troisième voie, celle du double refus du capitalisme et du stalinisme. Il soutient Richard Wright, un écrivain noir américain ancien membre du Parti communiste américain exilé en France dès 1947.
Dans sa revue Les temps modernes, il prend position contre la guerre d'Indochine, s'attaque au gaullisme et critique l'impérialisme américain. Il ira jusqu'à affirmer, dans cette même revue, que « tout anti-communiste est un chien ».
C'est alors que Sartre décide de traduire sa sinistre pensée chaotique et décousue en expression politique : en fondant avec quelques connaissances un nouveau parti politique, le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Mais malgré le succès de quelques manifestations, le RDR n’atteindra jamais un effectif suffisant pour devenir un véritable parti. Sartre donne sa démission en octobre 1949.

La guerre de Corée, puis la répression musclée d'une manifestation antimilitariste du PCF pousse le petit pourri antisémite Sartre à choisir son camp : le cocu bourgeois Sartre voit alors dans le nidoreux communisme une solution aux problèmes du prolétariat. Ce qui lui fait dire : « Si la classe ouvrière veut se détacher du Parti (PCF), elle ne dispose que d'un moyen : tomber en poussière »
Sartre devient un compagnon de route, un idiot utile de l’immonde Parti communiste Français entre les années 1952 et 1956. Dès lors, il participe à sa mouvance : il prend la présidence de l'Association communiste France URSS et devient membre du Conseil mondial de la paix ( sic) de la nébuleuse bolcho.

Ce ralliement idéal de Sartre au communisme sépare de même le ténia Sartre et l’intelligent Albert Camus, très proches auparavant. Pour Camus, l'idéologie marxiste ne doit pas prévaloir sur les immondes crimes staliniens, alors que pour la pourriture Sartre, qui est au courant de ces crimes, on ne doit pas utiliser ce qu’il nomme « ces faits » comme prétexte à l'abandon de l’engagement révolutionnaire. Il fait sienne la célèbre phrase du bon Saint Joseph Staline premier fournisseur du paradis céleste qui disait : « La mort d'un homme est une tragédie. La mort d'un million d'hommes est une statistique."
L’immonde ténia Sartre présente le marxisme comme « horizon philosophique indépassable de notre temps».Quand l’horizon est bouché par plus de 100 millions de morts, il faut être carrément con pour écrire de pareilles stupidités. Après avoir observé et analysé l'existence et la liberté de l'homme en tant qu'individu, Sartre s'est interrogé sur l'hypothétique existence d'une conscience collective qui lui servirait d’alibi à sa pensée marxiste et son rapport avec la liberté individuelle. Dans sa très Stalinienne Critique de la raison dialectique (1960) le ténia Sartre affirme que la liberté de l'homme est aliénée par les sociétés féodales ou capitalistes et en oubliant sciemment les paradis des travailleurs communistes. Il analyserait donc, cet abruti par l’alcool et la drogue, comment, dans les sociétés aliénées, les libertés individuelles peuvent conduire à un effet opposé à l'intention générale et à l'aliénation de la liberté collective. Il suggère alors d'inverser le processus : le groupe doit pouvoir décider de regrouper les libertés individuelles pour permettre le développement de l'intention générale. Le ténia Sartre pense que cette sorte d'aliénation de la liberté individuelle doit être librement choisie et s'oppose ainsi à toute forme de totalitarisme.» En résumé et avec des mots simples, si le capitalisme c’est l’exploitation de l’homme par l’homme, le communisme c’est juste le contraire, ceci étant bien expliqué par Garnier anarchiste illégaliste illustre ancêtre des libertariens.
Voir ici : http://www.infokiosques.net/imprimersans2.php3?id_article=358
Cette fidélité à l’odieux et criminel Parti Communiste Français va tenir jusqu'en automne 1956, date à laquelle les chars soviétiques écrasent l'insurrection de Budapest. Après avoir signé une pétition d' intellocrate de gauche et de rares communistes contestataires, il donne le 9 novembre une longue interview au journal l'Express , pour se démarquer de manière théâtrale du parti.
