mardi 16 janvier 2018

What is Cultural Marxism ?



Le marxisme culturel premier chapitre par Alain de Bornay.




"Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes". Les Shadocks






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Donnez-moi la liberté de savoir, de déclarer et d’argumenter librement et ceci au-dessus de toutes les libertés. (John Milton- Tolérance et tolérable)





Avant-propos.



Je m’adresse ici aux lycéens, étudiants, intellectuels de tous bords aux licenciés en Philosophie, aux détenteurs d'un diplôme d'étude approfondie en Relations internationales et politique européenne et aux docteurs en Science politique et sociale Belge et même Congolais: si vous voulez absolument échouer à vos examens ou passer pour des intellos «peoples», pour des «gogols» (c’est allah mode !) ou même passer ; horreur, malheur, horresco referens pour un dangereux «facho» d’extrême droite à fond à fond, dernière porte à droite avant la sortie ou même encore pire pour un facho d’Ultra droite, ça c’est moche et nouveau l’Ultra droite, futur hypersuperqualifragilistiquedrôate qui vous fera rentrer dans le monde magique et répugnant des néonazis ; prenez mes idées comme sujet de dissertation, de thèse ou de projet  philosophique. Ce prototype contenant l'essentiel des ingrédients des futurs récits classés par le politically correctness et les pétrifiés du ciboulot comme… rendez-vous bien compte braves gens : «conspirationniste», aussi très allah mode, C' dans l'air comme le revival réac aussi : une sois disant «idéologie réactionnaire», une sois disant «subjectivité crasse camouflée dans une fausse objectivité», un sois disant «langage vulgaire et haineux»  (Attention au mouton ! Un animal à poil haineux) ; votre zéro pointé (quoique en médiocratie marxiste culturelle il n’y ait plus de notes) si il ne sera pas mérité, si vous devenez la cible de racontars fielleux ou de rumeurs malveillantes n’en restera pas moins la preuve de votre grande originalité.

De toute façon c'est foutu ! Décembre 2017, Anémone la star du Père Noël est une ordure devenue lucide dira : «Je raccroche, pour avoir le droit à la retraite, après 50 ans de carrière et avoir commencé à 17 ans. Parce que j'en ai marre». Elle poursuit en évoquant «la fin du monde» tel qu'on le connaît : «Tout ça me gonfle sérieusement. Il n'y en a pas pour longtemps. D'après les experts, le maximum qu'on puisse tirer c'est 2030. Mais si ça se trouve ça va péter avant. Je trouve tout ça trop con. Je n'aimerais pas être jeune aujourd'hui». Merde alors si même les vieux bolchos bobos réalisent leurs conneries ou va-t-on ?                                              Pour vous faire mal voir vous pouvez aussi citer sir Winston Churchill qui a dit : « Christophe Colomb fut le premier socialiste: il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait, et tout cela aux frais des autres ».

Dans le cadre de la vraie «lutte» contre le marxisme culturel albophobe (Racisme anti blanc) et l’antisémite marxisme culturel d’extrême gauche avec le soutien du CTECNA (Collectif Tous ensemble contre le nouvel antisémitisme, voir Antisémite non merci.blogspot.fr/) dont les buts sont de s’opposer au nouvel antisémitisme qui est le concept d’une nouvelle forme d'antisémitisme qui s'est développée au début du XXIe siècle, émanant simultanément dans le monde d’une idéologie marxiste pestilentielle et criminelle contre l’humanité et de l'islam (Souvent aussi appelé islamomarxisme par la plupart des observateurs, BHL l’appelle lui islamofaschisme qui date de 1933), et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël rejoignent les miens.

Tiens par exemple connaissez-vous la dialectique marxiste culturelle ?

Non ? Alors imaginez que vous êtes sur le bord d'une route Nationale comme le Front, bien droite et tout (Je hais les départementales). Deux jeunes chances pour la France viennent vers vous, un propre (plutôt rare) et un sale.
Vous leur donnez un saut d'eau, une brosse et du savon (Difficile me direz-vous avec le bras tendu ; car tout le monde sait qu’au bord d’une route droite et nationale tout le monde a le bras tendu) Lequel va se laver ?
- Celui qui est sale.
Mais non, vous n'avez pas compris ce qu'est la dialectique marxiste culturelle. C'est celui qui est propre qui va se laver, car il a de bonnes habitudes d'hygiène marxiste.
Continuons. Vous êtes en bordure d'une route, et deux « jeunes », Ali et Mohamed  viennent vers vous, un propre et un sale. Vous leur fournissez un nécessaire de toilette. Lequel va se laver?
- Celui qui est propre.
Mais non, vous n'avez pas compris la dialectique marxiste culturelle, c'est celui qui est sale, le propre venant de se laver.
Reprenons. Vous êtes sur le bord d'une route (nationale hein) et deux jeunes CPF (Chances pour la France) viennent vers vous, un propre et un sale. Vous leur donnez de quoi se laver. Lequel va se laver?
- Celui qui est sale.
Non, vous n'avez pas compris ce qu'est la dialectique marxiste culturelle. Ils vont se laver tous les deux. Le propre par ses bonnes habitudes, le sale parce qu'il est sale.
Continuons. Vous êtes en bordure d'une route. Deux jeunes sauvageons viennent vers vous, un propre et un sale. Vous leur donnez ce qu'il faut pour se laver. Lequel va se laver?
-Tous les deux.
Mais non, vous n'avez pas encore compris ce qu'est la dialectique marxiste culturelle. Reprenons. Vous êtes sur le bord d'une route. Deux d’jeunes viennent vers vous, un propre et un sale. Vous leur donnez un seau d'eau, une brosse et du savon. Lequel va se laver?
-Je n'en sais rien, je n'y comprends rien à ce truc et j'en ai ras le bol de vos conneries.

Ah, bravo vous avez enfin compris ce qu'est la dialectique marxiste culturelle !

Ceci étant compris, vous devez savoir que de tous temps les partis Marxistes ou socialistes même s’ils ont une existence légale se servent de cette façade légale pour dissimuler une activité clandestine et illégale permanente. Lorsqu’ils sont interdits ils ne sont pas oh comme ils disent «rejeté dans la clandestinité» ou «contraint à l’illégalité» puisque les réseaux existent déjà. Le marxisme culturel pour s’installé a utilisé ces réseaux clandestins. L’organisation illégale est un principe de l’idéologie marxiste et du Parti Communiste depuis 1903 quand Lénine le créa et qu’il parla d’une combinaison d’action légale et illégale. Créé en 1920 l’organisation et la mise en place du marxisme culturel faisait partie de la façade illégale, c’est pourquoi nombre de «camarades» de «compagnons de route» ou «d’idiots utiles» ne sont même pas au courant de cela aujourd’hui. Le deuxième congrès mondial de l’Internationale Communiste tenu à Moscou en Aout 1920 quasiment en même temps que l’organisation du marxisme Culturel adopta une charte d’organisation ordinairement connue sous le nom des Vingt et une conditions d’adhésion à l’I.C. qui est la loi fondamentale de tous les partis communistes du monde. La troisième condition stipule : «Les communistes ne peuvent se fier à la légalité bourgeoise. Ils doivent créer partout un organisme clandestin parallèle pouvant au moment décisif, aide le Parti à prendre le pouvoir». De facto de nombreux communistes sont devenus de par le monde des criminels de droit commun, notamment les marxistes culturels.

Allons-y donc…. En avant vers les lendemains qui chantent!

Il était une fois…..la lalère…

Balzac a écrit: «Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des événements, une Histoire honteuse».

Cet ouvrage prouve que le Marxisme Culturel (MC) et son histoire honteuse existent bel et bien et dans des proportions alarmantes: il le prouve à partir de documents implacables. C’est une arme de combat, même si, pour l’instant sa diffusion reste limitée, car les hommes de ce temps préfèrent le mensonge à la vérité. Et pourtant, ce que confiait  Lénine à Bakou, en 1919, c’est déjà réalisé… «La crise économique et la crise sociale… telle que l’Europe tombera comme un fruit mûr».

Oui cela est bel et bon mais me direz-vous comment en êtes-vous arrivé à votre affirmation péremptoire : «Le Marxisme Culturel existe» ? Alors que l’on ne sait même pas ce que c’est que ce truc !

Le MC existe bonnes gens par ce que je l’ai rencontré ! Oh bien sûr cela ne s’est pas fait en un jour, le MC n’est pas enseigné dans les «écoles»  de la «raie» publique. La preuve, en 2011 si j’en avais déjà une idée précise il m’a encore fallut plus de quatre ans pour affiner ma pensée et réunir des preuves. Je dois ici particulièrement remercier le MRAP des Landes et le courageux anonyme stalinien qui sévit sur la toile sous le pseudonyme de monsieur MRAP40 de l’aide qu’il m’a apportée.

