Moreno Nixon :

Moreno Nixon : Nixon Moreno est un étudiant vénézuélien, victime du communisme, chef de la M-13, qui a étudié à l'Université de Los Andes (ULA) et était l'ancien président de la Fédération étudiante anticommuniste. L'ancien étudiant est recherché par les autorités vénézuéliennes marxistes sur les pseudos charges de tentative de viol sur Sofia Aguilar, un policier féminin de Mérida dans l'état des Andes, pendant des manifestations d'étudiant violentes le 24 mai 2006. Nixon Moreno a été ce réfugier à l'intérieur de la mission diplomatique du Vatican pendant l'année dernière. Il est considéré comme une victime politique du criminel dictateur marxiste Hugo Chávez (1) Car selon certaines autorités vénézuéliennes et un journaliste de TV , ils indiquent qu’à l'heure des événements dénoncés par la policière Aguilar, Nixon était dans une clinique, à un autre bout de la ville, traitant une blessure saignante au visage causée par un tir de grenade de la police (que Mme Aguilar n'a pas mentionné).

Plus de trois mois ont passé depuis que le Vatican a informé le Ministère des Affaires étrangères vénézuélien (MRE) que "pour des raisons humanitaires" il avait décidé d'accorder l'asile diplomatique à Nixon Moreno et que le Vatican demanderait l'émission du sauf-conduit approprié pour lui garantir le passage au Venezuela.

Le document daté du 11 juin 2008 n'avait pas été révélé par le Saint Siège parce qu'ils attendaient une réaction du gouvernement marxiste vénézuélien. Cependant, il n'y a pas eu de réponse officielle jusqu'ici.

Mais me direz vous ce gentil garçon porte un drôle de prénom, et bien oui mais au Vénézuela , Lenin Rodríguez. Stalin Pérez. Kennedy Fernández. Nixon Moreno, voilà des noms que vous pourriez rencontrer. Et bien d’autres encore, inspirés de personnages qui ont frappé l’imaginaire des foules – ou plutôt l’imaginaire des parents au moment de la naissance de leur enfant.

Ces noms d’importation, qui servent ici de prénoms, sont le plus souvent russes ou nord-américains, car entre 1945 et 1990 la guerre froide est passée par là et a marqué les esprits. On aura donc des Lenin, des Stalin, des Roosevelt (plus souvent écrit Rosvelt), des Kennedy, des Nixon, des Mao, des Brejnev, peut-être même des Pol Pot, ou des Ho Chi Min qui sait ?

Mais qu’est-ce qui pousse les parents à donner des prénoms de ce genre à leurs enfants ? Sans doute un certain désir d’identification idéologique. Les parents débiles communistes voudront appeler leur enfant du nom des grands leaders révolutionnaires criminels contre l’humanité, dans l’espoir peut-être de voir se perpétuer leurs bolcheviques convictions d’aliénés. Le but n’est pas nécessairement atteint : ainsi, l’un des dirigeants étudiants antichavistes les plus acharnés, leader du mouvement étudiant d’opposition de l’année dernière, s’appelle Stalin González ! Les parents de notre, Nixon Moreno, lui aussi farouche antichaviste, auront eu plus de chance avec leur progéniture : il est resté dans une voie résolument anticommuniste, tel le vrai Nixon !

Cela dit, l’explication politique ne suffit pas à rendre compte du phénomène du prénommage des enfants au Venezuela. Au-delà des noms de personnages connus, le choix de prénoms étrangers est fréquent. On rencontre des Elvis, des Jhonny ou des Yoni (écrits de cette manière), des Sheila, des Kevin, des Frank, des Richard… L’usage de ces prénoms « exotiques » est sans aucun doute un indice du degré d’aliénation de beaucoup de Vénézuéliens par la culture de masse nord-américaine, principalement sous l’effet de la toute-puissante télévision. De tels prénoms sont aussi, pour les parents, consciemment ou inconsciemment, espoir de mieux-être (à la nord-américaine) pour leur descendance. Un nom anglo-saxon comme gage de bonheur, en quelque sorte…

La question du choix des prénoms au Venezuela ne s’arrête pas là. Il nous faut maintenant aborder l’immense chantier des prénoms inventés de toutes pièces, une spécialité à proprement parler vénézuélienne. Pour créer ainsi un prénom, il existe deux méthodes principales :

la combination du prénom des deux parents : Nelson et Marta nommeront leur fille Nelmar ; Fernando et Carolina appelleront leur rejeton Fercar, etc. Si Fercar et Nelmar se marient et ont un enfant à leur tour, ce dernier pourrait s’appeler Fernel, etc.
l’écriture d’un prénom connu à l’envers, dans une sorte de version locale de verlan : Hector devient Rotceh ; Esteban devient Nabetse ; Teresa devient Aseret, etc.