Après cela l'existentialisme est en perte de vitesse : dans les années 1960, l'influence de l’idiot utile Sartre sur certaines lettres françaises et l'idéologie marxiste diminue peu à peu, notamment face aux structuralistes comme, le philosophe Foucault ou le psychanalyste Lacan. Le structuralisme est en quelque sorte l'ennemi de l'existentialisme : il n'y a en effet dans le structuralisme que peu de place pour la liberté humaine, chaque homme étant imbriqué dans des structures qui le dépassent et sur lesquelles il n'a pas prise. De plus dans les années 1960 sa santé se détériore rapidement. Le drogué cocu Sartre est prématurément usé par sa constante suractivité littéraire et politique, usé par le tabac et l'alcool qu'il consomme en grandes quantités, ainsi que les drogues (Héroïne, cocaïne et amphétamines).
Si Sartre a pris ses distances avec le parti communiste, il continue à être un véritable idiot utile instrumentalisé par les marxistes culturels. Il a été une des cibles du Congrès pour la liberté de la culture, association culturelle anticommuniste fondée en 1950.
En 1950 éclate ce que les organes de presse à la solde des bolchos appelleront : « l'affaire Henri Martin », un soldat Français, marin d’état et terroriste du Parti communiste français qui est arrêté pour acte de sabotage en faveur du Parti National communiste du Viet Nam. À la libération de l’immonde traître à sa patrie ; en 1953, Sartre signe : « L'affaire Henri Martin ».Un pamphlet nidoreux à la gloire de l’infect saboteur communiste traître et criminel !
Dès 1956, Sartre et la revue Les Temps modernes prennent parti contre l'idée d'une Algérie française et soutiennent le désir d'indépendance du sois disant « peuple algérien ». Le trou du cul Sartre s'élève contre la prétendue « torture », revendique la liberté pour les « peuples » de décider de leur sort, analyse la violence comme une « gangrène », produit du fameux «colonialisme ». La pourriture humaine Sartre, qui est au courant des crimes du communisme aux 100 millions de morts innocents, véritable peste rouge comme on l’a vu tout à l’heure, dénonce la prétendue violence de la France civilisatrice qu’il dit colonialiste et pas celle de l’URSS , le sale enculé de sa race. En 1960, lors du procès des réseaux de soutien aux terroristes du FLN, il se déclare comme on l’a vu hier « résistant » et terroriste ou « porteur de valise » du FLN. De Gaulle,déjà un peu sénile, lors de la parution du nidoreux Manifeste communiste des 121, devant la tentation des ministres à vouloir l'arrêter, aurait dit : « On ne met pas Voltaire en prison. »
Cette prise de position n'est pas sans danger, son appartement sera plastiqué deux fois par de vrais Français et Les Temps modernes saisis cinq fois par le gouvernement socialiste.
Le sale petit enculé cocu Sartre soutient activement la nidoreuse et criminelle révolution cubaine dès 1960, comme un grand nombre d'intellocrate marxistes et tiers-mondistes. En juin 1960, il écrit dans France Soir 16 articles intitulés « Ouragan sur le sucre». Mais il rompra avec le líder máximo en 1971 à cause de l’« affaire Padilla », lorsque le poète cubain Heberto Padilla est emprisonné pour avoir critiqué le régime castriste. Il dira de Fidel Castro : « Il m’a plu, c’est assez rare, il m’a beaucoup plu. »
Sartre, en perte de vitesse, va néanmoins pouvoir s'offrir une nouvelle jeunesse grâce aux événements de mai 68. Déjà en 1967, il revient sur le devant de la scène en présidant avec Bertrand Russell le tribunal Russell, un tribunal fictif, autoproclamé, qui est une assemblée internationale marxiste d'intellocrates sans pouvoirs, de militants communistes et de faux témoins chargés de juger les prétendus crimes de guerre des Américains au Vietnam. S'il n'a pas été l'inspirateur des événements de mai 68, il en sera un militant actif, se faisant l'écho de la révolte dans la rue, sur les estrades, dans les journaux, et jusqu'aux portes des usines en grève. Il interviewe le leader marxiste Daniel Cohn-Bendit dans le Nouvel Observateur, lui donnant l'occasion de s'expliquer dans un grand hebdomadaire. À maintenant 63 ans, il se rend à la Sorbonne investie par les étudiants, afin de discuter avec eux. Il dénonce ensuite presque comme un libertarien les « élections pièges à cons » de de Gaulle.