A cette époque c’était à cause d’un commentaire de Blog ; Une dénommée « Math », joli pseudo d’enseignante lobotomisée (et pas sodomisée hein ! Quoi que l’un n’empêche (à la ligne) pas l’autre) a écrit : «(…)  je suis allée jeter un œil (Comme Le Pen, n’a qu’un œil l’enfeignante) aux écrits du monsieur avec plein de noms de famille... (Non non, madame, un seul nom de famille : Labet, le reste n’est que le nom de terres nobles que notre illustre famille a possédées, la prochaine fois appelez-moi monsieur le baron. En effet mon nom complet est Michel Alain Labet, Baron de Laval, sieur de Bornay, Saint Maur, Courbette et autres terres) et une question me taraude... (Hé ben ; une question vous tourmente de manière lancinante au point de vous faire souffrir vivement, m’étonne plus de rien moi venant des marxistes!) Qu’est-ce qu'ils ont tous avec cette histoire de "marxisme culturel"?? Je ne comprends absolument pas de quoi il s'agit. J'ai lu peut-être pas tout mais une majeure partie des œuvres de Marx, j'ai étudié le marxisme, je l'enseigne aussi... mais alors ce trip (sic ?) (En tout cas ce n’est pas le Français, qu’elle enseigne la madame ! Elle doit fumer la moquette non ?), d'associer Marx à quoi? La «décadence?» Dans la plus pure tradition des ligues d'extrême-droite? Ça m'échappe complètement. M'enfin, je suis pas sûre d'avoir envie d'aller y fouiller plus avant, à bien y réfléchir».                                                      Bien que l’on ne puisse faire boire un âne qui n’a pas soif, m’enfin «Gaston», je vais lui expliquer tout bien tout bien, en bonne francesse, ce que donc de quoi que j’cause et ce que à quoi que j’pense (Donc j’essuie) au sujet du marxisme culturel ou MC, (Faut se mettre au niveau du langage des collectivistes enseignants Das Kapital, qu’ils n’ont pas lu et dont l’antisémite Marx n’a écrit qu’un tiers, le reste étant de l’homophobe Engels ! Putain ; quelle famille les cocos !), si ça lui fait pas de bien, à peu pas lui faire de mal vingt guieu, un peu de culture et ne sortez pas votre revolver mame ! Et puis bon, il faut abréger votre souffrance, on achève bien les chevaux !

Par chez nous, oïl oua  (C’est du franc comtois), dans nos vertes et ensoleillées contrées du pays des doigts de l’homme dans le Centre d’Union Libertarien tout a commencé en fin 1958 avec la constitution de la 5éme république ou à l’article premier on peut lire : «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale»… c’est beau non ? C’est grand, c’est généreux ! C’est de la valeur avec un grand V ça, oui ou non ?

Mais non, me direz-vous, c’est le genre de «truc» dont tout le monde se fout comme de sa première masturbation intellectuelle. Ben non ; car le dernier mot, le mot «social» de cette petite phrase va tout conditionner !

Social ; un terme fourretout, sans signification mais qui sert à empêcher toute réflexion. Ainsi, l'économiste autrichien Friedrich Hayek écrivait-il en 1957 dans ses Essais de philosophie, de science politique et d'économie, que «l'adjectif social est devenu un mot qui ôte à toutes les expressions tout sens clair».                                                  L’utilisation à outrance du terme «social» induit une déresponsabilisation des individus au détriment des hommes libres.                                                   Vous allez bien sûr me dire que le mot «démocratique» précède le mot «social»,  alors nous dirons donc que la France de la cinquième république est une sociale démocratie une tendance du socialisme. En France, l'appellation a été récemment employée par François Hollande pour définir sa politique.                                                                        Les démocraties «sociales» sont loin, très loin de la véritable souveraineté populaire. Ainsi, aujourd'hui encore, il n'existe pas de définition communément admise de ce qu'est ou doit être la démocratie. Certains, comme Jean-Jacques Rousseau, considéraient que la démocratie ne peut être que directe : «La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale et la volonté générale ne se représente point».                                                    Lorsque vous votez amis, vous avez l’impression de choisir entre la gauche ou la droite. Hors c’est faux ! Vous votez pour plus ou moins de «social» point barre ! Vous n’avez pas le choix, en fait vous êtes en démocratie «populaire» pléonasme étymologique si il en est, mais tellement symptomatique du lavage de cerveau Marxiste Culturel ou MC.

Les réseaux illégaux et dormants staliniens et trotskistes ne vont pas tarder si ce n’est déjà fait, à réaliser la dernière étape du plan soufflé à Lénine… Ceux qui savent décortiquer les informations ont déjà remarqué une vive inquiétude de la part de certains gouvernements européens. Cet ouvrage, est une clé dans la lecture de l’actualité d’aujourd’hui et de demain.

Encore une fois certains vont dire : «oui d’accord mais on ne vous a rien demandé, et si ça nous plait à nous d’êtres des crétins au QI de mouches à merde et lobotomisés et de trouver ça sympa !».

Ben oui pourquoi pas, allez tiens je te le donne Emile, un exemple de lobotomisés qui trouvaient çà «sympa»: En mars 1956 : massacre des nostalgiques du Stalinisme en Géorgie ! Le 9 mars 1956, la Géorgie se soulevait contre la déstalinisation.

Le fameux rapport «secret» de Nikita Khrouchtchev à qui il ne manque rien dans l’abjection marxiste, dénonçant les abominables crimes contre l’humanité du camarade petit papa noël des peuples l’abominable Staline, à l’issue du 20e Congrès du Parti Communiste soviétique, le 25 février, avait bouleversé la population de «camarades» en Géorgie. Les dirigeants communistes prirent connaissance du texte du rapport le 5 mars (3e anniversaire de la mort de Staline). Les rues de Tbilissi (Appelée traditionnellement Tiflis), Kutaisi, Telavi, Gorki étaient déjà pleines de foules d’étudiants et de membres du Parti en colère. (Les communistes Géorgiens n’avaient pas moins souffert des sanguinaires répressions staliniennes que d’autres peuples de l’URSS. Mais à leurs yeux, les mérites de Staline, bâtisseur de l’Union et vainqueur du socialisme nationaliste, l’emportaient sur ce qu’on pouvait lui reprocher. De plus, la Géorgie soviétique, qui avait largement conservé sa langue, ses traditions, sa fierté nationale, ressentait la condamnation, à Moscou, du «Guide» d’origine géorgienne, comme une atteinte à leur dignité nationale. La foi imbécile communiste et stalinienne restait intacte dans une partie non négligeable de la population).

Des protestations de rue avaient déjà commencé le 3 mars. Il y eut à Tbilissi, la capitale, quelque 70 000 manifestants, avec beaucoup d’anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale. Les slogans étaient : «A bas Khrouchtchev !», «Avec Lénine et Staline, en avant vers le communisme !». Des témoins se souviennent : des camions sillonnaient la ville, plein de gens brandissant des drapeaux rouges avec faucille et marteau SVP et des portraits des dirigeants de la révolution d’Octobre 1917.

On chantait l’hymne géorgien soviétique, on disait des poèmes, on écoutait des écrivains communistes célèbres, des «savants», des étudiants «pionniers» du socialisme, des vétérans, 2 ou 3 ouvriers et autres commissaires politiques craignant pour leurs places de privilégiés et d’apparatchiks.

Il semblerait que le dirigeant chinois et maréchal (nous voilà) Chu Deh, compagnon de Mao, et délégué chinois au 20ème Congrès, se trouvait à Tbilissi. Des milliers de manifestants se seraient adressés à lui, demandant de «défendre le nom de Staline». On dit que le maréchal «salua les étudiants» et qu’un membre de la délégation chinoise prit la parole lors d’un meeting. (Ce qui paraît incroyable, car un tel geste constituait une provocation à l’égard du PCUS, dont les Chinois étaient les invités. Mais on sait que la déstalinisation fut réprouvée à Pékin). Les nostalgiques du Stalinisme géorgiens véritable sida mental exigeaient la démission de Khrouchtchev et la formation d’un nouveau gouvernement. Les démocratiques et populaires forces armées pacifistes du peuple entrèrent en action le 9 mars vers minuit. Qui donna l’ordre ? C’est resté secret (Pour l’instant, mais il semble bien que l’ordre sois venu directement de Moscou). Des pacifiques camarades soldats firent feu. Il y eut «officiellement» 27 morts progressistes. Un autre bilan fait état de 6 à 7000 morts humanistes. Source : «Il était une fois l'URSS de Dominique Lapierre, photos de Jean-Pierre Pedrazzini (Pedra tombera malheureusement en 1956 place de la République à Budapest sous les balles d’une mitrailleuse communiste progressiste alors qu'il couvrait la révolution anticommuniste. Rapatrié à Paris, il succombe à ses blessures le 7 novembre 1956) le livre est sorti en 2005 à partir de leur voyage en URSS et à Tbilissi en particulier où ils seront en Avril 1956». Il y eut aussi 375 arrestations, dont 34 membres du PC et 165 komsomols. 39 seront jugés et finiront avec tolérance au goulag progressiste dont ils ne reviendront pas. 