Faites l’effort de les lire : à côté de prénoms véritablement autochtones, qui n’ont pas leur place ici (Caribay, Zulay,…), on y trouve quelques perles, comme Amorfiel (« Amour fidèle » en espagnol), Usnavy (version simplifiée de U.S. Navy), Sensitymoon, Jean Kenedy, ou encore ces transcriptions libres de prénoms étrangers (Braian pour Brian, Dayana pour Diana, Janlú pour Jean-Luc, Yancarlo pour Giancarlo, Maikol pour Michael, etc.).

Quant aux porteurs de ces prénoms eux-mêmes, ils les aiment ou ils les détestent, c’est selon. Certains apprécient ce qui les distingue absolument du reste du monde. D’autres au contraire préfèreraient se fondre parmi les communs des mortels et s’appeler Pedro, José, Isabel ou Carolina. Les parents ont-ils pensé à leur responsabilité lorsqu’ils les ont choisis ?

Un dernier mot. C’est dans les classes populaires de crétins congénitaux lobotomisés par la propagande marxiste que le phénomène du prénom politique, du prénom étranger ou du prénom inventé est le plus courant. Les grandes familles, quant à elles, préfèrent de loin les prénoms traditionnels, frappés du sceau de la chrétienté. D’où, toujours, une certaine condescendance –voire une certaine discrimination– à l’encontre des porteurs de prénoms rares ou originaux. Souvent qualifiés d’horribles ou de ridicules par les commentateurs qui ne se privent pas de le dire du haut de leur beau prénom chrétien.

Figurez-vous par ailleurs que beaucoup de gauchistes chavistes (y compris plusieurs hauts fonctionnaires du gouvernement marxiste) portent de tels prénoms… Vous comprendrez où tout cela peut mener. Comme quoi le port d’un prénom n’est décidément pas neutre dans ce pays profondément divisé par une"lutte des classes" marxiste qui n’ose pas dire son nom.

( 1 ) Le 11 avril 2002, une manifestation de l'opposition regroupant des centaines de milliers de manifestants se redirige vers le palais présidentiel de Miraflores. Au niveau du pont « Llaguno », sur lequel sont rassemblés de nombreux partisans d ' Hugo Chávez, des tireurs embusqués, postés sur les édifices alentours ouvrent le feu, blessant et tuant les opposants à Chávez, le bilan officiel est de dix-neuf victimes du côté de l'opposition et deux du côté des criminels marxistes chavistes.

Selon le gouvernement colombien et divers médias dont une revue américaine (US News and World Report), le criminel dictateur Chávez a permis aux FARC et à l'ELN de trouver refuge dans la zone frontalière des deux pays. Le dictateur Chávez a en outre été accusé d'avoir directement financé l'organisation des FARC : En mars 2008, les forces armées du gouvernement colombien affirmèrent avoir récupéré trois ordinateurs appartenant à Raúl Reyes lors de son assassinat dans la république voisine d'Équateur. Selon des documents trouvés dans cet ordinateur, Hugo Chávez aurait reçu des FARC, en 1992, une somme équivalente à cent millions d'euros lorsqu'il était emprisonné pour sa tentative de coup d'État, et il aurait envoyé la somme de 300 millions de dollars aux FARC en 2008.

De plus cet ancien lieutenant colonel corrompu jusque la moelle est antisémite il s’exclame lors d’un discours : « Le monde a des richesses pour tous, mais des minorités, les descendants du même peuple qui a crucifié le Christ, ont confisqué toutes les richesses du monde. »

Les communistes sont les plus grands criminels de l'histoire !