Sur le plan international, sentant le vent de l’histoire tourner comme en 1944 il condamne fermement l'intervention soviétique du Printemps de Prague en Tchécoslovaquie.
De plus en plus con fatigué drogué et usé par l’alcool, l’épave Sartre continuera la lutte marxiste en soutenant le « mouvement » communiste du criminel contre l’humanité Mao Tzé Toung. Le journal révolutionnaire La Cause du Peuple étant menacé de disparaître sous la pression du gouvernement Français du président Georges Pompidou, il décide en 1971 de devenir le directeur du journal afin de le protéger, et descend dans la rue, avec Simone de Beauvoir, pour le vendre. Il fera de même avec deux autres journaux maoïstes, Tout et J'accuse. En 1973,le drogué Sartre va lancer, avec les camarades marxistes Serge July, Philippe Gavi, Bernard Lallement et Jean-Claude Vernier, un quotidien populaire, Libération, qui paraît au printemps. Atteint de démence vasculaire, il démissionnera de sa direction le 24 mai 1974. Pendant toute cette période il se lie avec divers autres mouvements gauchistes et féministes, prêtant volontiers son nom afin de les aider.
Le drogué sénile Sartre va s'occuper, alors qu'il arrive à la fin de sa vie, de connard marxiste du conflit israélo-palestinien. Tout en reconnaissant la légitimité de l'État d'Israël, il dénonce les conditions de vie déplorables des Palestiniens qui justifient le recours au terrorisme, on reconnaît bien là encore l’antisémite Sartre.
Alors qu'il va sur sa 67e année, Sartre est victime d'une attaque en mars. Elle lui laisse la vie sauve, mais lui enlève presque totalement la vue. Sartre entre dans ses années d'ombre. Déjà diminué, il est alors contraint de décider « librement » que son œuvre est achevée, et ne finira donc jamais le tome IV de son Flaubert. Cela ne l'empêchera néanmoins pas de continuer à penser et à produire : il engage comme secrétaire un jeune normalien juif , Benny Lévy,( dit béni oui oui) qu'il avait connu lorsque ce dernier dirigeait le groupe terroriste maoïste La Gauche prolétarienne, qui est chargé de lui faire la lecture, et débat, parfois violemment, avec ce jeune connard maoïste. Un an plus tard sort l'ouvrage On a raison de se révolter, livre d'entretiens avec le jeune con et Philippe Gavi, où le sénile Sartre évoque entre autres les problèmes liés à l'engagement contestataire.
Sa cécité ne l'empêchera pas non plus de poursuivre son devoir d'engagement moral qu'il aura tenu jusqu'au bout : quelques interventions politiques, telles que la visite à l’assassin criminel Andreas Baader, le révolutionnaire terroriste allemand emprisonné près de Stuttgart, et un voyage de soutien à la révolution des œillets, au Portugal, font renaître dans les milieux de l'extrême gauche européenne marxiste des élans de sympathie pour le vieil homme.
Il signe aussi différents appels pour la libération de dissidents soviétiques, et, lors de la rencontre entre Brejnev et Valéry Giscard d'Estaing à Paris en 1977, le ténia Sartre organise au même moment une rencontre avec des dissidents soviétiques. Ce soir-là, pour Sartre entouré de Michel Foucault, Gilles Deleuze, André Glucksmann, Simone Signoret et bien sûr Simone de Beauvoir, il y eut 105 radios et télévisions venues du monde entier, soit immensément plus qu'à l'Élysée pour le camarade communiste Léonid Brejnev.