Voilà, je suis grand père et je ne voudrais pas qu’à la démarxisation ou désocialisation qui ne manquera pas d’intervenir un jour, (Rêve pieux ?) mes petites filles meurent sous les balles «socialistes» ? Sincèrement je ne crois pas à la fin de ce système marxiste culturel, mais il est  essentiel pour moi d'avertir mes contemporains, non seulement par amour du prochain, mais aussi pour éviter de me rendre coupable d'une «dette de sang» (c'est-à-dire me rendre coupable de non-assistance à personne en danger).
Commençons donc par : «La Symphonie en rouge majeur», une thèse parue sous la forme de mémoires dans les années 1950 en Espagne franquiste et attribuée à Josef Landowski qui donne un résumé de l’interrogatoire de Christian Georgiévitch Rakovski (né Khristo Gheorghev Stantchev) ancien chef du gouvernement de la République socialiste soviétique ukrainienne. Il prit part à la conférence de Gênes en 1922. Il fut ambassadeur soviétique à Londres et à Paris. Il s’opposa à Joseph Staline et rallia l’Opposition de gauche (Trotskiste). Se soumettant à l’autorité de Staline en 1934, il fut brièvement réintégré. Rakovski fut néanmoins impliqué dans le procès des vingt et un (une partie des procès de Moscou), emprisonné et exécuté par le NKVD pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui suit est le contenu de son interrogatoire par le NKCD : « Rakovski commence par argumenter que si Karl Marx connaissait les contradictions du capitalisme, c'est qu'il connaissait ceux qui les produisaient en son sein. Il théorise ensuite une alliance entre la finance internationale (qu'il affuble du sobriquet « d'Internationale capitaliste » ou « Kapintern » (Aujourd’hui plus connu sous le nom de Forum Economique Mondial) et l'Internationale communiste (Komintern). Il ajoute que Marx, dans ses écrits, est manifestement passé à côté d'un phénomène économique qui pourtant fascinait les gens de son époque: l'immense accumulation du capital des 5 frères de la famille Rothschild. Il précise qu'ils sont 5, tout comme les 5 branches de l'étoile rouge soviétique. (Amschel Mayer Rothschild, Salomon Mayer Rothschild, Nathan Mayer Rothschild, Kalmann Mayer Rothschild, James de Rothschild)». Pour Rakovsky, ces deux entités, quasiment sœurs jumelles de l’asservissement des peuples, l'une prônant le cosmopolitisme (car le capital n'a pas de frontières) et l'autre l'internationalisme (car le prolétariat n'aurait pas de frontières lui aussi) sont là pour provoquer la destruction de l'état-nation et ce n'est pas encore fini.
Un Etat nation est faut-il vous le rappeler amis, un concept théorique, politique et historique, désignant la juxtaposition d'un État, en tant qu'organisation politique, à une nation, c'est-à-dire des individus qui se considèrent comme liés et appartenant à un même groupe. C'est donc la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, l'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent. Ce n’est plus le cas en France actuellement, la France est un état socialiste marxiste culturel internationaliste en aucun cas un état Nation.
Dès le début, on s’aperçoit que le marxisme culturel internationaliste (MCI) ne dérange aucunement le cosmopolitisme capitaliste au travers d’une «sociale démocratie», car d’une part il ont des buts communs (Immigration effrénée pour abaisser le coût de la main d’œuvre dans le monde occidental et création d’un sous prolétariat «inculte» facilement manipulable d’une part et d’autre part le «socialisme» ne pouvant prospérer que dans une économie capitaliste performante avec la création d’une nomenklatura chargée de diriger les « peuples »). En France en particulier plus rien ne distingue les idées de la gauche de celle de la prétendue droite molle (Bande des quatre ou UMPS, aujourd’hui l’UMP devenu Les Républicains n’est qu’un parti socialiste de droite très modéré) ; L’ensemble de la presse et des médias sont inféodés au Marxisme Culturel, tout comme la justice. J’irais même jusqu'à dire que la droite nationaliste ou Front National est de plus en plus contaminé par ses concepts utopiques !
Idées ou concepts profondément Marxistes Culturels dont il convient de se faire une « idée » saine.

Une définition très succincte était donnée par Wikipédia: « Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu». 

Vous avez remarqué à moins d’être aveugle et sourd que l’hypothèse socialiste est morte depuis maintenant un quart de siècle. Bien sûr, dans le monde des idées une résurrection d’un marxisme légal est toujours possible mais, dans l’état actuel des choses, il n’existe pratiquement plus aucune économie socialiste et personne dans le monde ne propose d’abandonner l’économie de marché pour la remplacer par une économie planifiée. C’est pourquoi existe le marxisme culturel qui pratique la stratégie du parasite. Laissez-moi insister sur ce point : même en France, il n’existe pas une seule formation politique qui propose sérieusement de remplacer l’économie de marché par une économie de type socialiste. La «planification stratégique de la réindustrialisassions» du Front National ou la «planification écologique» du Front de Gauche (Insoumis) ne sont, ni l’une ni l’autre, des héritières du Gosplan soviétique: ce sont, tout au plus, de vagues projets dirigistes qui n’entretiennent pas d’autre rapport avec ce qui a été mis en œuvre en ex-URSS que leur nom.

Aux états unis, (Voir en cliquant ici la vidéo en Anglais qui met en avant la mise en pratique des théories mortifères de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme classique en une idéologie de combat social et civilisationnel, le Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct» est une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la pensée. Une guerre culturelle est donc en marche, faite à l'intérieur de la société et par ses membres mêmes, visant en priorité la jeunesse dans sa formation intellectuelle. Le résultat en est généralement la révolte, puis la Révolution. Ce virus des intelligences détruit invariablement toute société qu'il contamine).Chez nos «amis» Anglo-Saxons le MC (Marxisme Culturel) serait seulement aujourd’hui selon certains «penseurs» et «intellocrates» qui veulent limiter l’impact des informations sur la réalité et l’ampleur du marxisme culturel, un terme en lien avec essentiellement la prétendue «théorie du complot» (Personnellement je ne qualifierais pas la propagation de l’idéologie MC (Marxiste Culturelle) de théorie du complot, car d’un point de vue de certains Marxistes Culturels ou «observateurs» en sciences ( ?) dites «sociales», la théorie du complot tend à se soustraire à la réfutation, toute démonstration contraire pouvant être interprétée comme un faux réalisé par des conspirateurs et discrédite donc les explications dites officielles, établies par les pouvoirs publics Marxistes Culturels et relayées par les médias d'information tout autant MC. Wikipédia nous parle de cette théorie et utilise pour l’expliquer le  biais cognitif de confirmation d'hypothèse apportant de l’eau à mon moulin. Le philosophe et scientifique anglais Francis Bacon soutient que l'évaluation biaisée des éléments de preuve a conduit à «toutes les superstitions, que ce soit dans l'astrologie, les rêves, les présages, les jugements divins ou choses similaires». Comme pour Raymond Aron pour qui le marxisme était une religion (superstition) séculière je considère le MC itou. Bacon écrit ainsi dans le novum organum (1620) : «Une fois que la compréhension humaine a adopté une opinion (par exemple le MC marxisme culturel) elle aborde toutes les autres choses pour la supporter et soutenir. Et bien qu'il puisse être trouvé des éléments en nombre ou importance dans l'autre sens, ces éléments sont encore négligés ou méprisés, ou bien grâce à quelques distinctions mis de côté ou rejetés». Dans Pensées sur la comète (1683), texte critiquant la superstition et la tradition, le philosophe français Pierre Bayle (1647-1706) aborde le biais de confirmation et son explication par le désir : «Là-dessus ils ne consultent pas tant l'Histoire pour savoir si leur persuasion est véritable, que pour trouver qu'elle est véritable : & on ne sauroit dire l'illusion que cela fait aux sens & au jugement. En effet il arrive de là qu'on observe beaucoup mieux les faits que l'on désire de trouver, que les autres, & que l'on grossit ou que l'on diminue la qualité des évènements selon la préoccupation». Et pour finir, dans son essai Qu'est-ce que l'art ?, l'écrivain russe Léon Tolstoï (1828-1910) écrit : «Je sais que la plupart des hommes — non seulement ceux qui sont considérés intelligents, mais même ceux qui sont très intelligents et capables de comprendre les plus difficiles problèmes scientifiques, mathématiques ou philosophiques — peuvent très rarement discerner la vérité même la plus simple et évidente, s'il faut pour cela qu'ils admettent la fausseté des conclusions qu'ils ont formées, et peut-être avec encore plus de difficulté, les conclusions dont ils sont fiers, qu'ils ont enseigné à d'autres, et sur lesquelles ils ont construit leur vie».