Dernier coup médiatique pour l’enculé de sa race Sartre en 1979, qui va émouvoir le « grand public » : accompagné de son meilleur ennemi, Raymond Aron, et du jeune « philosophe » André Glucksmann, un Sartre plus diminué que jamais se rend à l'Élysée pour demander à Valéry Giscard d'Estaing d'accueillir des réfugiés d'Indochine, qui se noyaient par centaines en tentant de quitter le Viêt Nam (c’est l'affaire des boat people). Indépendamment des différences d'opinion politique auxquelles il attache désormais moins d'importance, Sartre sans doute travaillé par l’idée de sa mort prochaine et sa comparution devant le tribunal de Dieu, affirme au crépuscule de sa vie l'exigence de sauver des vies partout où elles sont menacées. Le sénile Sartre de plus en plus con et contradictoire a également adhéré, avec Simone de Beauvoir, au comité de soutien à l'ayatollah Khomeyni, lorsque celui-ci était reçu en exil à Neauphle le Château, opposant principal au régime impérial du Shah.
En mars 1980, Le Nouvel Observateur publie, sur trois numéros, une série d'entretiens avec Benny Lévy qui seront édités, après sa mort, sur le titre « l'Espoir maintenant » : « Je me sens, non comme une poussière apparue dans le monde, mais comme un être attendu, provoqué, préfiguré, comme un être qui ne semble pouvoir venir que d'un créateur et cette idée d'une main salvatrice qui m'aurait créé me renvoie à Dieu ».Qu’est ce que je vous disait, tous pareils, tous péteux à ce chier dessus à l’idée de leur mort. Jean Guitton tenait de telles déclarations pour un reniement de son athéisme et y voyait l'influence de son nouveau et dernier secrétaire. « Détournement de vieillard » accusera Olivier Todd, tant semble différente la parole de Sartre dans ces entretiens sur la religion judaïque. L'avocate Gisèle Halimi, qui a été une amie très suceuse du « philosophe » depuis 1957, est revenue, en 2005, sur ces propos en affirmant : « Cet interview est incontestablement un faux (…). Ce n'est pas du Sartre libre jouissant de toutes ses facultés ».
Mais voyons Gisèle, pour le ténia Sartre tout comme pour toi, pour être communiste ou marxiste il ne faut pas jouir de toutes ses facultés intellectuelles bien sur.
Le ténia Sartre crève le 15 avril 1980 à près de 75 ans à l’hôpital Broussais de Paris, atteint d'un œdème pulmonaire et monte directement en enfer ou il siège à la gauche de Satan à côté de ces amis criminels tortionnaires comme Che Guevarra, Mao, Lénine Staline et Trotski.
Mot d'un jeune homme abrutile à son père en fin de journée de son enterrement: « Je suis allé à la manif contre la mort de Sartre ».
Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris (14ème), dans la 20e division — juste à droite de l’entrée principale, boulevard Edgar Quinet. Sa pute pédophile Simone de Beauvoir, décédée le 14 avril 1986, a été inhumée à ses côtés.

(*) A l'agité du bocal
Je ne lis pas grand-chose, je n'ai pas le temps. Trop d'années perdues déjà en tant de bêtises et de prison ! Mais on me presse, adjure, tarabuste. Il faut que je lise absolument, paraît-il, une sorte d'article, le Portrait d'un Antisémite, par Jean-Baptiste Sartre (Temps modernes, décembre 1945). Je parcours ce long devoir, jette un oeil, ce n'est ni bon ni mauvais, ce n'est rien du tout, pastiche... une façon de "Lamanièredeux"... Ce petit J.-B. S. a lu l'Etourdi, l'Amateur de Tulipes, etc. Il s'y est pris, évidemment, il n'en sort plus... Toujours au lycée, ce J.