Une rapide mise au point au sujet du marxisme culturel pour résumer un peu. Mise en pratique des théories mortifères de Lénine et de l'École de Francfort qui modernisa le Marxisme classique en une idéologie de combat social et civilisationnel. Le Marxisme culturel, anciennement «Bolchévisme culturel», actuel «Politiquement correct» est une puissante arme psychologique de guerre, qui va jusqu'à changer la signification des mots, défiant parfois la logique, afin de manipuler la pensée. Une guerre culturelle est en marche, faite à l'intérieur de la société et par ses membres mêmes, visant en priorité la jeunesse dans sa formation intellectuelle. Le résultat en est généralement la révolte, puis la Révolution. Ce virus des intelligences détruit invariablement toute société qu'il contamine. Voir en cliquant ici les treize commandements du marxisme culturel.
Pour certains Marxistes Culturels distingués, le MC si il n’est pas une absurde théorie du complot serait un concept aux limites floues, dont l'usage abusif viserait à déconsidérer leur thèse, nous dirons donc plutôt que le marxisme culturel est une idéologie issue de la propagande marxiste, largement diffusée au début essentiellement par Lénine et Willi Münzenberg, puis par l'école de Francfort en Allemagne jusqu’en 1933 avec Georg Lukács, Max Horkheimer, Marcuse, Erich Fromm, Walter Benjamin un des fondateurs du freudo-marxisme ( synonyme de MC Marxisme Culturel), Franz Leopold Neumann,  Ernst Bloch, théorisé partiellement à partir des années 50 aux états unis avec Theodor W. Adorno  et surtout Jurgen Habermas théoricien allemand du MC (Marxisme Culturel qui est dit souvent sciences sociales). Il est avec Axel Honneth l'un des représentants de la deuxième génération de l'École de Francfort, et développe une pensée qui combine le matérialisme historique de Marx avec le pragmatisme américain, la théorie du développement de Piaget et Kohlberg, et la psychanalyse de Freud en deux mots du Marxisme Culturel !
En 1925 Antonio Gramsci un «journaliste» de propagande (Il y en a encore même chez nous comme nous l’a bien expliqué l’auteur du feu site Les Elégances : «Le fascisme rouge collectiviste et marxiste culturel nidoreux montre son vrai visage sur Rue89, nulle recherche de débats d’idées, juste la vieille technique de la reductio ad Hitlerum sur fond de chasse à l’homme et ce en lançant l'anathème ! En vous accusant de racisme, d’eugénisme, de xénophobie, de sexisme, esclavagiste, colonialiste, impérialiste, petit blanc réactionnaire, sioniste, libertarien, identitaire, frontiste, extrémiste de droite, etc., en fait, en vous excluant du genre Humain ces marxistes culturels se discréditent totalement. La «journaliste» marxiste culturelle a une pensée intellectuelle faible et généralement un QI de moule qu’elle compense en disqualifiant par des mots à forts impacts psychologiques tous les contradicteurs un peu trop convaincants. La collectiviste socialiste est sans scrupule, sa bonne conscience l'autorisant à user de la pire mauvaise foi. Il est inutile de voir en celle-ci un être Humain doué de conscience, elle est plus proche psychologiquement du psychopathe, n'ayant aucun scrupule à violer tout principe éthique» et il y en a d'autres. Antonio Gramsci, fondateur du Parti Communiste Italien pensait lui que l'échec du communisme à faire la révolution socialiste était dû à l'emprise de la culture qu’il dit être «hégémonique» et bourgeoise sur l'idéologie et les organisations des travailleurs.                                                                     Gramsci avait fait le constat suivant : Les révolutionnaires bolchéviques russes étaient non seulement les premiers en octobre 1917 à avoir réussi à prendre le pouvoir, mais c’était aussi les seuls. Les processus marxistes révolutionnaires s’étaient multipliés au cours des années 1910 et 1920, mais partout ils avaient échoué. Gramsci lui-même avait pris part entre 1919 et 1920 aux «conseils de Turin» (le bienno rosso, les «deux années rouges»), pendant lesquels les ouvriers manipulés par quelques intellos de cette ville occupent leurs usines, et ou des formes embryonnaires d'autogestion se mettent en place. Mais en Italie comme partout ailleurs (Allemagne, Hongrie, plus tard en Espagne...), le mouvement communiste est battu, c’est l’échec encore l’échec, toujours l’échec ! La question que se pose alors Gramsci est : pourquoi ? Pourquoi dans les pays les plus avancés (France, Allemagne, Italie...), ce qui était bêtement prévu par tous les textes marxistes, à savoir la révolution socialiste, n'arrive pas ? Cela même lorsque les organisations ouvrières peuvent se prévaloir de centaines de milliers, voire de millions, de membres, comme en Allemagne, où la social-démocratie obtient aux élections un quart des voix. Le concept critique d'hégémonie culturelle, c'est l’utopique réponse que Gramsci va proposer à ce problème.
Antonio Gramsci c’est quelque peu, mais pas trop  inspiré d Marx et de Lénine mais surtout de Willi Münzenberg, grand architecte de la Désinformation sous son ami Lénine puis un moment sous Staline (Staline l’a fait assassiner), qui convaincu que le Communisme ne pourrait jamais s'implanter si la nature même des peuples de la Chrétienté n'était au préalable radicalement transformée, a défini l'objectif et donné le mode d'emploi du Marxisme Culturel : «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue. Alors seulement, après que toutes ses valeurs eussent été corrompues et la vie rendue impossible, pourrions-nous imposer notre Dictature du Prolétariat».
En d'autres termes, les représentations culturelles de la «classe» dirigeante, c'est-à-dire à l’époque l'idéologie dominante, qui avaient déteint plus que Marx n'aurait pu le penser sur les masses de «travailleurs» devaient être remplacées. C’est en fait assez simple, Gramsci nous dit : «Si le peuple ne veut pas changer, changeons le peuple . Dans les sociétés industrielles «avancées», des outils culturels qu’il nomme «hégémoniques» tels que l'école obligatoire, les médias de masse et la culture populaire auraient inculqué une «fausse conscience» aux fameux travailleurs, il convient donc de leur en inculquer d’autres véritablement marxistes. Au lieu de faire en sorte qu'advienne une révolution qui prétendument servirait leurs besoins collectifs, les «travailleurs» des sociétés «avancées» avaient cédés au nationalisme naturel, au consumérisme et à l'ascension sociale naturelle elle aussi, embrassant un individualiste naturel de compétition et de réussite personnelle ou encore se rangeant derrière des chefs religieux ce qui pourrait être aussi en quelque sorte être naturel.                                                           Gramsci analyse et prépare les bases du MC donc le rôle des médias, de l'art, du théâtre, du cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies pour ne pas dire de races en visant à subvertir les valeurs chrétiennes et les normes culturelles naturelles et traditionnelles de la société occidentale. Nous verrons que cette présentation est succincte et qu’elle occulte (Volontairement ?) la dimension marxiste-léniniste fondamentale (comme le complot dit de la Symphonie en rouge majeur  et les idées soufflées dans l’oreille complaisante de Lénine par Willy Münzenberg  notamment  celle-ci que l’on vient de voir: «Organiser les intellectuels et se servir d'eux pour pourrir la Civilisation Occidentale jusqu'à ce qu'elle pue», dimension fondamentale à prendre en compte dans la compréhension du phénomène, touchant toute les relations humaines.                                          L'historien William S. Lind théoricien du marxisme culturel et du concept de guerre de 4e génération ou Patrick Buchanan, ont affirmé en outre que le MC ; le marxisme culturel est une souche dominante de la pensée au sein de la gauche américaine, (occultant aussi par là sa dimension «internationaliste» de prise du pouvoir mondial) destinée à promouvoir la désagrégation de la culture occidentale.
William S. Lind dans the origins of political correctness se demande comme vous et moi d’où vient tout ce dont vous avez entendu parler ce matin - le féminisme des victimes, le mouvement des droits des homosexuels, les statistiques inventées, l'histoire réécrite, les mensonges, les revendications, tout le reste - d'où vient-il ? Pour la première fois de notre histoire, les Américains et les Européens doivent avoir peur de ce qu'ils disent, de ce qu'ils écrivent et de ce qu'ils pensent. Ils doivent avoir peur d'utiliser le mauvais mot, un mot dénoncé comme offensant ou insensible, ou raciste, sexiste ou homophobe. Cherchez pas le «multiculturalisme» est arrivé ! Il est évident que ce multiculturalisme avec les invasions immigrationnistes n’est qu’une excroissance du marxisme culturel pour détruire les cultures traditionnelles intrinsèques à la société occidentale pour les remplacer par des sous cultures permettant le contrôle plus facile des «peuples».            
Tout d’abord un constat s’impose, les Marxistes internationalistes et mondialistes légaux ont beaucoup de difficultés à trouver aujourd'hui des «prolétaires» ou des «opprimés»  pour soutenir leurs visées révolutionnaires ou dans le cas des «capitalistes» asservir des «masses» de moins en moins laborieuses (Celles qui font le boulot pour des salaires de misère et des retraites de merde), et l’un comme l’autre vous prennent pour des imbéciles ! (En restant poli).
Pour récupérer le soutien «populaire», les Marxistes Culturels d’aujourd’hui doivent étendre la prétendue défense des «prolétaires» aux «nouveaux prolétaires» que sont désormais les femmes à protéger contre les «hommes machistes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci est une autre histoire); les étrangers contre les «nationaux racistes» ; les homosexuels contre les «homophobes» (Sauf dans le cas de l’Islam conquérant mais ceci etc. etc.) ; les «humanistes, tolérants ; pacifistes et démocrates» contre les «Chrétiens nationalistes et  réactionnaires» ; les délinquants et autres racailles antisémites et albophobe contre la «police violente et agressive» ; comment procéder : pour y arriver, les MC, Marxistes culturels doivent accuser leurs ennemis de racisme, d'antisémitisme, d'homophobie, de fascisme, de nazisme, de conservatisme ; avec quel outil : l’idéologie du «politiquement correct» qui réduit le champ de la liberté d’expression, exclut la mention de certains thèmes dans le débat public et partant empêche toute critique du Marxisme Culturel; pourquoi agir de la sorte : l'objectif des Marxistes culturels est de discréditer la nation, la patrie, les hiérarchies, l'autorité, la famille, le christianisme, les valeurs, l'ordre et la morale pour favoriser l'émergence d'une «nation mondiale ultra égalitaire et multiculturelle sans âme ni racine». Cela bien sûr avec l’aide des ex Mass Médias (Devenues aujourd’hui de simples médias ou ensemble des moyens de diffusion de masse (Organisations de «masse»= base de l’idéologie marxiste) de l'information, de la publicité et de la culture, c'est-à-dire des techniques de propagandes et des instruments audiovisuels et graphiques, capables de transmettre rapidement le même message à destination d'un public très nombreux et très très peut «cultivé».                                                       Des preuves évidentes attestent aujourd’hui de la justesse de cette analyse. Le pouvoir des élites auto proclamées de Bruxelles ou de Washington composées de «gens non-élus et apatrides» témoigne du nouveau gouvernement mondial en place; le «dogme de la société multiculturelle» dont on ne peut dire que du bien «sous peine de poursuites judiciaires» témoigne de la toute-puissance des organisations antiracistes tel en France le Mouvement de la Paix, le Front de Gauche, le MRAP ( Marxistes Racistes Antisémites et Populaires)  qui distille de la haine des juifs Cliquez ici qui sont l'avant-garde de la «révolution» ; et enfin, la présence de populations étrangères sur le sol européen et américain démontre l'arrivée «massive, organisée et volontaire des nouveaux prolétaires», les «nouveaux clients» et futurs esclaves des «Marxis(marxistes culturels) le multiculturalisme est un échec et une catastrophe comme l’immigration aux USA, de nouvelles données de la Sentencing Commission américaine montrent que parmi les personnes reconnues coupables de crimes fédéraux entre 2011 et 2016, 44,2% n'étaient pas des citoyens américains - 21,4% si les crimes d'immigration sont exclus. En comparaison, les non-citoyens représentent 8,4% de la population adulte. De ce pourcentage de 8,4%, environ 4% sont des immigrants illégaux et environ 4% sont des immigrants légaux (Voir ici).
Beaucoup de gens dans le monde l’appelle «rectitude politique» ou «politiquement correct». Le nom semble avoir trouvé son origine dans une bande dessinée,  comme une blague et nous avons toujours tendance à penser que c'est seulement à moitié sérieux. En fait, c'est mortellement sérieux. C'est la grande maladie du XXème siècle, la maladie qui a fait des centaines de millions de morts en Europe, en Russie, en Chine et dans le monde entier. C'est la maladie de l'idéologie marxiste et ce n'est pas drôle du tout. Le communisme c’est mortellement sérieux. Si nous regardons analytiquement, si nous regardons historiquement, nous découvrons rapidement ce que c'est. La rectitude politique c’est le marxisme culturel. C'est le marxisme traduit de l'économique en termes culturels. C'est un effort qui ne remonte pas aux années 1960 et aux hippies et au mouvement pour la paix, mais qui remonte à la Première Guerre mondiale avec Lénine. Si nous comparons les principes de base de la rectitude politique au marxisme classique, les parallèles sont évidents. Tout d'abord, les deux sont des idéologies totalitaires. La nature totalitaire du marxisme culturel est révélée nulle part plus clairement que sur les campus universitaires, dont beaucoup sont au stade de la petite Corée du Nord, où l'étudiant ou le professeur qui ose franchir l'une des lignes établies par la féministe ou les militants des droits des homosexuels, ou le groupe local noir ou hispanique, ou l'un des autres groupes de saintes «victimes» sur lesquels le communisme tourne, se retrouvent rapidement en difficulté judiciaire. Dans le petit système juridique du collège, ils font face à des accusations formelles - une procédure judiciaire - et à une punition. C'est un peu un regard sur l'avenir que le marxisme culturel visait au XXème siècle pour les nations occidentales dans leur ensemble er qui a trouvé sa pleine application et réussite totale au XXIème siècle.
Avant de rentrer dans le vif du sujet il est peut être bon de faire un rappel de ce qu’est en réalité le communisme et le marxisme. Je me suis servi pour cela d’un texte d’Eddie Willers paru ici que j’ai un peu amélioré. Comment expliquer que près de 30 ans après la chute du mur de Berlin, et plus de 25 ans après la chute de l’URSS, le communisme fasse encore recette dans de nombreux pays ? Comment expliquer la complaisance odieuse de nombreux médias vis-à-vis de candidats marxistes ou socialistes qui se réclament de cette idéologie mortifère ? Aucun régime communiste n’a jamais fonctionné sur cette planète. Aucun. Cette règle est immuable et le restera. Pourtant, lorsque les responsables communistes sont interrogés sur les désastreux échecs criminels de Staline, Pol-Pot, Chavez et consorts, ces derniers disposent d’une parade ultime : «ce n’était pas du vrai communisme». Or malheureusement un régime communiste est toujours vrai et ne peut qu’aboutir à la pauvreté et la dictature criminelle génocidaire.

Par où commence un programme communiste ? Par une certaine conception de la justice. Pour séduire l’électeur moyen, le communiste va faire appel à une soi-disant «justice sociale». Il y aurait une situation profondément injuste dans ce monde : peu de gens gagnent énormément d’argent et d’autres beaucoup moins. D’autre part, ceux qui gagnent cet argent exercent des métiers qui auraient une faible utilité : le trader ne sauve pas des vies, contrairement à l’infirmière, par exemple. Le footballeur ne produit pas de quoi nous sustenter, à la différence de l’agriculteur.

En conséquence, la répartition des richesses serait profondément injuste. Ceux qui ont un travail utile ne seraient pas rémunérés à leur juste valeur. Cette constatation, bien que foncièrement fausse, a l’avantage de séduire de nombreuses personnes ayant l’impression de ne pas être suffisamment payées pour ce qu’elles font. Un salarié a toujours le sentiment que son patron ne se rend pas compte de la valeur qu’il lui apporte.

Nous avons tous ce biais cognitif consistant à survaloriser ce que nous possédons. Il en va de même pour notre travail. Les partis communistes jouent donc sur ces éléments de prétendue «justice sociale». Comme un citoyen égale un vote, ils ont plus de chance d’être élu en tenant ce discours face à un auditoire auquel on dit ce qu’il veut entendre.

Une fois le pouvoir pris, par la force ou par les urnes, les communistes vont donc s’atteler à rétablir leur «justice sociale». Ceux qui possèdent la richesse sont donc expropriés pour que cette richesse soit distribuée à ceux qui en ont le moins. L’État saisit alors les actifs quels qu’ils soient : actions d’une entreprise, épargne, immobilier etc. pour en assurer une meilleure répartition. Remarquons d’ailleurs l’hypocrisie immense de cette méthode : j’expulse un patron pour le remplacer par un autre patron mais qui cette fois-ci porte la casquette État ; mais c’est l’État, donc forcément un gentil.

Savez-vous ce qu’Octave Albert Garnier, anarchiste illégaliste ayant fait partie de la fameuse «Bande à Bonnot» au début du XXème siècle pensait des communistes de l'époque: «Tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela». C'était bien vu ! Non ?

Les communistes ont donc placé à la direction des entreprises des personnes ne disposant pas nécessairement des qualifications et des connaissances pour en assurer le bon fonctionnement mais et surtout, d’aucune incitation à le faire. Un actionnaire sait qu’il peut gagner de l’argent en revendant une société affichant de beaux profits. Un agent de l’État n’en a que faire, il perçoit son salaire.

Par ailleurs, l’État communiste souhaite améliorer les conditions de travail. Puisque les travailleurs étaient exploités pour un salaire de misère en régime capitaliste, cela doit changer : la durée du travail hebdomadaire est limitée à 32h, et les salaires augmentés, puisque ceux des patrons sont réduits, et l’emploi à vie est garanti. De cette combinaison – nouveaux dirigeants d’entreprise incompétents et non motivés et salariés moins productifs – découle une baisse générale de la production.

Cette baisse rapide de la production génère la raréfaction de nombreux biens. L’offre diminuant tandis que la demande reste identique, les prix augmentent. Et c’est là qu’intervient le projet le plus diabolique des communistes : si les prix augmentent trop, il faut les encadrer afin que chacun puisse continuer à jouir du minimum vital.

L’État encadre alors dans un premier temps ce qu’il estime nécessaire : le pain, la farine, les œufs, les loyers, l’huile etc. ; car en cassant le thermomètre, la température baissera. Toute la perversité d’un régime communiste réside dans son absence de système de prix.

Les prix sont des signaux nécessaires pour organiser l’activité économique : ils informent sur l’importance de la demande pour un bien, et si l’offre est capable d’y répondre. Ils orientent l’action humaine vers la production de services et de produits que les citoyens désirent ! Ils permettent, via la différence entre le prix de vente et le prix d’acquisition, de savoir si la production est correctement organisée et si les ressources ne sont pas gaspillées.

Sans prix, ou avec des prix manipulés, les agents économiques sont perdus. Ils ne peuvent pas connaitre les besoins des ménages, et si l’organisation de la production est en mesure de répondre à ces besoins.

Il en résulte une inadéquation profonde entre la production et l’attente des consommateurs. La nationalisation de l’économie ne pousse pas à la prise de risques : pourquoi se donner du mal, travailler dur pour lancer un nouveau produit, améliorer une technique de production si l’État peut tout prendre ?

Nous nous trouvons donc confrontés à une baisse de la production, et le peu qu’il en subsiste est inadapté aux besoins. La pauvreté s’installe alors progressivement. Voyant la situation leur échapper, les communistes poussent alors plus loin leur raisonnement fallacieux : la nourriture venant à manquer, nous allons donc tout faire pour faire progresser la production de blé. Au moins les ménages pourront-ils se sustenter.

Commence alors l’usage de la force. Pour réorienter la production vers l’agriculture, il faut davantage d’agriculteurs, or les communistes ne peuvent pas mieux les payer  (ou alors en imprimant de la monnaie, créant alors encore plus d’inflation). Cela romprait leur théorie de la justice sociale. Ils n’ont donc pas beaucoup de solutions pour les attirer dans les champs, hormis l’usage de la force.

Les excuses sont toutes trouvées : vous ne voulez pas aller dans les champs ? Vous voulez laisser crever les gens la gueule ouverte ? Si cette culpabilité morale ne suffit pas, il faut quand même produire plus de blé, les miliciens du régime forcent donc les citoyens à y travailler.

Cependant leur productivité est faible : sans formation et sous le regard au mieux d’un fusil, au pire d’un milicien, les conditions idéales à l’épanouissement professionnel sont loin d’être satisfaisantes.

En abandonnant le travail d’ouvrier en métallurgie, la production de machines agricoles est interrompue. Combinée à leur vieillissement, les mains doivent remplacer les machines, ce qui prend plus de temps et réduit encore la production, devenue insuffisante à nourrir le peuple. Il convient donc d’augmenter encore le nombre d’ouvriers agricoles, etc.

Le dirigisme économique est une spirale sans fin qui n’a comme terme que la misère absolue. Mais nous observons surtout que l’État est obligé d’utiliser la force pour faire travailler ses citoyens selon ses anticipations (toujours fausses). L’usage de la force est donc consubstantiel à tout régime communiste. Puisque les prix ne sont plus libres, les individus ne le sont pas non plus.