-B. S. ! toujours aux pastiches, aux "Lamanièredeux"... La manière de Céline aussi... et puis de bien d'autres... "Putains", etc... "Têtes de rechange"... "Maia"... Rien de grave, bien sûr. J'en traîne un certain nombre au cul de ces petits "Lamanièredeux"... Qu'y puis-je ? Etouffants, haineux, foireux, bien traîtres, demi-sangsues, demi-ténias, ils ne me font point d'honneur, je n'en parle jamais, c'est tout. Progéniture de l'ombre. Décence ! Oh ! je ne veux aucun mal au petit J.-B. S. ! Son sort où il est placé est bien assez cruel ! Puisqu'il s'agit d'un devoir, je lui aurais donné volontiers sept sur vingt et n'en parlerais plus... Mais page 462, la petite fiente, il m'interloque ! Ah ! le damné pourri croupion ! Qu'ose-t-il écrire ? "Si Céline a pu soutenir les thèses socialistes des nazis c'est qu'il était payé." Textuel. Holà ! Voici donc ce qu'écrivait ce petit bousier pendant que j'étais en prison en plein péril qu'on me pende. Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l'entre-fesse pour me salir au dehors ! Anus Caïn pfoui. Que cherches-tu ? Qu'on m'assassine ! C'est l'évidence ! Ici ! Que je t'écrabouille ! Oui !... Je le vois en photo, ces gros yeux... ce crochet... cette ventouse baveuse... c'est un cestode ! Que n'inventerait-il, le monstre, pour qu'on m'assassine ! A peine sorti de mon cacao, le voici qui me dénonce ! Le plus fort est que page 451 il a le fiel de nous prévenir: "Un homme qui trouve naturel de dénoncer des hommes ne peut avoir notre conception de l'honneur, même ceux dont il se fait le bienfaiteur, il ne les voit pas avec nos yeux, sa générosité, sa douceur, ne sont pas semblables à notre douceur, à notre générosité, on ne peut pas localiser la passion."

Dans mon cul où il se trouve, on ne peut pas demander à J.-B. S. d'y voir bien clair, ni de s'exprimer nettement, J.-B. S. a semble-t-il cependant prévu le cas de la solitude et de l'obscurité dans mon anus... J.-B. S. parle évidemment de lui-même lorsqu'il écrit page 451: "Cet homme redoute toute espèce de solitude, celle du génie comme celle de l'assassin." Comprenons ce que parler veut dire... Sur la foi des hebdomadaires J.-B. S. ne se voit plus que dans la peau du génie. Pour ma part et sur la foi de ses propres textes, je suis bien forcé de ne plus voir J.-B. S. que dans la peau d'un assassin, et encore mieux, d'un foutu donneur, maudit, hideux, chiant pourvoyeur, bourrique à lunettes. Voici que je m'emballe ! Ce n'est pas de mon âge, ni de mon état... J'allais clore là... dégoûté, c'est tout... Je réfléchis... Assassin et génial ? Cela s'est vu... Après tout... C'est peut-être le cas de Sartre ? Assassin il est, il voudrait l'être, c'est entendu mais, génial ? Petite crotte à mon cul génial ? hum ?... c'est à voir... oui certes, cela peut éclore... se déclarer... mais J.-B. S. ? Ces yeux d'embryonnaire ? ces mesquines épaules ?... ce gros petit bidon ? Ténia bien sûr, ténia d'homme, situé où vous savez... et philosophe !... c'est bien des choses... Il a délivré, parait-il, Paris à bicyclette. Il a fait joujou... au Théâtre, à la Ville, avec les horreurs de l'époque, la guerre, les supplices, les fers, le feu. Mais les temps évoluent, et le voici qui croît, gonfle énormément, J.-B. S. ! Il ne se possède plus... il ne se connaît plus... d'embryon qu'il est il tend à passer créature... le cycle... il en a assez du joujou, des tricheries... il court après les épreuves, les vraies épreuves... la prison, l'expiation, le bâton, et le plus gros de tous les bâtons: le Poteau... le Sort entreprend J.B.-S... les Furies ! finies les bagatelles... Il veut passer tout à fait monstre ! Il engueule De Gaulle du coup !