Le dirigisme économique ne peut pas assurer une organisation satisfaisante des moyens de production. Aucun homme, ni aucune machine n’est omniscient. Prétendre connaître les besoins de tous les êtres humains et la façon idéale d’agencer tous les moyens de production relève de la maladie mentale. Seuls les individus, à leur humble niveau, en sont capables.

Le dirigisme économique ne peut aboutir qu’à sa propre inflation si l’État n’ouvre pas les yeux sur son erreur initiale ; il conduit nécessairement d’une façon ou d’une autre à l’usage de la force et de la violence.

En conclusion, prétendre que les régimes de Chavez, Staline, ou Mao, n’étaient pas communistes est profondément faux. Le communisme porte en lui les gènes de la pauvreté et de l’usage de la violence. L’idéal d’un monde plus juste finit par aboutir à son opposé le plus total. Les communistes nient la réalité, et prennent leurs rêves pour des réalités ; le problème étant que leurs rêves sont nos cauchemars.

Monsieur Eddie Willers conclura : J’éprouve une haine profonde pour les régimes dirigistes et communistes. Parce que je sais que ceux qui les promeuvent nous font supporter au prix fort leur ignorance et leur bêtise. J’espère ainsi qu’au travers de cet article j’aurais réussi à convaincre des méfaits inhérents à cette idéologie.

J’aurais pu le conclure par un «Meurs, pourriture communiste» ; néanmoins,  je préfère toujours juger les idées, et non les personnes. Je termine donc avec le souhait suivant pour les prochaines années : «Meurs, pourriture de communisme».

Vœux pieux évidemment car aujourd’hui le communisme ou marxisme culturel dirige la plus grande partie du monde !
Evidemment pas sous sa forme légale de parti communiste ou d’Internationale communiste mais sous sa forme de marxisme culturel !

De plus en plus souvent et à tort qualifié de «New World Order» (Nouvel ordre mondial désigné par l'acronyme NWO, ou NOM en français), dit aussi «la Caste» (s’applique plus à ses dirigeants) ou «le système» (j’ai entendu l’oligarchie, les témoins de Jéhovah l’appelle «le présent système de chose») ou encore le «politiquement correct», la «bienpensance», la «pensée unique», l’«hégémonie culturelle» (une invention de Gramsci) dit aussi «état providence» ou système «Big Brother»,  tous courants «post-marxistes», une notion allemande de l'avant-guerre qualifiait le marxisme culturel de «bolchévisme culturel», j’allais oublier les appellations d’origine américaines, de «freudo-marxisme», «marxisme Occidental» et «néo-marxisme», au Québec cela se nomme «révolution tranquille». De plus le pseudo «philosophe» et «sociologue» français activiste d’ultragauche Jean-Pierre Le Goff parle pour qualifier le marxisme culturel ou le NOM de «gauchisme culturel», arguant que ce «gauchisme culturel» va se répandre dans les médias et toute la société, pénétrer une partie de la droite et se constituer en nouvelle culture hégémonique, CQFD.

Cette idéologie au départ marxiste-léniniste est devenue la règle idéologique en occident sous le nom de marxisme culturel. Le 17 décembre 2015 j'écrivais une réponse d'un commentaire de monsieur Straub un ancien marin et mien ami patriote sur fesse de bouc, Claude Straub disait: «C'est là que l'on remarque ce qu'est réellement la sphère politique qui nous mène en barque depuis plus de cinquante ans. Une mafia comprenant les politiques intégrés dans le système depuis des décennies, les PDG sortis de l'ENA (école où on vous apprend comment ruiner les travailleurs sans les perdre), les fonctionnaires politiques à tous les niveaux, tous les médias télévisuels et journalistiques rémunérés ou sanctionnés par l'Etat, toute la smala artistique haut de gamme, des metteurs en scène aux intermittents, enfin tous ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste». Monsieur Straub est intuitif il voit bien que ce fameux «système» qu’il dit avec raison être maffieux marche sur la tête. Mais je ne suis pas sûr que même les dirigeants actuels soit vraiment pleinement conscients de leur état de déliquescence et de la situation. Cette «sphère politique» a un nom, cela s’appelle le marxisme culturel, c’est en terme classique politiquement correct de la pensée unique remarquablement théorisé par Antonio Gramsci comme on vient de le voir, un système qui comprend l’ensemble de l’organisation sociale, système devenu totalement marxiste culturel, ce système, ne comprend pas seulement «ceux qui profitent de ce système véreux et laxiste» mais l’ensemble des peuples de France, d’Europe et d’ailleurs dans le monde occidental car nous y sommes tous, vous, moi, Vincent, Fritz, Paolo, François, John, Manuel, Paul, Mohamed et les autres. Des victimes de l’impérialisme culturel qui «profitons» ou «pâtissons» tous de ce fameux système à plus ou moins hautes doses. D’aucuns irons plus loin en parlant de «clans de la mafia politique française» disant : «Ce n’est pas le FN qui menace la paix civile mais la caste avec ses privilèges, son arrogance, son mépris des classes populaires, des «sans dents», ses magouilles électorales…». Et là non ! Non mesdames et messieurs, les classes, les castes etc. etc. c’est fini ; c’est de l’histoire ancienne et peu de gens l’on vu venir, nous avons tous participé à l’avènement du marxisme culturel. Mea culpa, mea maxima culpa, j’ai comme tant d’autres participé naïvement à ce système maffieux et il y a seulement une dizaine d’année que je pense avoir compris comment ça marche. Cliquez ici. Je peux me tromper et je le voudrais bien, c’est pourquoi je suis et mon blog est là pour ça, ouvert aux commentaires critiques. Pour vous faire comprendre mon opinion, je dois faire un petit retour en arrière. De tout temps il existait des groupes hiérarchisés définis de manière rigide et institutionnelle comme effectivement les castes, les états ou les ordres de l'Ancien Régime (Noblesse, Clergé, Tiers-état). Dans les sociétés modernes, en l'absence de définitions légales, certaines auteurs ont cherché à définir au sein de la société des groupes, appelés «classes sociales», homogènes par leur statut social, leur mode de vie, leurs conditions matérielles, leur comportement, leurs intérêts, leurs actions, leur vision du monde...
Exemples : classe ouvrière, classe moyenne, classe dirigeante. Parmi les concepts fondamentaux de l'anthropologie politique : la société, le pouvoir politique, les 
hiérarchies génèrent toujours des inégalités sociales. Mais les «classes» sociales classiques définies selon Karl Marx en deux «classes» principales : le prolétariat, avec la paysannerie et son sous-prolétariat classe dominée, et la bourgeoisie petite, commerçante, industrielle et son aristocratie financière, classe dominante qui possède les moyens de production n’existent plus. Dans le marxisme culturel maintenant dominant, il n’y a plus que quatre statuts tous plus inégalitaires les uns que les autres.                                     Le premier est celui de parasite de premier niveau.                        Le second est celui de parasite de second  niveau.                                                                                                Le troisième celui des assistés.                                                                 Le quatrième celui des producteurs esclaves.                                                Il existe toutefois une perméabilité entre le deuxième et premier niveau ; et entre le troisième et plus rarement quatrième niveau ce que je vous montrerez plus tard.   Il existe une cinquième catégorie partiellement hors «système», les marginaux, les athées politiques, les sectes américaines hors système, qui essaient de voler en dessous des radars (pas facile mais possible, je vous en reparlerai un jour) et les fameux «migrants» ayant remplacés les «sans-papiers» qui sont des immigrés clandestins en situation irrégulière mais que l’on peut rapidement situer en troisième niveau avant leur passage en quatrième.                                                                         Nous pouvons faire une analogie avec les anciennes «classes» comme en marketing ou concernant les transports aériens, ou la «classe» désigne le niveau de confort dont dispose le passager: dans la soute, en classe économique, classe affaires et première classe.     Depuis des années le marxisme culturel qui sévit dans l’éducation nationale socialiste et marxiste culturelle (Premier et second niveau. Nota : les retraités sont au troisième) n’enseigne plus l’histoire de France dans le but de maintenir le public (Particulièrement le quatrième niveau) et surtout l’électeur de tous les niveaux dans l’ignorance et la bêtise. Comme ici. (Une des bases de l’établissement du NOM ou Marxisme culturel est l’affaiblissement de l’éducation par une baisse progressive du niveau et une élimination de la sélection afin de faire disparaitre tout repère chez les jeunes). Faire en sorte que le «peuple» (2, 3, 4ème niveau) soit incapable de comprendre les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. «La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieure ». Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles». Résultat ? Le marxisme culturel a gagné ! Le programme des gouvernements mondiaux devenus marxistes culturels tient en un mot : c’est du parasitisme. C’est un projet dans lequel l’hôte, une économie de marché dite capitaliste, génère les richesses et l’abondance qui permet à son parasite, un État-providence hypertrophié, de prospérer. Voilà leur seul plan. Jean-Luc Mélenchon n’est pas plus socialiste que Marine le Pen : l’un comme l’autre veulent des taxes, des impôts et des prélèvements pour nourrir leurs parasites via toujours plus de redistribution, d’emplois publics fictifs et de subventions. Le problème vient de la confusion faite entre  Capitalisme, économie de marché et libéralisme, trois termes qui sont devenus quasi synonymes aux yeux du public lobotomisé par le MC (Marxisme Culturel). Or il n’y a pas de rapport immédiat entre les trois. Le capitalisme est un système de répartition du surplus économique (la «croissance») entre les trois grands groupes que constituent les salariés, les industriels et les investisseurs ou «capitalistes» parce qu’ils procurent le capital dont les deux autres groupes ont besoin pour assurer la production de leur industrie ou la consommation de leur ménage. L’économie de marché est, elle, le système qui assure la distribution des marchandises du producteur au consommateur, assurant au passage un profit au marchand. Le libéralisme est quant à lui une politique visant à optimiser le rapport entre les libertés individuelles et l’intervention de l’État dans les affaires humaines en vue de protéger ces libertés ; dans la pratique, partant d’une intervention de l’État a priori postulée comme excessive, l’atteinte de cet optimum consiste à réduire cette intervention autant que faire se peut. Ces trois ingrédients se sont trouvés combinés pour engendrer, dans une certaine configuration, la crise profonde qui débuta en 2007.

Or voilà, la règle de survie d’un parasite au sens biologique du terme est extrêmement simple : il faut prélever suffisamment pour vivre mais pas au point de tuer l’hôte. Ce n’est pas le socialisme – et encore moins le communisme – qui est en train de ronger nos économies et que nous devons craindre : c’est un parasite marxiste culturel qui, à force de s’engraisser devient un prédateur et va finir par nous emporter avec lui dans un processus d’extinction typiquement darwinien.                                                                                   Le Marxisme Culturel a accéléré la sixième extinction  massive d'espèces. Nous sommes en train d’assister à l’extinction de l’holocène.                                      Dans Industrial Society and Its Future par Theodore Kaczynski, en français Unabomber, Manifeste: l'avenir de la société industrielle, traduit et présenté par J.-M. Apostolidès, préface d'Annie Le Brun, Jean-Jacques Pauvert aux éditions du Rocher, Paris, 1996 (lire ici) que j’ai eu la chance de lire il y a déjà plus de 20 ans grâce à Charlie Hebdo qui en avait fait la promo nous assistons à la fin de l’humanité. Curieusement les traducteurs disent : «Nous avons traduit leftism et leftist par progressisme et progressiste : les termes «gauchisme» et «gauchiste» auraient été inexacts, «gauche» et «homme de gauche», d'un maniement pesant, et d'un sens trop réducteur. Progressisme est historiquement justifié, plus général en même temps que spécifique : c'est bien de cela qu'il s'agit» (je n’en suis pas persuadé, le terme de marxisme culturel aurait été plus adapté). Traduttore, traditore «Traduire, c’est trahir» d’autant que les traducteurs continuent avec power process: littéralement «processus de pouvoir», qui n'aurait évidemment pour eux guère de sens en français marxiste culturel. Pour eux, le concept sur lequel Kaczynski fonde son anthropologie et sa critique de l'aliénation évoque l'exercice de soi à la manière de Thoreau, l'activité vitale comme Mumford en parle, et aussi l'instinct de puissance distingué par Hesnard. On peut également y discerner quelque chose de l'égoïsme affirmé par Stirner. Tout cela étant, «processus d'auto-accomplissement» a paru la traduction la plus convenable. Pourquoi pas quand on sait de quoi qu’on cause. Le frère Franc Maçon Norvégien Fjotolf Hansen, anciennement connu sous le nom d’Anders Behring Breivik, qui a perpétré et revendiqué les monstrueux attentats du 22 juillet 2011 en Norvège qui ont fait un total de 77 morts et 151 blessé destiné à faire connaître un manifeste de 1 518 pages écrit en anglais, Sous le pseudonyme «Andrew Berwick» intitulé : 2083 – Une Déclaration d’indépendance européenne. Environ une heure et demie avant le premier attentat, il fait parvenir une copie de son Manifeste, par courrier électronique, à 1 003 personnes. Dans la préface il se réfère bien aux odieuses attaques terroristes comme à « (…) des sacrifices — qui constituent eux-mêmes une véritable opération de marketing — voués à la distribution de cet ouvrage» CQFD.                                  N’oublions pas que le néo-luddiste lui aussi terroriste Theodore Kaczynski, avait pour faire paraitre son Manifeste, procédé à une campagne d'attentats qui a duré dix-huit ans, faisant seulement trois morts et 23 blessés avec 16 bombes envoyées.

Plus de 80% du Manifeste «d’Andrew Berwick» compile, copie ou cite des textes de tiers dont par exemple l'essayiste britannique Gisèle Littman-Orebi dite Bat Ye'or  et son concept d’Eurabia ; il est très évident que les auto-proclamés «intellectuels» lobotomisés, des commentateurs tels que les marxistes culturels Ivan Jablonka, Caroline Fourest, David Aaronovitch un eurocommuniste (marxiste culturel européen) et de nombreux autres, tout autant marxistes culturels d’ultra gauche soulignent avant tout le caractère prétendument conspirationniste de sa thèse «Eurabia».

Le frère Franc Maçon Norvégien Fjotolf Hansen, anciennement connu sous le nom d’Anders Behring Breivik qui a plagié une très grande partie du Manifeste de Theodore Kaczynski y avait remplacé dans le sien  les termes «gauchistes» par «marxistes culturels» et «noirs» par «musulmans».

Pour ceux qui n’ont pas envie de se farcir les 1500 pages des uns et des autres conspirationnistes, complotistes, diétrologues, En ce sens, pour les marxistes culturels les interprétations conspirationnistes permettent d'évacuer le caractère arbitraire des événements en les rapportant à des intentions. Depuis la victoire de Donald Trump, les électeurs démocrates, conscients de ne plus être dans le camp des vainqueurs, développeraient donc un peu plus cette appétence pour des modes d'explication donnant un sens à ce sentiment de dépossession. Il semblerait que les "théories du complot" réconfortent les perdants ! C'est par exemple la thèse forte que développent Joseph Uscinski  politologue marxiste culturel américain spécialisé dans l'étude des théories de la conspiration et Joseph Parent, de l'université de Miami, dans leur livre dont l'un des chapitres porte le titre provocateur : Conspiracy theories are for losers. Selon eux, le complotisme frappe particulièrement les groupes sociaux qui, pour une raison objective ou fantasmée, ont ce sentiment de dépossession ou de déclassement. Il deviendrait alors une forme de stratégie mentale pour lutter contre une situation anxiogène.

Theodore Kaczynski, comme Breivik et bien d’autres étaient des anti-marxistes culturels non politiquement corrects. Ils avaient vu ou nous menait ce système.

Kaczynski dans l’introduction d’Industrial Society and Its Future écrivais : "Presque tout le monde s'accordera à dire que nous vivons dans une société profondément troublée. Le progressisme (leftism) est une des manifestations les plus répandues de la folie de notre monde; quelques réflexions à son propos peuvent ainsi servir d'introduction â l'examen des problèmes de la société moderne dans son ensemble. Mais qu'est-ce que le progressisme (leftism)? Dans la première moitié du XXe siècle, on pouvait à peu près identifier le progressisme au socialisme. Aujourd'hui, les choses sont moins claires, et il est difficile de qualifier d'un seul mot un mouvement devenu très hétéroclite. Quand nous parlerons ici des progressistes (leftist), nous ferons surtout référence aux socialistes, aux collectivistes ( entendre là communistes, mot très peu employé aux états unis), aux gens «politiquement corrects" (Kaczynski, emploie là et il l’emploiera souvent, le terme de politiquement correct pour qualifier le marxisme culturel que Breivik emploiera très couramment quelques années plus tard dans son plagiat) aux féministes, aux défenseurs des homosexuels et des handicapés, aux défenseurs des droits des animaux, etc. Mais n'est pas forcément progressiste (leftist). celui qui participe à de telles activités ; nous essayerons de cerner un type psychologique, ou un ensemble de types, plutôt qu'un mouvement ou une idéologie. Ce que nous entendons par progressisme (leftism), sera précisé au cours de notre examen de la mentalité progressiste (leftist).

Le marxisme culturel une religion ?

Vous savez maintenant que les classes dites «sociales» n’existent plus, l’ère de la «dictature du prolétariat» est advenue, les «parasites» (on a vu plus haut que le programme des gouvernements mondiaux devenus marxistes culturels tient en un mot: c’est du parasitisme) de premier niveau (plus ou moins riche) gouvernent le «peuple» (de plus en plus pauvre). C’est le marxisme culturel dans sa pleine acceptation devenue une religion séculière avec ses dieux, son clergé, ses dogmes et sa liturgie. Il est bien certain que si l’homme a besoin d’air, de nourriture, de divertissement, de sexe il a aussi le besoin de croire en quelque chose. Les marxistes culturels et particulièrement les disciples de Freud et de son neveu Bernays avaient compris qu’avant d’être un être de raison, l’homme est un être d’émotion. Les marxistes croient en leurs Dieux la laïcité et même en rien car rien c’est déjà quelque chose (voir les trous noirs) les médias, le monde théorique, les hommes ont besoin de chefs, de quelqu’un à suivre sans poser de question ce qui explique le culte (notez le mot : Culte) de la personnalité, les marxistes culturels ont recours à la tromperie, a un bel emballage pour créer une image de confiance en leur système inepte. Système provoquant des crises graves d’encéphalite spongiforme religieuse avec des coliques quasiment frénétiques aux tripes du cerveau des susdits.                                                                 Les générations post soixante-huitardes ont parfaitement intériorisé l’évangile de la tolérance et de l’humanisme qui considère comme un péché mortel toute critique du fameux progressisme et de ses corollaires comme le féminisme et l'écologie, le pacifisme qui selon une acceptation courante est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix qui peut être qualifié aujourd’hui de pur «marxisme culturel». L’ancienne vision chrétienne du pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est curieusement beaucoup plus répandue et c’est sur cela que jouent les marxistes culturels ; la confusion. Le «pacifisme» a toujours trouvé un grand écho dans la réflexion et l’action des guerriers communiste depuis ses origines. Les socialistes d'avant 1914 (des marxistes) durant la Première Guerre mondiale, les opposants aux guerres coloniales, le mouvement Amsterdam Pleyel dans les années 1930 préfiguraient le mouvement soi-disant pacifiste communiste d’après-guerre. Les «militants» de la paix d’aujourd’hui professent un pacifisme qui n'est jamais assimilable à la non-violence mais participe du dogme et de la liturgie marxiste culturelle.