Quel moyen ! Il veut commettre l'irréparable ! Il y tient ! Les sorcières vont le rendre fou, il est venu les taquiner, elles ne le lâcheront plus... Ténia des étrons, faux têtard, tu vas bouffer la Mandragore ! Tu passeras succube ! La maladie d'être maudit évolue chez Sartre... Vieille maladie, vieille comme le monde, dont toute la littérature est pourrie... Attendez J.-B. S. avant que de commettre les gaffes suprêmes !... Tâtez-vous ! Réfléchissez que l'horreur n'est rien sans le Songe et sans la Musique... Je vous vois bien ténia, certes, mais pas cobra, pas cobra du tout... nul à la flûte ! Macbeth n'est que du Grand-Guignol, et des mauvais jours, sans musique, sans rêve... Vous êtes méchant, sale, ingrat, haineux, bourrique, ce n'est pas tout J.-B. S. ! Cela ne suffit pas... Il faut danser encore !... Je veux bien me tromper bien sûr... Je ne demande pas mieux... J'irai vous applaudir lorsque vous serez enfin devenu un vrai monstre, que vous aurez payé, aux sorcières, ce qu'il faut, leur prix, pour qu'elles vous transmutent, éclosent, en vrai phénomène. En ténia qui joue de la flûte.

M'avez-vous assez prié et fait prier par Dullin, par Denoël, supplié "sous la botte" de bien vouloir descendre vous applaudir ! Je ne vous trouvais ni dansant, ni flûtant, vice terrible à mon sens, je l'avoue... Mais oublions tout ceci ! Ne pensons plus qu'à l'avenir ! Tâchez que vos démons vous inculquent la flûte ! Flûte d'abord ! Retardez Shakespeare, lycéen ! 3/4 de flûte, 1/4 de sang... 1/4 suffit je vous assure... mais du vôtre d'abord ! avant tous les autres sangs. L'Alchimie a ses lois... le "sang des autres" ne plaît point aux Muses... Réfléchissons... Vous avez emporté tout de même votre petit succès au "Sarah", sous la Botte, avec vos Mouches... Que ne troussez-vous maintenant trois petits actes, en vitesse, de circonstance, sur le pouce, Les Mouchards ? Revuette rétrospective... L'on vous y verrait en personne, avec vos petits potes, en train d'envoyer vos confrères détestés, dits "Collaborateurs" au bagne, au poteau, en exil... Serait-ce assez cocasse ? Vous-même, bien entendu, fort de votre texte au tout premier rôle... en ténia persifleur et philosophe... Il est facile d'imaginer cent coups de théâtre, péripéties et rebondissements des plus farces dans le cours d'une féerie de ce genre... et puis au tableau final un de ces "Massacre Général" qui secouera toute l'Europe de folle rigolade ! (Il est temps !) Le plus joyeux de la décade ! Qu'ils en pisseront, foireront encore à la 500e !... et bien au-delà ! (L'au-delà ! Hi ! Hi !) L'assassinat des "Signataires", les uns par les autres !... vous-même par Cassou... cestuy par Eluard ! l'autre par sa femme et Mauriac ! et ainsi de suite jusqu'au dernier !... Vous vous rendez compte ! L'Hécatombe d'Apothéose ! Sans oublier la chair, bien sûr !... Grand défilé de filles superbes, nues, absolument dandinantes... orchestre du Grand Tabarin... Jazz des "Constructeurs du Mur"... "Atlantist Boys"... concours assuré... et la grande partouze des fantômes en surimpression lumineuse... 200.000 assassinés, forçats, choléras, indignes... et tondues ! à la farandole ! du parterre du Ciel ! Choeur des "Pendeurs de Nuremberg"... Et dans le ton vous concevez plus-qu'existence, instantaniste, massacriste... Ambiance par hoquets d'agonie, bruits de coliques, sanglots, ferrailles... "Au secours !"... Fond sonore: "Machines à Hurrahs !"... Vous voyez ça ? Et puis pour le clou, à l'entr'acte: Enchères de menottes ! et Buvette au sang. Le Bar futuriste absolu. Rien que du vrai sang ! au bock, cru, certifié des hôpitaux... du matin même ! sang d'aorte, sang de foetus, sang d'hymen, sang de fusillés !... Tous les goûts ! Ah ! quel avenir J.-B. S. ! Que vous en ferez des merveilles quand vous serez éclos Vrai Monstre ! Je vous vois déjà hors de fiente, jouant déjà presque de la flûte, de la vraie petite flûte ! à ravir !... déjà presque un vrai petit artiste ! Sacré J.-B. S.

L.-F. Céline.

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