Sur la forme : Le stalinisme et les Partis communistes nationaux officiels et légaux fonctionnent bizarrement comme l’Eglise catholique, à coup de dogme et de bulles que les «idiots utiles» (le mot est de Lénine) relayent.
Sur le fond : ex. du Ténia Sartre («Sartre décrétait dans la Critique de la raison dialectique la vérité du Capital, il la déclarait à ce point translucide que tout commentaire en affaiblirait l'évidence ou la pureté».
Raymond Aron, dans La lecture pseudo-structuraliste de Marx (1967), écrira: «Sous un certain aspect important, le marxisme est une religion. A ses fidèles il offre, en premier lieu, un système des fins dernières qui donnent un sens à la vie et qui constituent des étalons de référence absolus pour apprécier les événements et les actions ; de plus, en second lieu, le marxisme fournit pour atteindre ces fins un guide qui implique un plan de salut et la révélation du mal dont doit être délivrée l'humanité ou une section élue de l'humanité. Nous pouvons préciser davantage : le socialisme marxiste appartient au groupe des religions qui promettent le paradis sur la terre». Joseph Schumpeter, dans Capitalisme, socialisme et démocratie, (1942) en mettait lui aussi une couche : «Cette restauration [d'un intégrisme marxiste après la déstalinisation] est l'œuvre d'un philosophe et d'un théologien, non d'un économiste ou d'un sociologue. (...) En tant que membre du parti, Althusser doit, comme plusieurs générations de marxistes avant lui, prêter à Marx, en usant de citations bien choisies, ce qu'il veut dire lui-même. La méthode, celle des théologiens, consiste à choisir les textes tout en poussant l'audace jusqu'à reconnaitre que Marx n'a pas pleinement compris lui-même sa pensée authentique, la portée de la révolution scientifique qu'il a inaugurée».                                                                               L’ex-L'agent du KGB Youri Bezmenov passé à l’Ouest dont nous aurons l’occasion de reparler, explique après sa défection en 1970, la vaste stratégie de subversion de l’Ouest et des pays non-alignés par l’URSS. Qualifiant très justement l’idéologie marxiste de «succédané de religion», véhiculant de puissants mythes reposant sur une frustration des «masses» excitées par des agents d’influence. Ce vaste plan, Bezmenov le résume comme ceci : «Une fois endoctriné, même devant des faits indiscutables, un individu continuerait à nier». C’est aujourd’hui ce qu’ils font, ils nient le marxisme culturel et le NOM est assimilé à une théorie du complot des immondes conspirationnistes, abjects complotistes et autres méchants diétrologues. Wikipédia aujourd’hui très vérolé par le MC (Marxisme Culturel) nous dit à ce propos : «La notion de marxisme culturel décrit une théorie du complot dans les milieux conservateurs et d'extrême-droite, (Monsieur l’ex catholique romain converti au judaïsme (cas rare) politologue distingué n’était pas encore passé par là en inventant le mal du mal, le pire du pire, l’Ultra droite ! «L'ultra droite est une nébuleuse composée de diverses sensibilités», analysait finement fin 2017 Jean-Yves Camus, le politologue distingué très MC (marxiste Culturel) évidemment grand spécialiste de l'extrême droite qu’il n’a jamais fréquentée, c’est le genre j’l’ai pas vu, j’l’ai pas lu mais j’en ai entendu causer, analyse de 2013, lorsqu'elle la bête immonde «combattait» en ordre dispersé le Mariage pour tous, monsieur Camus ignore que depuis peu il est possible de ce marier avec son poisson rouge c'est là! et là et ça offre le service de pouvoir épouser un animal de compagnie. Bonne chance à monsieur Camus avec sa chèvre!), alors d’après ses sales tarés immondes d’ultra droite à droite à fond : « d'après laquelle l'École de Francfort et la pensée politique de gauche sont à la base d'un complot qui vise à détruire la culture occidentale. D'après les protagonistes de la théorie, le multiculturalisme et le politiquement correct visent à détruire la société occidentale et sont le produit de la théorie critique». Jusqu’en 2011 Wikipédia donnait comme explication ceci : «Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non-révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme absolu», ce qui était évidemment fort incomplet mais beaucoup plus juste qu’aujourd’hui avec cette forme de sophisme ad Hitlerum du «complot» (le sophisme ad hitlerum  vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet). Vous aurez bien sûr remarqué que resurgit toujours dans cette «théorie du complot» affirmée par des marxistes culturels ce sophisme ad Hitlerum comme aussi le Sophisme Non Sequitur : le patriotisme ce n’est pas bien, les délits ce n’est pas bien, donc patriotisme=délit. C’est une conclusion, extrêmement fallacieuse: vous n'êtes pas d'accord avec le marxisme culturel multiculturaliste ou féministe, donc vous défendez l’extrême droite. Vous êtes donc un gros facho et vous faite partie de cette nébuleuse composée de diverses sensibilités comme le dit m’sieur Camus. Or ici il ne s'agit nullement de défendre le fascisme qui est une idéologie de gauche, mais bien un droit fondamental à ne pas être d’accord avec une idéologie. Le sophisme ad Hitlerum comme le Non Sequitur vise à discréditer par avance les conclusions d'un contradicteur en l'associant à un personnage ou une idéologie qui ne peut susciter que le rejet.                                                                                 Cette religion séculière et ses sectes distillent du marxisme culturel à gogo, qualifiés de courants «post-marxistes», avec le féminisme Ici et l'écologie pastèque.                                                                    Raymond Aron, sociologue de la «société industrielle», et libéral, pensait on l’a vu que cette doctrine marxiste servait de «fondement à une religion séculière, le communisme, et d'idéologie à l'empire soviétique» nous aurons l’occasion d’en reparler plus loin.

Il serait idiot de ne pas dire que la religion séculière marxiste a vu le jour en URSS (Union des Républiques socialistes soviétiques) qui n’a pas jamais véritablement appliqué le modèle mis en place par la théorie marxiste. La relecture qu’en a faite Lénine, rendue nécessaire par le peu d’indications laissées par Marx et Engels sur la marche à suivre, a conduit à une reformulation qui, si elle sauve momentanément le langage et l’option dite révolutionnaire, en altèrent de nombreux points essentiels. Ainsi le matérialisme historique est-il contesté au nom des libertés éthiques ; de même, le primat de l’économique sur le politique et celui de la nécessité historique sur la liberté des sociétés humaines sont remis en question. La mise en place de nouveaux principes, cette fois marxistes-léninistes, vont générer des conséquences imprévues.

La plus marquante d’entre elles est le retour du politique. En effet, Marx considérait cet élément comme faisant partie de la superstructure et à ce titre, relevant de la domination bourgeoise de même que le droit. À l’inverse, le régime qui s’installe en URSS va le réhabiliter et le projeter au premier plan de son système, notamment par le biais du Parti. Se met alors en place un modèle particulier d’organisation du pouvoir : la «partitocratie idéocratique» voir le dico ici. L’expression la plus évidente de ce modèle est la détention légitime du pouvoir par les personnes qui ont en charge l’existence du Parti. Mais ce modèle présente un aspect fondamental, qui engendre l’exacerbation des principes mis en place par Lénine : l’aspect probant de la religiosité du système étayée par le culte du chef. D’autre part, l’évolution du modèle socialiste a été davantage dictée par la résolution de problèmes dramatiques nés de la mise en place de la collectivisation et de l’industrialisation que d’un attachement à une ligne préétablie (notamment dans la seconde moitié des années 30). Cette altération par rapport au modèle marxiste va avoir pour conséquence la reconduction d’un modèle inattendu. Si la profession de l’athéisme était officielle, il n’en demeurait pas moins que, cherchant à concilier des éléments nouveaux et anciens (notamment dans le domaine agricole) incompatibles, les Soviétiques composaient un modèle contradictoire. En reconduisant une forme religieuse  du pouvoir ou en la nourrissant d’éléments marxistes, ils tentaient de concilier l’inconciliable.

Si il est certain que le marxisme culturel a infiltré l’église catholique et a fait des conciles des soviets et du Pape un marxiste multiculturaliste, si vous aviez un doute il n’est que de voir comment Monsieur Bergoglio dit le Pape converti à la religion séculière marxiste culturelle et souffrant d'encéphalite spongiforme religieuse veut faire la leçon à l'Europe: il veut en bon marxiste culturel, des visas «humanitaires» pour tous les envahisseurs dit «migrants», réfugiés politiques, économiques ou non, des regroupements familiaux étendus à tous les ascendants et descendants, «aux frères et aux sœurs, cousins, cousines, voisins et Rock Voisine» des jeunes hommes débarqués en Europe ; il veut l'accès à la nationalité, à l'emploi et à la régularisation des illégaux, le tout dans le respect de la «culture» de chacun.

A suivre




Note 9 ? Une perle de l’ethnographie politique ! On peut bien sûr ne pas être d'accord avec cet auteur mais il a le mérite de ne pas faire de langue de bois. Chaque biographie qu’il nous donne est étudiée à travers l’histoire... évidemment lourde de sens pour la compréhension du positionnement marxiste culturel des hommes politiques d’aujourd’hui. Note 9 le livre qui déchire à donf !

Michel Alain Labet de Bornay.



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